Trop grosse pour lui // J.B

Chapitre 11 ; J-7.

 
 
Point de vue Avril. 
 
 Je n'avais pas réussis à dormir cette nuit. Ma mère m'avais confisqué mon portable et mon ordinateur. Je n'es plus aucun contact avec l'extérieur et donc avec Justin. J'aurais du profiter de ma journée hier avec lui au lieu de lui faire la morale. Il me manque. La seule personne qui me voit réellement ma mère ne l'accepte pas. Elle ne lui a donner aucune chance. Je n'ai pas dîner hier et se matin pas déjeuner.Je n'ai plus faim. Je sais que c'est inacceptable d'etre partir a l'autre bout du pays sans sa permission. Mais pourquoi punir Justin?Je ne supporterais pas de le perdre. C'est un confident, un ami, un amant, il est tout à la fois. Je ne veut pas sortir de ma chambre et subir un interrogatoire de ma mère. Je préfère écrire l'histoire. J'aimerais un jour la partager avec les gens. Je veux que les gens ressente se que j'ai vécu avec Justin. Qu'il vois que il y'a toujours de l'espoir et que quelque part dans se monde se cache quelqu'un qui nous correspond, qui est notre âme soeur. Une larme coule sur ma joue je repense à mon retour hier.
 
Flash back  
Justin:"Avril!" cria t-il en courant vers moi.
Maman:" Toi ne t'approche plus jamais de ma fille ! T'entend ! Plus jamais !"dit-elle menaçante à Justin
Justin:"Sinon quoi ?" dit-il en s'avançant vers ma mère dans un ton tout aussi menaçant.
Moi:"Justin arrête !" pleurai-je en le poussant pour qu'il s'éloigne de ma mère.
 
Ma mère me tirait jusqu'à la maison, je me retournais, je ne pouvais m'empêcher de regarder Justin. Chaque seconde était précieuse. Je le vois frapper dans une poubelle, taper du poing contre le taxi. Non sa main est en sang. Il pleure et s'assois parterre. Il me fixe une fraction de seconde et mets sa tête dans ses mains. Le voyant dans cette état je pousse ma mère et cours vers lui. M'accroupis à son niveau et lui enlève ses mains de son visage.
 
Justin:"Tout est ma faute. Tu as raison je ne t'ai pas protéger."chuchota t-il.
Moi:" Non Justin ne dis pas ça ! Ma mère va se calmer et on pourra se revoir" dis-je en me sentant coupable.
Justin:"Le temps qu'elle se calme je serais déjà dans un autre pays, Avril"
Moi:"Oui, je sais il nous reste 8 jours. Je ne laisserais personne se mettre entre nous ! Pas même ma mère."
 
Je l'embrassa fougueusement, amoureusement, passionnément .... Il n'y avait que nous deux dans mon petit monde de barbe à papa comme dirais Justin. Pourtant mon cerveau était conscient qu'il y'avais ma mère qui nous surveillait. Le chauffeur qui nous regardais et la vielle voisine derrière son rideau qui nous guettais. Me forçant a quitter ses lèvres je lui dis de m'appeler se soir.
 
Fin du flash back.  
Il a du m'appeler ... Je descend discrètement dans le salon. Mon portable est posé sur la table basse. Je me penche. Le prend.
 
Maman:"Repose ce téléphone"
 
Je m'exécute sans discuter.
 
Maman:"Assis toi"
 
Je m'assis sur le canapé. Elle se mit près de moi.
 
Maman:"Tu as couché avec ce garçon ?"
 
Je ne répondis pas, la question était bien trop gênante. Et puis ça ne la regarde pas. Je n'étais plus la petite fille qui courais toute nu dans le jardin de papy après tout. Cette fille avait grandi. Cette fille prenait des décisions. Cette fille était tomber amoureuse.
 
Maman:"Avril réponds moi !"
Moi:"Qu'est-ce qui te fait dire ça ?"
 
Elle pris mon téléphone et lu a haute voix un message que Justin m'avais envoyer hier soir.
 
Maman:"Avril tu me manque. Ta peau me manque. Ton odeur me manque. Ta voix. Toucher tes cheveux. Ton corps. Embrasser tes courbes. Ta poitrine. Tenir tes mains. Te prendre dans mes bras.Te dire que je t'aime. Te voir rire. Je t'imagine dans cette magnifique robe blanche encore. J'aimerais la prochaine fois te voir dans une église à mon bras. J'aimerais retourner sur cette plage. Sentir ton corps coller au miens et te faire l'amour pour t'exprimer tout se que je ressens. Je suis fou et éperdument amoureux de toi Avril Mackensie. Mon amour. Ma barbe à papa. Ma futur femme."
 
J'oublier la question de ma mère. Je m'imaginer Justin en train de me dire ses magnifiques phrases. Mais ma mère me coupa dans mes pensées.
 
Maman:"Ce garçon profite de toi ! Une fille grosse, complexée qui n'a pas d'amis ! Tu es une proie facile !"  
J'étais blessée. Jusqu'à présent il n'y avait que le regard des autres qui me faisait mal. Mais maintenant je connaissais la vérité sur le regard de ma propre mère. Voilà pourquoi nous complexons au fond ...Quoi que nous fassions nous serons toujours montrer du doigt comme la grosse. Nous serons rejeter des autres. Pourquoi ? La différence effraye les gens. Que faisons nous de mal ? Nous mangions...
 
Je monte dans ma chambre. Ferme à clés derrière moi. M'allonge et observe le plafond. Je ferme les yeux et repense à mes années collèges. Une fille bouboule et pourtant si gentille qui a beaucoup à offrir. On ne m'a jamais laisser de chance. On ma mise a l'écart. On ma regardais différemment. On se moquer de moi. Pas étonnant que je ne veuille pas d'amis. On fait tout pour nous détruire.Tout pour nous rendre coupable. Je m'asseyais dans un coin de la cours et jouer seule au carte.Et vous avez quoi ? Je gagner tout le temps .Au bout d'un moment je connaissais par coeur les cartes alors j'ai décidée d'écrire. Je ne savais pas trop quoi faire. Je décida d'écrire le nom du mec le plus beau de ma classe. J'en étais follement amoureuse.
 
J
A
C
K
 
Je voulais raconter l'histoire de ce nom. Il m'avait donner espoir. C'était le seul gentil avec moi. Il me tenait la porte le matin dans les couloirs et me disait bonjour. Une chose simple et banal pour d'autre personne mais extraordinaire pour moi.
 
Jolie
Arc en ciel dans ma vie
Chaotique ou les
Kilos m'ont détruit.
 
Je me rappelle de ce sentiment. J'étais fière de moi. Je ne savais pas encore à cette époque que j'avais crée un style d'écriture bien à moi. A chaque récré j'écrivais l'histoire des lettres. Les gens avaient tendance à passer à côtés pour lire au dessus de mes épaules. Tout le monde se demandait se qu'écrivait la grosse dans son cahier. Je décida de me poser quelque part ou personne ne pourra me déranger: Les toilettes.
Et depuis ce jour j'écris dans les toilettes, c'est comme une deuxième maison. Un jour en fin d'année. J'écrivais dans mon cahier de lettre et la prof m'interrogea pour aller au tableau. J'alla sans prendre la peine de cacher mon cahier de lettre.
 
f(x)=x3+x3+2b
 
Factoriser :
 
J'était nul en maths en plus d'être grosse. Je me tortillait sur place nerveuse suppliant intérieurement mon cerveau de démarrer.
 
Mark:"Hey Jake la grosse crois que tu la kiffe!"cria t-il a l'autre bout de la classe.
 
Je me retourne et vois ce crétin de Mark avec mon cahier.Tout le monde rigole autour de moi.
 
Mark:"Aujourd'hui j'ai fais tomber ma colle et Jake me la ramasser c'était magique j'ai toucher son index" lisa t-il a haute voix.
 
Jack:"Quoi ?! Mais t'es fou ! Je kiffe pas cette grosse vache ! Elle me faisait pitié c'est tout." cria t-il dégoûté.
 
La professeur de mathématique n'arrive plus a contrôler les élèves. Paniquer je fais tomber ma craie. Je la ramasse. Mon pantalon se craque. Les rires se multiplient.
 
Une peste:"Tu mérite de mourir tellement tu es moche !" cria t-elle.
 
Blessée. Humiliée. J'arracha mon cahier des mains de Mark et couru, couru, couru, couru, loin très loin.
 
...:"Avril? Avril?" me secoua t-il.
 
J'ouvres les yeux et voit Justin. Il a du passer par la fenêtre je l'avais laissé légèrement ouverte.
 

 
 

Point de vue Justin.
 
 
 
Je la trouvais songeuse et triste. Je m'allongea près d'elle. Je regardais sa petite bouche, son jolie nez et ses yeux qui me fixait.
 
Moi:"Tu n'a pas répondu à mes messages."dis je en lui caressant le dos.
Avril:"Ma mère ma confisquer mon portable"
Moi:"Ah..."dis je soulagé mais en même temps triste
 
Hier soir je n'avais pas dormis. Je déprimer. Tournais en rond. J'appelais et elle ne décrochai pas, je me disais qu'elle ne voulait plus me reparler car j'avais engendrer trop de problème.
 
Avril:"Ma mère a lu tes messages"dit-elle en se mettant sur le dos.
 
Je rougis. Les messages étaient très personnelles. J'avais déjà du mal a les envoyés à Avril alors apprendre que sa mère les lis. Je me mis au dessus d'elle et m'étala complètement. Elle me caressait les cheveux. Humm Barbe à papa...
 
Je l'embrasse comme si ma vie en dépendait. Notre relation était si étrange nous étions tomber amoureux l'un de l'autre sans même nous avoir vu. Et puis nous courions après le temps. Il me restait 1 semaine. Je ne savais pas comment j'allais faire lorsque je quitterais avril. Une tournée dure 1 ans. Avril m'attendra t-elle ? Nous devons profiter de chaque moment ensemble.
 
Moi:"Habille-toi ! On sort !"
Avril:"Je suis puni Justin" ria t-elle.
Moi:"Raison de plus ta mère ne seras pas que tu es sortis elle pensera que tu es resté dans ta chambre."
Avril:"Vicieux !"
 
Je regardais ses habilles dans ses placards pendant qu'elle enlevait son pyjama. Je lui choisis un short et un t-shirt simple avec des ballerines. Je retourne et vois avril se couvrir le corps honteuse.Elle recommence à complexée. Je m'approche d'elle et la mis face au miroir.
 
Moi:"Tu es très belle comme ça ne change rien" lui chuchotais-je.
 
Je vis dans le reflet du miroir qu'elle rougissait. Je souris voyant que j'avais autant d'effet sur elle qu'elle en avait sur moi.
 
 
En bas de chez Avril:  
 
Avril:"On va ou comme ça ?!" chuchota t-elle.
Moi:"Il y'a une fête foraine pas loin avec un cirque"
Avril:"Oh non j'ai peur des clowns! "
Moi:"Je suis là pour te protéger."
Avril:"Je la sentais venir cette phrase."
 
Je mis ma capuche pour ne pas qu'on me reconnaisse et avança main dans la main avec Avril.
 
Avril "Bon ta dit c'est pas loin ! Ça fais 20 minutes qu'on marche !"râla t-elle
Moi:"C'est bon regard y'a une pancarte là ! On est sur le bon chemin."
 
 
30 minutes plus tard:  
 
Avril:"Je t'avais dis de prendre à gauche ! Tu m'a pas écoutée !"
Moi:"Je t'avais dit de prendre à gauche tu m'a pas écoutée" l'imitais-je.
Avril:"Justin, on est perdu ! C'est pas drôle !"
 
Nous traversions un bois. C'était un raccourci d'après le gps de mon iphone.
 
Avril:"Justin ! J'ai peur, on devrais faire demi-tour et marcher sur le chemin de l'autoroute"
Moi:"Mais non t'as rien a craindre !"
 
 
15 minutes plus tard:  
 
Avril:"Tu ne m'écoutes jamais ! Tu n'en fais qu'à ta tête !"criais t-elle
Moi:"Quoi ??! Mais je voulais te faire plaisir moi c'est tout !" criais-je à mon tour
Avril:"Ouais et quand une salope te pince les fesses devant moi c'est pour faire plaisir aussi !"
Moi:"Ah non tu va pas remettes ça sur le tapis je me suis excuser la dernière fois !"
 
...: "Hey les jeunes vous pouvez baissez un peu le ton j'essaye de me concentrer moi."
 
Une femme sortait sa tête d'un rideau lui même cacher derrière de grand feuillage. Nous étions passez du mauvais côtés pour accéder à la fête foraine. Je rentra dans le stand de la femme en soulevant le rideau. Avril passa à son tour. C'était une sorte de voyante. Je ne supporte pas ses gens là. Il pense pouvoir réussir à voir l'avenir.
 
Avril :"Ah j'adore !! on peut essayer !" dit-elle toute excitée.
 
Non Avril pas toi ...
 
Moi:"Oui moi aussi j'adore " mentis je en m'asseyant face a la voyante.
 
Voyante:"Je vais vous tirez les cartes, la 1ere sera votre passé, la deuxième votre présent et la dernière votre futur."
 
La femme donne à Avril le paquet en lui disant de mélanger et de partager en 3 le paquet sans regarder les cartes. Je ne pu m'empêcher de rigoler tellement je trouvais sa débile. Pff ! J'ai claquer 5$ pour cette merde.
 
Avril:"C'est fou se que tu es irrespectueux"chuchota t-elle outrée à mon oreille.
 
La voyante retourna le 1er paquet.
 
Voyante:"Hum la souffrance.Tu as beaucoup souffert ma fille"
Avril:"Oh oui" dit-elle a fond dedans.
 
Le 2eme paquet,le présent.
 
Voyante:"La passion. Gare à toi elle est magique dans le présent mais dans le futur elle..."
 
Elle retourna le dernier paquet.
 
Voyante:"Elle tue" dit-elle finissant sa phrase.
 
Une carte noire était poser désormais.
 
Moi:"Avril sortons d'ici !" dis-je en la tirant.
Voyante:"Méfie toi de la passion ! Méfie toi!" cria t-elle au loin.
 
Nous nous éloignons de son stand le plus vite possible. Complètement tarée la pauvre vielle. Par réflexe je prend Avril dans mes bras. Je la sens trembler.
 
Moi:"Non mais je t'arrête tout de suite! Tu ne va pas mourir!" riais-je.
Avril:"Les 2 premières cartes sont vrais."
Moi:"Coïncidence."
 
Moi :"Viens je vais te gagner une peluche" dis-je en voyant un stand.
 
Je posa 5$ et commença à lancer les balles sur les boites de conserves. Elles partent toujours à cotés. C'est plus dur à faire qu'on le crois. Bon je retente ma chance et pose 1O $ encore rater. Non je dois sauver mon honneur là.
 
Avril:"Justin c'est bon ! C'est pas grave viens !"
Moi:"Non je veux t'offrir se nounours !"
 
Je remis 5$ en plus et réussi à renversé une boite.
 
Moi:"Alors j'ai gagné quoi ?" dis-je tout excité.
 
Vendeur:"Un porte clé" dit-il en le tendant.
 
Avril riait comme un folle.
 
Avril:"Donne moi 5 dollars je vais essayer."
Moi:"C'est plus dur que tu crois, mon amour. "
 
Elle renverse une conserve.
 
Moi:"Oh! La chance du débutant!"
 
Une deuxième tombe.
 
Le vendeur commence à avoir un fou rire dès qu'il me regarde.
 
Elle renverse la dernière.
 
Vendeur:"Félicitation tenez vous avez gagner cette grosse peluche"
 
Avril:"Tiens je te l'offre"
Moi:"Non c'est bon j'ai mon porte clés" dis-je vexé.
Avril:"Je t'aime"
 
C'était la première fois qu'elle me le disait. Je souriais bêtement et l'embrassais.
 
Moi:"Ça te dis de la barbe à papa ?" dis-je en voyant un stand de sucrerie.
Avril:"Je sais pas trop" dit-elle en regardant son ventre.
Moi:"On se la partage" dis-je pour pas la forcé.
Avril:"D'accord "souria t-elle
 
Elle finit par manger toute la barbe à papa à elle seule.
 
 

 
 
 
Point de vue Avril. 
 
  Nous rentrons dans les coups des 20h fatigués après les heures de marches. Justin veut dormir dans ma chambre j'accepte. J'enlève mon haut et m'allonge sur le lit. Il se penche sur mon bassin et me déboutonne mon short. Il le glisse jusqu'à mes pieds et le jette. Il enlève son t-shirt et se penche vers ma poitrine. Il déboutonne a présent son jeans et se met près de moi. Il me tourne le dos. Je me colle a lui et dors contre son cou. Ma mère a tord, il ne profite pas de moi; il m'aime.  
 
 
"Les lettres peuvent être dangereuses"