Étreinte de Soie

Chapitre 8

(pdv) Louna

J'avais mal partout, je n'arrivai pas à ouvrir mes yeux, je savais que de toute manière je n'aurais rien pus voire, sais batard m'avais rendu aveugle, et me nourrissaient pas assez pour guérir. J'étais dans une sorte de cave, je sais ca car je n'avais presque plus d'odorat, l'odeur de moisissure et une chose horrible, je pense même que les gars pisses quelque part dans un coin de la pièce rien que pour éviter que mes sens soit trop en alertes. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis ici, tous ce que je sais, c''est  se qu'ils ferons lorsqu'ils reviendrons. J'ai la chair de poule rien que dis penser et la nausée bien sûr ! tout ce qui me vient à la tête dans ses moment-là c'est ce beau crétin de bombe atomique, la vache qu'es qu'il me manque ! je me sens tellement bête de réagir comme ça, il ne m'aime même pas, je sais même pas si il me cherche, mais l'espoir est infatigable. Lui qui ma kidnapper mais qui me fais connaitre un plaisir que personne d'autre ne pourra me donner. Je crois que je l'aime, même si ma raison me cris que je vais être briser, mon cœur lui et un sadique. Je veux croire qu'il me sauvera, sur son cheval blanc, enfin dans sa brume blanche je devrais dire, j'ai apprit quelque truc sur lui et je les chéries. J'entendis des pas juste au-dessus de moi et mon cœur commençais a battre la chamade, je ne pouvais pas faire grand-chose, la, allonger sur le lit pourri avec malta aussi sal que...... mais la panique m'envahi comme un rafale de vent, j'avais honte, et je continuerai à avoir honte de ce qu'ils mon fais, si jamais je suis sauvé, je ne sais pas combien de temps je métrai cette fois si pour sauver le peu de santé mental qu'il me reste. Les bruits furent interrompu par le bruit de pas d'un animal, je dirai un loup, avec ces cliquetis régulier d'un canidé marchant sur le bois. Je n'entendis plus rien pendent un bout de temps, puis la porte s'ouvrit brusquement, me fessant sursauter dans se lit ou jetais attacher, mes jambes écarté et attacher par des lianes, mes poignés aussi attaché au montent de tète de lit.

-    alors es-ce-que je t'ais manquer ? !

NON !mon Dieu pas lui, c'est le pire de tous, il me frappe et ..... je ne veux pas y penser, pas que les autres soient mieux, mais quand on leur donne l'ordre de me briser, ils le fonds sens me frapper.

-    tu sais que personne ne te cherche ? je veux dire, cela fait déjà deux semaines que tu es-là, rien que ma petite poupée gonflable, mais on dirai que le ROI ET ces PRINCES n'ont rien à faire de toi !!

Mon dieu déjà deux semaine ! pour moi, on aurai cru des mois, je ne dois pas perdre espoir, retrouver des personnes disparu c'est toujours compliqué. D'un coup il fus sur moi, je crie, quoi faire de plus, puis je me die qu'il aime lorsque je cris, alors je me tait.

-    rien à dire mon ange ! chuchote t'il a mon oreille.

Je vais vomir, fut tous ce que je pue penser, puis étrangement le poids qui se trouvait sur moi, n'y étais plus.

-    chute ne temps fais pas ma belle, je vais te sortit d'ici, ne pleur plus je suis là ! dit alors une voix de baryton que je n'aurai plus cru pouvoir entendre.

Je sentis un petite vent froid me caresser la joue et je sus que c'était bien lui, lui qui et venu me sauver sur sa brume blanche.

-    brume blanche ? c'est son nouveau surnom ? dit alors une voix de femme.

-    Carla ? murmurai-je

-    oui c'est moi, ma pauvre tu as besoin d'un bon bain je crois ! répondit-elle

Je souri, typique Carla, elle le fait pour moi, a quoi bon dire pauvre choux ou pleurer pour ce qui mes arriver ! cela n'aidera pas, alors j'étais heureuse de la tactique de Carla.

J'entendis plus loin des bruits de compas, je pense que c'est Sébastien !

-    oui c'est lui ma douce, il se bats comme un guerrier en proie à une vengeance sanguinaire pour venger sa femme ! dit alors une autre vois d'homme.

-    Adrien ?

-    oui, je suis là, il était hors de question de ne pas venir sauver ma belle-fille !

-    on 'ai pas encore marié mon Roi ! rebondie je embêter.

-    ma reine se bat également comme une tigresse, quel souplesse comme à son habitude ! il fait comme si je n'avais rien dit.

Je pense que si j'aurai pu voir, que j'aurai pu voir une guerre dans le sous-sol, j'entendis des grognements et pas vampirique du toute, alors je pense que Luc et là également, ainsi que d'autres loups, j'entendis également l'épée de Ash faire des vrombissement dans toute les directions, il devait faire un massacre.

Quel qu''un me souleva délicatement,

-    rentrons tu veux ! murmura Sébastien a mon oreille.

-    je pensai que tu te battait ? remorquai-je.

-    C'est ce que je faisais en effet, mais père m'a dit de te ramener à la maison pour te soigner, ils se chargeront de te venger, même si ton père n'est pas la !

-    mon Père ?

Je le senti ce contracter,

-    n'est tu pas au courent de qui ta kidnapper ?

-    nn.nnnnon...nn.nnnnon,  tous ce que je sais, c'est qu'il mon amener ici et bruler mes yeux, puis après des hommes sont venu me battre et me ........

Il ne me laissa pas finir la sentence, mais scella sait lèvre au mienne, je fus tout d'abord choquer, puis en rage, mais qu'est-ce qu'il croyais ? il n'avait pas le droit de faire sa après toute ce qu'il me fait voir comme couleur pas mur ! puis je fus choqué de ma propre réaction, certes au début j'avais flippé et j'étais devenu aussi amovible que du marbre, mais maintenant, je suis aussi chaude qu'un brasier que l'on venait de nouveau d'allumer.

-    désoler mais .... Il fallait que je sois sur que c'étais toi, après tous ce qui ses passer, je pense même pas que les simples excuses que j'avais dans la tête ne suffise, je suis désolé de t'avoir embrasser après se qui tes arrivé je n'aurai pas.......

Pour toute réponse je scellais mes lèvre au sienne pour un autre baiser, il me réchauffa de nouveau de la tête au pied.

-    mon Dieu que je suis folle, mais crois-moi quand je te dis que ce que je ressent maintenant n'ait pas de la peur ! fus toute ce que je pu dire avant de me sentir propulser en l'air et atterrir avec un craquement d'os un peu plus loin.

-    SEBASTIEN !! criai-je, mais il ne répondit pas, à la place, un rire lugubre résonna juste à côté de moi.