Descendants (CrossOver Percy Jackson/Harry Potter)

Chapitre 14 - Combat partie II

Ce chapitre est presque du copier collé du chapitre deux du deuxième tome de Percy Jackson ( la mer des monstres) de Rick Riordan.

Je suis désolé pour le manque d'originalité. Mais ce passage me permet de pointer l'inefficacité de sa magie face au monstre mythologique.
~OoO~

En même temps, le taureau que Percy avait blessé se retourne vers nous en soufflant du feu par les naseaux. Percy les regarde tous les deux en réfléchissant. Il me regarde et je comprends. Il veut s'occuper d'un taureau à la foi. Il s'élance vers le taureau blessé pour le finir. Alors qu'il réussit à lui asséner un coup, l'autre taureau se précipite vers lui. J'entends Annabeth crier quelque chose que je ne comprends pas trop concentré sur notre survie.

J'avais beau être sorcière et la fille d'Hécate, je ne suis qu'en première année, je ne connais pas de sorts pour tuer des taureaux géants cracheurs de feu. Poudlard m'enseignant surtout à combattre un autre sorcier, et encore je ne suis qu'en première années. Quant aux bouquins que j'avais dénichés avec Annabeth à la bibliothèque de la Colonie, je ne les ai pas tous étudié. Je réfléchis le plus vite possible à un sort utile.

Soudain je me souviens de quelque chose. Le feu ne craint rien si ce n'est l'eau. Je souris et me précipite vers l'autre taureau en le pointant avec mon bâton, págos*, un bloc de glace se forme sur la gueule du taureau. Mais son haleine est tellement brûlante que la glace fond.

Clarisse se relève rapidement et fonce tête baissé sur le taureau, une lance de bronze céleste à la main et son bouclier dans l'autre. Il faut que je me rende à l'évidence, pour l'instant, ma magie ne sert à rien dans ce monde. Je range donc ma baguette et reprend mes armes pour aider Clarisse. Nous ne mettons pas longtemps pour lui régler son compte. Alors que j'ai abattu mon épée sur son museau, le tranchant, Clarisse lui avait planté sa lance dans la patte arrière et avais entaillé profondément le flanc droit de sa propre arme.

A présent le taureau fait beaucoup moins le malin, tournant en rond, au ralenti. Je me tourne vers l'autre taureau et Percy. Lui aussi nous regarde. Annabeth rebouche une gourde. Le taureau gît lamentablement, la tête défoncée, les pattes en l'air. Je jette un coup d'œil vers Clarisse. Elle retire son casque et se dirige rapidement vers Percy. Je la suis, prête à la retenir si elle essaye de tuer le brun.

- Tu... gâche... tout ! hurle-t-elle. Je maîtrisais la situation !

Vu la tête de Percy, il ne s'attendait pas à ça. En même temps, Clarisse est très fière, peut-être trop ?, et elle ne supporte probablement pas que Percy lui vole la vedette comme ça. Annabeth à grommelé,

- Contente de te voir, Clarisse. Je souris. Elle est presque la seule à oser parler comme ça a Clarisse.

- Argh ! A grondé ma meilleure amie, n'essayez plus jamais, JAMAIS de me sauver !

Heureusement, Annabeth reprend,

- Clarisse, tu as des pensionnaires blessés.

Ça la calme. On peut dire ce qu'on veut, mais Clarisse se sentait responsable des soldats placé sous ses ordres.

- Je reviens, a-t-elle grogné avant de partir vers ses guerriers.

Je la suis. Nous parlons un peu. Puis elle évalue les dégâts. Aucun mort mais la moitié de la patrouille est blessé. Tous ont des brûlures plus ou moins sérieuses.

Elle les félicite, leur dit qu'ils se sont bien battus. De leur côté, ils s'excusèrent d'avoir fui, l'abandonnant face au danger.

Parmi eux, je reconnais seulement cinq enfants d'Ares, deux Hermès et un Apollon. Il faut transporter les blessés à la Grande-Maison.

Elle va demander de l'aide à Percy et une fois tous les blessés en sécurité nous allons prévenir le nouveau directeur des activités, Tantale.

Clarisse m'explique que monsieur D à viré Chiron et l'avait remplacé. Une fois fait nous allons chercher ma valise que j'ai laissée sur la colline.

Nous m'installons dans le Bungalow d'Arès comme d'habitude. Je suis la seule fille d'Hécate et mon amitié avec Clarisse m'a permis de me faire accepter auprès de ses frères et sœurs.

Je me permets de l'aider à se soigner. Résultat, un bras en écharpe et une vilaine balafre sur la joue qu'elle arborait fièrement.

Peu de temps après, la conque sonna annonçant l'heuredu repas.t

~OoO~
*págos, signifie glace, en grec.
~OoO~
Prochainement, chapitre 15 - Deuxième année.