chapitre 1

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J'avais une de ses soif ! monstrueuse ! mais je devais faire, je ne devais faire aucune bêtise. Des branleurs dans la rue, près d'un café, m'ayant remarquée, commencent à me sifflée, et intérieurement je me maudissait, quel bande de crétin !je venais de finir ma soirée de boulot, barmaid et de temps à autre danseuse, dans une boite de nuit super populaire, normal lorsque l'on vit à Londres, cette boite de nuit s'appelait ' le Lutin Vert'(en français bien sûr) oui sais bien ça, mais tout le monde le connaissais et donc il ne vaut mieux pas se fier au apparence ni au nom. Mon deuxième pays étais favorable à ma condition hélas je devais quitter mon pays adores pour sauver les gens que j'aimais de ....... Moi ! aujourd'hui, je ne suis pas super fière d'être qu'une simple barmaid mais pas le choix si je voulais avoir de quoi ..... m'habiller. Apres une nuit agiter, je me retrouvais donc dans une ruelle sombre et qui ne sentais pas la rose, je m'étais habiller très peux pour aller travailler, par là je sou entent bien sûr que ma robe noir et moulante qui n'allais pas plus bas que mi-cuisse, avec des talon haut de 13 cm on pouvait croire que je travaillai en tant que dame de compagnie ce que je n'étais pas bien sûr, mais aller faire comprendre au crétin qui me suivais !je me mi instinctivement à marcher plus vite, temps mieux il commençais à pleuvoir, puis quelque chose de lourd me percuta de plain fouet derrière moi, je happai de douleur en atterrissent sur le sol mouiller et dur, puis me relevais a toute vitesse.

- Louna ! sais ça ? demanda le bulldozer qui m'avais propulser gentiment au sol.

Il faisais bien trop noir pour un œil humain, mais hélas pour le mien non, il foutais les ch'tons, un grand homme aux cheveux blanc de neige me toisa, son visage étais barrer dune grand cicatrice allant de sa tempe a sa bouche, mais rien ne lui enleva son sexpil, il était tous vêtu de noir, à voir on dirai du cuire........ super !

- Combien en a tu tuée ? demanda une voix de femme derrière moi.

Je me collai au mur pour les avoirs tous les deux dans mon champ de vision.

- De quoi parler vous ? demandai-je

Ils se regardaient, mais avant qu'il ne puisse réagir je sortie de mon fourreau de cuisse deux petite dague, pas assez pour leur transpercer le cœur mais assez pour m'aider à m'enfuir, je l'ai lançais sur l'homme, il se les prie en pleine poitrine. Puis je couru comme si ma vie an dépendais, arriver dans une ruelle plus loin, beaucoup plus loin , je décidai de m'arrêter. Je regardai dernier moi, personne. Je repris le souffle que je n'avais pas, après tous courir avec des talons de 13cm sais pas donner à tout le monde, et hors de question de laisser mes bébé derrière moi.

- Alors poupée tu t'es perdu ? grogna une vois dernier moi.

- Merde sais bien ma vaine se soir !

- En effet ! tes une bombe poupée ?

- Arrêtez avec vos poupée ! vampire !

- Ah jolie petit cu que tu as la tu fais voir ou je te mort avant ? (question pour un champignon, les vampires adore mordre d'autre vampire, même si apparemment sais interdit lorsque tu n'es pas en couple avec un autre vampire !)

- Mauvaise réponse ! grognai-je

Puis je reculai, pris de l'élan et lui planta mon talon en argent dans son cœur, il tomba en arrière, moi au-dessus, les yeux river sur mon talon, il essaya de parler mais ne fis que des bruits écœurant. Vu que ma chance étais avec moi je fus propulser contre un mur, puis on percuta ma tète de plein fouet, je tombais dans l'inconscience total..... ou pas.

Je suis différant des autre vampires à ma grand déception, je ne sais pourquoi mais les vampires ne me reconnaisse pas, le vampire que je venais de tuer pensais que j'étai humaine, donc sens défense, même si les chasseurs de vampire existe, (j'en n ai la preuve sur mon flan). En plus de ce don de damner, je peux lire dans les vampires, comme si je regardais un film, ou lisais un livre, j'ai comme on dirai des visions de se qu'il on fais, voilà pourquoi je ne regrettai pas d'avoir tuer le vilain roux qui se trouvait alors au bout de mon talon en argent. Je sombrai peu à peu dans le subconscient la ou je ne peux réfléchir, comme c étai bon !

Étreinte de SoieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant