Martin traîner un peu derrière , malgré qu'ils devaient se dépêcher , il ne pouvait pas rester en forme indéfiniment , Alice , elle prenais de l'avance même si elle entendait Martin marmonner qu'il voulait faire une pause , elle n'en donnait pas l'occasion, la disparition de son amie l'a boulversée, et elle devait a tout pris rentrée.
Malgré tout entre temps ils ont fait une pause pour manger mais hors de question de traîner, en plein après midi , Alice relèva la tête et aperçut la forêt mais elle était encore très loin, ils pourraient l'atteindre seulement demain , Alice s'arrêta et se retourna elle voyait Martin en train de ramper.- Martin aller ! Cria-t-elle
- T'as l'intention de marcher toute la nuit aussi ? Répliqua-t-il un moment plus tard
Elle laissa un moment, pour regarder le ciel qui devenait sombre , elle regarda sa montre.
Eh bien , ils avaient beaucoup marchés, elle s'est escuser auprès de Martin pour ne pas avoir remarquer le temps qui passer et le temps dont il avait souffert.
Il n'arrêta pas de répéter avec humour , que ses jambes ne servait plus a rien et que l'on pouvait l'amputer.
Alice lui donna un petit coup d'épaule tout en rigolant.Un peu d'humour réconforter l'atmosphère , mais pas assès, les deux adolescents se sentait observés depuis la disparition de Christelle , Alice voyait que Martin n'était pas à l'aise non plus.
Ils installèrent les tentes et alluma un feu. Alice annonça-Gardons le feu allumer, et montons tout les deux la garde, si un de nous dort , l'autre dois surveiller.
Martin a juste hocher la tête en signe d'acquiesment, la nuit commence mais Alice s'endort déjà, avant de s'endormir elle a remarquer que Martin était encore réveiller.
A l'aube
Alice se réveille en sursaut en entendant Martin hurler, la scène qui petrifie Alice de terreur :
Elle voit les jambes de Martin déchiqueter et couvert de sang, Alice ne sait pas quoi faire et panique , elle essai tant bien que mal de calmer son ami, il pleurait de douleur, mais ce met a dire :- Je l'ai vu ! Je l'ai vu ! Le monstre ! Un monstre ! Il nous a suivit ! Alice j'ai peur ! Alice aide moi !
Le pauvre jeune homme était en sanglots, Alice aussi, elle ne pouvait rien faire, elle restait auprès de lui.
Mais quelques instants après il était mort , il avait perdu tout son sang. Folle de rage, Alice laisse la tente, et part en courant , elle pleure sans cesse.Elle a les derniers mots de son ami qui hurler, mais a aussi le souvenir de la blague "Mes jambes ne servent plus a rien , on peut m'amputer "
Comme quoi , quelqu'un les suivaient, il n'attaquait que la nuit. Et encore maintenant elle était toute seule.
