Chapitre 6

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J'ouvrit les yeux, les membres de mon corp me faisaient souffrir.  

Je n'étais put dans la voiture mais dans une des pièces de l'entrepôt qui semblé abandonné. Cette pièce était vide et très petite; les murs étaient sal, d'un vert algues ont aurai pu croire que l'entrepôt avait était englouti par la mer.

J'entendis des bruit de pats, je couru sur la pointe des pieds pour ne pas qu'il m'entende. Je me cacha derrière la porte. Juste à côté il y avait une planche de fer; je la prit, et je me mit en position d'attaque. 

Il ouvrit la porte; il était seul. Ne me voyant pas il se frottit les yeux, et s'approcha de là où j'étais allongée. 

Je me mit derrière lui et le frappa de toute mes force avec la planche en fer au visage. Je la jeta par terre et lui arracha la clé des main. Je couru vers la sorti et l'enfermés dans cette pièce sinistre.

Un homme jouait les gardien dans le couloir. Je me colla aux murs et les longea de cette façon. J'entendis des vois, je les suiva; j'atterrit dans une grande pièce rempli de tuyaux de gaz. J'étais en hauteur sur des poutres. Je vis de là haut le jeune qui avait tenté de me sauvé la vie. Il était accroché comme un punching ball à des tuyaux; torse nue, pied nue il lui restai seulement sont pantalon blanc qui viré au rouge. Il était roué de coups. Il était seul; ces brutes venait de sortir. Je décida de descendre pour le détaché. Il y avait une échelle de l'autre côté. je couru sur l'une des poutre très vite pour ne pas avoir le temp de perdre l'équilibre. Je descendit l'échelle; j'alla vers lui quand l'un des criminel entra. Je me cacha derrière une énorme bonbonne de gaz.

- Alors on veut toujours pas travaillé pour nous ? dit une de ces brutes au jeune.

- Plutôt crevé !!! lui répondit t'il

- Au mais sa peu s'arrangé

Il craqua ses doigts. Il était le seul à parlé ou même bougé. Deux mec balaise se tenaient derrière lui de chaque côté. Ils ce tenaient bien droit; les bras croisé derrière le dos.

- Tonio il y a un problème !!! Dit un type qui devait faire parti des types qui l'on emmener hier.

- J'arrive mick, toi réfléchi encore; si c'est non, c'est la mort. Dit celui que je pensait être le cerveau du groupe, en pointant le doigt sur le mec qui lui servait de punching ball.

Ils sortirent tous de là. Je me réfugie vers lui et essaya de le détaché.

- È qu'es ce que tu fais là toi ? Je t'avais dit de t'échappé; ce n'était pas un droit mais obligation. me dit t'il avec peu de souffle, et doucement. Il était abattu par les coups et il me semblé être épuisé.

Je n'arriva pas à le détaché à main nue. Pas loin de la porte sur un tuyau se trouvé un briquet. J'alla le chercher. Je revena r'escalader la bonbonne qui avait une mini échelle et brûla la corde. Il tomba, je le ramassa, mit un de ses bras sur mes épaules et couru vers la sortit. Le gardien nous repéra. Il nous courut après; avec le mec à trainé c'était perdu d'avance. Il pointa un flingue sur nous et dit :

- Alors ma belle on essaye de s'échapper avec son prince bien abîmé ? Il s'approcha de mon visage en jouant avec l'armes. Tu c'est ma jolie c'est le prince qui sauve la princesse pas le contraire.

Tout le gangs de criminels arriva. Tonio ( le cerveau ) s'approcha de moi. Il caressa mon visage et passa sa main dans mes cheveux, je détourna le regard et je prit un aire de dégoût. Il souria et me tira les cheveux par le dessous de ma tête.

- Alors Kevin qu'elle est ta réponse ? Dit t'il en tournant sa tête vers le ga.

- Comment connait tu mon nom ?

- J'aime enquêté sur quelque s'une de mes victimes.

- Ma réponse reste là même.

Tonio le frappa et le frappa encore je cria :

- Arrête enfoiré ! Je le poussa violemment.

Kevin cracha du sang. Il mit la main sur son ventre. Il avait mal; sa ce voyais mais il ne se plaigna pas. Il me dit :

- Calme toi. Ils vont de faire du mal s'ai ce que tu veut. Je me baissa et lui demanda si il allé bien.

Tonio fit un signe de la tête et un de ses gardes du corp nous prit un par un et nous jeta dans la pièce où je me trouvé au début. Il nous enferma à clé.

- Maintenant que nous sommes seules peu tu me dire pourquoi tu ne ma pa obéi ? me demanda Kevin.

Je lui raconta toute l'histoire. Il ne répondit rien à cela. J'arracha un bout de tissu de ma robe. Je fit le tour de la pièce et trouva une bouteille d'eau poussièreuse. Je versa un peu d'eau sur le tissu et le passa sur ces blessure. Kevin passa une main sur ma joue en me regarda dans les yeux. Son regard me fit des frissons intense dans tout le corp. Il me demanda :

- T'ont t'ils fait du mal ?

- Pas que je sache. Lui repondit-je

- Qu'es ce que tu veut dire par là ?

Je lui expliqua qu'a mon réveille je n'étais pus dans la voiture mais dans cette pièce et mon corp me fesait souffrir. Il m'embrassa sur la joue et me dit :

- Nous allons sortir de là je te le promet.

Je m'endormi sur lui. Il me caressait les cheveux et répéta jusqu'à qu'il tomba de fatigue :

- Je vais nous sortir de là.

Nous entrons tout deux dans un profond sommeil se qui nous avait permit de sortir de là pendant une nuit entière.

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