Sauveurs

Déprime

N'hésitez pas à commenter pour me donner vos avis, c'est un chapitre ou j'ai essayé de faire ressentir la morositée de Lim, ce n'est pas très joyeux :)

Allongé sur ma couchette, je m'amusais à compter les fissures au plafond, la fatigue commençais à fermer mes yeux. La répartitions des chambres venait d'êtres faites et je me retrouvais à cohabiter avec Maty, Romuald et Ben. Je ne pouvais pas dire que j'en était très mécontent, compte tenu du fait que Maty était présent, mais il faut dire que je ne portais pas Ben dans mon cœur, même si je ne le connaissais que depuis quelques heures ses remarques blessante envers tous les autres ( à  part Jules, qu'il suivait comme un chien, son côté change-forme sûrement ) m'avais vite donné un avis sur lui. Romuald, quand à  lui, était assez distant et je ne savais quoi en penser. Toujours est-il que le dîner commençais  dans quelques minutes. Je fis un bond pour sortir de mon lit.

Je traînais les pieds, je n'avais pas revu Vilma et Thomas depuis le Scan et la seul idée de leur annoncer mon résultat me retournait le ventre. J'écoutais  d'une oreille distraite Maty, près à tout pour devenir le roi de la tempête.

Les couloirs se ressemblaient tous, je suivi Maty dans l'énorme ascenseur et appuyait sur le bouton en forme de poulet.

-Stupide. Me dis-je

-Tout à fait d'accord.

Maty me regarda et explosa de rire

- Je ne mis ferais jamais . Lui dis-je pour toute réponse. Je n'étais pas d'humeur à rire. Je n'avais pas encore avaler l'annonce de mes pseudos pouvoirs et les questions ,de plus en plus nombreuses, me vrillaient la tête. Qu'avais-je pu faire de si horrible pour que je demande un lavage de cerveau ? N'avions nous pas des parents, de la famille ? Ne restait t-il vraiment qu'un peuple ayant résisté aux dieux ? Les autres sont-ils tout aussi préoccupé que moi ?

La salle de déjeuné était peu éclairé. une grande table la traversait de long en large où le couvert était posé. Vilma et Thomas était assis l'un à côté de l'autre , Thomas semblait s'être remis de l'attaque du lapin et riait aux paroles de Vilma, les cheveux attachés en chignons.Je vînt m'assoir à ses côté puis regarda fixement mon assiette, attendant que l'un deux me pose une question au sujet de mes aptitudes.

- Alors, avec qui est tu dans ta chambre ?

Je ne m'attendais pas à cette question et lui répondis avec une nonchalance forcé:

- Maty, Ben et Romuald. Je crois que Ben ne vas pas supporter la joie de Maty très longtemps ah ah !

Vilma souris légèrement.

- Tu as de la chance d'être avec Maty. Quand à Ben je pense qu'il à bon fond, essaye de lui parler il est peut-être vraiment gentil.

Le repas arriva et j'avais "réussi" à éviter le sujet de mes capacités, des saladiers de purée grisâtre arrivèrent sur des chariots poussés par des hommes et des femmes de tout âges.Une femme, d'une soixantaine d'années me servi sans même un regard à mon égard. La pâté arriva dans mon assiette et je dû me résigner à manger cette chose ignoble, indescriptible. Le dîner , qui ne dura pas plus de 10 minutes (temps ou Maty parla sans pause de ses capacités) terminer, l'homme aux dreds nous rassembla et nous fît monter dans l'ascenseur.

- Il me semble que je ne vous ai pas dis mon nom, Je suis Nessi. Je vais maintenant vous emmener dans la salle d'entrainement situé tout en haut de la tour. Vous devrez y être à 9 heures tout les matins.

La porte s'ouvrit alors sur une immense salle entièrement vitrée où était entreposés armes, machines de musculations et autres objets en tout genres. de petites salles aux vitres tintés s'alignait sur ma gauche .

- Les salles privés sont à votre disposition, comme tout ce qui est ici d'ailleurs, pour vous entrainer à l'écart. Vous aurez le loisir de parcourir cette pièce de font en comble demain, ne nous éternisons pas ici.

De retour dans l'ascenseur, Jules était tellement excités à l'idée de s'entraîner qu'elle envoya une baffe en pleine figure de Ben alors qu'elle voulait juste réajuster le col de sa chemise.

Vilma et Maty explosèrent de rires et je ne pu retenir un léger ricanement en voyant la tête de Ben, éberlué.

Nessi nous dirigea ensuite dans une salle "commune", il expliqua que c'était une genre de salle de repos pour discuter avec tout le monde.

- Donc là, je peux vous posez des questions, Nessi ? lâchais-je soudain d'un air aigris

- Euh oui, va s'y, mais il ne vas pas falloir tarder il est déjà tard et vous devez vous reposer, vous avez eu une dur journée.

- Très bien, Qui suis-je ?