chapitre 5

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Mon père descendit de la voiture et m'ordonna de ne pas bougé. Il se dirigea vers la scène de crime. Moi j'appela les flics et leur expliqua la situation, leur donna l'adresse et racrocha. En ne voyant plus mon père et il tardé, je suis sorti et me dirigea à mon tour vers la scène de crime. Un mec d'environ mon âge me tira derrière un arbre. Il était châtin claire, il avais les yeux noisettes, il avait du style ( veste blanche, tee short noir qui tracé sa musculation, pantalon blanc, et des adidas noir montante ) . Je le regarda un cour un instant assé pour voir qu'il était très séduisant.

Je me suis mise à criais :

- Lâche moi. pensant qu'il fesait parti de ces criminels.

C'est vrai quoi, qu'esce qu'il foutait là caché derrière un arbre.

- Chute ils vont t'entendre, et ils vont nous tués.

De qui parlé t'il ? On entendit une voie derrière qui disait.

- Non. Toi petêtre, mais elle je jourai bien avec.

Le beau mec au yeux noisettes me poussa et m'ordonna de me sauvé.

Mais il était or de questions que je me sauve sans mon père.

Je couru vers les corp à la recherche de mon père pendant que "JACKIE CHAN" essaya de sauvé sa peau.

Il se battait avec ces meurtriers il faut dire qu'il se défendait bien, mais faut dire que contre des armes il ne pouvait rien faire.

Les types lui pointa une arme à l'arrière de sa tête et lui ordonna de monté dans un fourgons blindé noir.

En voyant cette scène, prise de panique je me mit par terre et rampa à travers tout le champ.

Je passa devant les corp et à la vue de leurs blessure barbare, j'ai vite compris que ces type n'étaient pas du tout compréhensif. Je détacha mes yeux de cette horreur, et continua à rampais en regardant devant moi. Dans mon chant de vision des pieds apparu. Je n'u pas le temp de levée ma tête. Un homme cagoulé m'attrapa par les cheveux et me souleva.

- Aïs vous me faite mal. dit-je en essayant de tiré sa main.

Il me regarda et rigola; avec un rire diaboliques il me répondit :

- Pense tu vraiment que sa me fais quelque chose, quand tu a mal moi j'aime.

Il me traina ensuite, toujours en me tirant les cheveux vers une voiture grise. Me jeta à l' arrière violemment. Il était seul, sa devait sûrement être sa voiture. C'était une ODI nouvelle génération. Une très belle bécane. C'est sûr ces mecs avaient de l'argent et pas qu'un peut. Il s'arrêta devant un grand entrepôt. Il descendit et me dit méchamment de ne pas bougé ou il me tuera. Il sorti de la voiture et la verrouilla. Il me laissa là toute la nuit, je ne voulu pas dormir, mais je tomba de fatigue.

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