Nous trouvâmes un refuge dans une grande maison, il y avait d'autre gens comme nous. On les avait expulsés de chez eux pour des raisons semblables aux notres. La responsable s'appellait Béatrice. A première vue elle avait l'air très gentille. Elle nous conduit jusqu'a notre chambre. La chambre n'était pas très grande (un peu comme mon ancienne chambre) mais cela nous sufisait largement. Il y avait un lit deux place et un petit matela par terre. Je m'instala sur le matela solo. Je préférée dormir seule et vu que j'était sur que mon frère voudrais dormir avec ma mère, je lui laissa volontier la place.
Au refuge (comme je l'appelais car il avait un nom bizarre) je rencontrea une fille qui s'appelait Candice. Elle adorait la musique, comme moi ! Son instrument était le piano et elle jouer sur celui de madame Béatrice qui lui donnait des leçons de piano. Moi je n'avais trouvé personne qui puisse continuer à m'entraîner à la guitare. C'est mon père qui m'avait tout appris, je m'amusée tellement avec lui. Je l'aimé et je me dis que à chaque fois que quelqu'un sonne au refuge c'est lui, il nous a retrouvé, mais c'est toujours quelqu'un d'autre.
Chez madame Béatrice c'est vraiment génial. Il y a de quoi s'assoire confortablement et de quoi s'occuper. Il y a même un baby-foot. Ma mère, elle, ne fait pas grand-chose, elle reste assise dans un fauteuil jusqu'à ce que l'ordi se libère pour chercher une solution. Car chez madame Béatrice on peut pas rester l'éternité. Elle nous offre une chambre contre très peu d'argent (c'est fou comme pour cette petite somme on vous laisse autant de choses) mais sur un délai de deux à trois mois, le temps de se reprendre en main. Si vous voyez le nombre de famille dans le meme cas que nous qui arrivent chaque jour. C'est incroyable ! Les gens parle beaucoup de problème du chômage, mais est cz qu'il se rendent compte ? Malheureusement, Mme. Béatrice ne peut pas acceuillir tout le monde, sont refuge accueil surtout les familles avec enfant et les personnes agées les plus démunits. Mais à chaque fois que Mme. Béatrice dit a quelqu'un qu'elle ne peut pas l'acceuillir, il y a toujours ce regard d'avarsité, comme si pour elle elle ne fesait pas assez pour nous aider.
Cette nuit là, je dormie mal. Ce n'était pas a cause du lit bien au contraire (il était très confortable et changé beaucoup par rapport à mon ancien lit gricent),comme si je voulais absoliment profiter de se jour comme si s'était le dernier au refuge.
Et je ne me trompais pas, enfin presque...
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En un claquement de doigts
DiversosJ'entends des gens qui parle en chuchotant. Une lumière s'allume, puis deux, puis trois et finissent par toutes s'illuminées. Les gens me fixient. Il me vois, ils attendent que je pronoce un mot. Je les regarde en me disant : "si ils s'avaient tout...