Theo regarda au tour, ne voulant absolument pas être avec le garçon de son rêve, mais il fallu que celui-ci se rapproche de lui.
-eum...je sais pas trop, mais tu voudrais être en équipe avec moi? Je crois qu'on a mal fait connaissance au magasin hier non?
-ouais...
Theo rigola nerveusement en regardant le garçon. Il était beau. Il se surpris à parler ainsi d'un homme, puis hocha la tête.
-ouais, si tu veux.
-génial!
Ils reçurent les feuilles de travaux et commencèrent à travailler. Il s'entendait relativement bien, peu être même trop bien pensa Theo.
*****
Après cette dure journée, Theo retourna chez lui crevé. Il pensait au garçons qu'il avait vu en rêve et dont il ne connaissait pas le nom. <<zut..>> pensa-t-il. Il entra chez lui et salua son père qui travaillait encore. Il monta dans sa chambre et commença des devoirs, les penser corrompu par l'homme du cours de français, mais il arriva s terminer à temps pour souper avec son père. Un silence glacial pesait au alentour, comme si une grande nouvelle allait être déclarer, puis Theo creva le silence.-l'école est super.
-génial, tu t'ai fais des potes?
-un je crois...mais il est..
-ne te fit pas au apparence Theodore Jarred White.
-non non, je l'ai juste vue dans un rêve..
-c'est juste une impression de déjà vue. C'est pas réal.
-si papa..
-bon si tu le dis, je dois allé me coucher, je travaille tôt demain.
-bon et bien, bonne nuit.
Theo sourit à son père et le regarda déservir ça place et aller se coucher. Il fit de même après avoir finit et alla continuer des devoirs dans d'autres matières. Il s'endormit dans ses cahiers.
******Theo était dans une ruelle et allait il ne sait trop où. Il marchait tranquillement quand un hurlement le fit sursauter. Son sang ne fit qu'un tour quand il réalisa que c'était le même que dans la foret. Il se mît donc à courir aussi vite que possible, sans se retourner. Il arriva devant une maison et courut à la porte cogner, mais aucune réponse. Il passa ensuite au jardin et remarqua que la porte était ouverte. Il entra prudemment et monte les escaliers. Il marcha dans un couloir peu éclairé et vu une porte entre-ouverte avec une trace de sang au sol. Il accéléra le pas et quand il entre. Il vit deux mort sur le lit et un loup aussi gros qu'un taureau entrain de manger leur entrailles.
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Aimer à en mourir: la bête
RomansaL'amour est partout, il est envers n'importe qui. Il est possible pour tout le monde, sauf que lorsque Théodore découvre une attirance pour un homme qui n'est pas se qu'il dit et paraît être, tout son univers ce trouve boulversé. Mots de l'auteur: c...