La plume d'un Youvoi

J'compte mes amis sur les doigts de la main d'un manchot.

En haut sur un toit, des jumelles à la main... On espionne le répertoire de Larbi, plusieurs hommes sont devant.

« Moi - Dégagez bande de putes.

Imran - Laisse tombez Ayache.

Moi - Ihsan.

Imran - Ouais, Ihsan. »

Je continue à examiner.
Imran je sens qu'il veut parlé, il va pas tarder à exploser. Il voudra parlé de ce qui c'est passer, moi j'ai pas envie... Pas du tout envie.

« Imran - D'accord, j'en peux plus !

Moi - Zebi...

Imran - W'Allah que t'ai entrain d'me zehef !

Moi - Pardon ?

Imran - On va parlé sérieusement.

Moi - Pas envie.

Imran - Mais pourquoi putain ?!

Moi - Si t'as toujours pas compris, j'essaye d'oublier le passer ! Lui cri ai-je à la gueule en me retournant pour lui faire face. T'as toujours pas pigé on dirait, j'ai fui ! J'ai abandonné ma reuss.

Imran - Souley' ? Pose-t-il comme question choqué.

Moi - Hé ouais Imran, je suis un lâche s'tu veux. Mais tôt ou tard elle découvrira la vérité de ce que j'ai fais, et elle me tuera à son tours. Elle me haïra comme jamais elle avait haïe quelqu'un. Déjà qu'entre nous c'est froid...

Imran - ...

Moi - On va reprendre Ghanem, puis je partirai...

Imran - Tu sais pas c'que tu fais. »

Je ne le calcul plus, puis regarde les jumelles... Deux hommes son partit ! Moi et Imran on a profitait, on est descendu du toit.

Les armes à la main, Imran est devant moi. On rentre dans le répertoire, regarde de droite à gauche. J'ouvre une porte, j'y rentre... Totalement vide... Quand je me retourne, un homme est entrain de pointé son arme avec nous.

« L'homme - Espèce de fils de pute d'Ayache, combien de personnes veulent ta mort putain de sa mère ! On dirait que je serai le gagnant ! »

J'arrivais pas, malgré mon gun pointé vers lui... Je ne pouvais pas tirer, je n'avais pas le droit.

Plusieurs flashs me revienne à la mémoire... Ma mère, mon frère...

Flashs.

« Mon frère - Si j'apprends que tu fais parti de cette bande Ihsan, moi je te dis barre-toi de la casa avant qu'il en soit trop tard. Parce que je te ferai dus sale, donc fais pas le con. »