Chapitre 2

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Théodore se réveilla en sursaut. Il était coucher dans le gazon au pied des pierres tombales. Il se releva en regardant au tour. Il se regarda. Non, aucune marque. Il avait rêver

-j'ai du m'endormir...pendant que je pleurais....

Il se retourna. Personne. Il regarda l'heure. Midi et vingt-quatre. Il décida donc de reprendre le chemin du retour. Passant par le trottoir, il se mît a repensé son rêve. Depuis un moment il fessait des rêves étranges: les gens contre lui et maintenant ce cauchemar horrible. Que lui arrivait-il? Il entra chez lui en réfléchissant, puis prit place à son bureau et se mît a dessiner l'homme dans son rêve. Après quelques minutes, il regarda son œuvre. Le dessin était identique. Il glissa un doigt sur le papier et eut un frisson. Il déposa la feuille et la laissa là. Théo descendit au salon et prit place sur le canapé avant de regarder les émissions de la journée. Il passa au moins 2 heures à regarder la télévision ou a zapper de chaîne en chaîne. Il finit par se lever et alla faire l'inventaire de ses trucs d'école pour le lendemain. Tout y était, sauf une chose. Théodore lâcha un soupire et attrapa son porte feuille, puis marcha d'un pas rapide vers sa voiture, qui était garée devant la maison. Il démarra après être entrer à l'intérieur, puis s'engagea sur la route en direction du magasin le plus proche. Le blondinet se gara dans le parking et sortit de la camaro orange au ligne noir. Il marcha vers l'entrée et les portes s'ouvrit lorsqu'il passa devant. Il marcha dans les rangées, tout en regardant les articles. Il tourna à une autre rangée et fonça dans un homme.

-oh...excuser moi..

-non non, ne vous en faites pas je ne regardais pas où j'allais.

Théo le regarda, puis recula d'un pas. L'homme face à lui était le même que dans son rêve.

-vous allez bien? Demanda l'inconnue.

-je...oui...encore désoler

Il se dépêcha de partir et ramassa une boîte de crayon de couleur. Il marcha d'un pas rapide vers les casses et paya, avant de se diriger vers la sortir. Il traversa le parking au pas de course et entra dans sa voiture avant de s'accoter la tête sur le cuire du volant.

-impossible...j'ai du...délirer...c'est ça.

Il démarra, puis retourna chez lui en essayant d'oublier cette rencontre et ses craintes.

Aimer à en mourir: la bêteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant