Strange boy.

Chapitre 5

On continuait toujours de marcher dans les couloirs. Les parents de Jonathan entrèrent dans le lycée.

Jonathan (surpris) : mais, qu'est ce que vous faites là ?!

Killian : la directrice vient de nous appeler pour nous dire que tu as voulu l'étrangler, elle veut nous voir d'urgence !

Denise : c'est très grave ce que tu a fais, tu t'en rends compte ?

Jonathan : . . .

La directrice arriva, se méfiant un peu de Jonathan.

Directrice : Mr et Mme Johnson, j'exclue Jonathan jusqu'à Lundi prochain ! Ce qu'il fait est de plus en plus grave !

Moi : bon, je vais retourner en cours, je vais pas vous déranger, je . . . euh . . .

Jonathan : ben à plus tard !

Moi : salut Jonathan. (aux parents de Jonathan) Au revoir ...

Parents de Jonathan : au revoir.

Je rentrai en classe et m'assit à ma place.

Du côté de Jonathan, narration Jonathan

Mon père : Nicholas, Kevin, vous ramènerez les affaires de cours de Jonathan en rentrant de l'école ce soir. Jonathan, viens, on rentre à la maison, on doit discuter.

Je sortis du lycée avec mes parents et montai dans la voiture. Une fois arrivé à la maison, je m'installai sur le canapé, et mes parents commencèrent leur petit discours habituel.

Mon père : Jonathan, j'en ai marre de toi, j'en ai marre de ton comportement !!!

Ma mère : tu te rend compte que tu as étrangler la directrice ?

Moi : je l'ai pas étrangler, je . . .

Mon père : si, d'après ce que la directrice nous a dis, tu étais parti pour ! Si cette fille qui était avec toi n'aurait pas intervenu, si elle t'aurait pas crier d'arrêter, Kevin et Nicholas l'auraient pas entendu, et tu l'aurais étrangler !!!

Moi : oh mais ça va . . .

Ma mère : QUOI ?! Tu ose nous dire oh mais ça va ?! Non, ça va pas, ce que tu fais deviens de plus en plus grave ! Au début, tu te contentais de répondre un peu aux profs et insulter les autres élèves, mais là tu veux carrément tuer la directrice !

Moi : excusez moi, je . . .

Mon père : excusez moi, excusez moi, c'est ce que tu dis sans arrêt, comment on peut t'excuser alors que tu recommences le lendemain ?!

Moi : j'ai essayé de me retenir, mais je n'y arrive pas ! Je peux pas m'en empêcher, chaque fois que je la vois, j'ai envie de la tuer, parce qu'avec tout ce qu'elle m'a fait, j'arrive plus à me retenir !

Ma mère (soupirant, les larmes aux yeux) : on sait plus quoi faire, Jonathan. On voudrait tellement t'aider à ne plus agir comme ça !

Moi : je vous signale que tout ça, c'est à cause de Johann !

Mon père : il t'a rien fait !

Moi : ah bon, il m'a rien fait ?! Et quand il a . . .

Ma mère : STOP ! Parle pas de lui, chaque fois qu'on en parle, ça dégénère !

Moi : . . .si il aurait pas fait tout ça, on en serait pas là !

Mon père : monte dans ta chambre te calmer !

Moi : pff . . .

Je monta dans ma chambre, mon père me suivait.

Moi : pourquoi tu me suis ?

Mon père : je vais dans ta chambre pour te prendre ton ordi portable, tes consoles et débrancher les fils de ta TV et de ta Wii. Tu en es privé pendant une semaine.

Moi : mais . . .

Mon père : il n'y a pas de mais !

Moi : p*tain tu fais ch*é !

Mon père : PARDON ?!

Moi : j'ai dis tu fais ch*é !

Mon père : tu veux que je te prive 2 semaines au lieu d'une ?!

Moi : . . .

Du côté d'Emily, narration Emily

Après avoir passé la fin du cours à répondre à toutes les questions de Samantha et Madison (qu'est ce qui s'est passé ? Pourquoi on t'a entendu d'ici, et Nicholas et Kevin sont partis en courant ?, etc . . .), la sonnerie retentit. Je sortis du cours. Samantha et Madison étaient en train de parler au prof qui leur expliquait les exercices qu'elles n'avaient pas compris. C'était la récré, j'allai dans la cour et vois Nicholas et Kevin assis sur un banc. J'allai les voir.

Moi : merci les gars d'être venus tout à l'heure, je sais pas comment j'aurais fait pour calmer Jonathan toute seule !

Nicholas : de rien

Kevin : on sait très bien de quoi il est capable, donc c'est pour ça qu'on est venus le plus vite possible.

Moi : mais pourquoi il est comme ça ?

Nicholas : oh, c'est quelque chose qui s'est passé il y a longtemps, c'est une très longue histoire . . .

Média: Kevin Johnson