Chapitre 1. "Since we were three years..."

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6h30. "Tut. Tut. Tut. Tut.."

Ma main gauche tape contre la table de chevet à côté de mon lit.
Je finis par trouver la cause de mon mécontentement puis l'éteint.

Je me lève difficilement en étirant tout mon être.
Le lundi matin est si cruel.

Je prends des affaires dans mon armoire, puis me dirige vers la salle de bain.
Je pose mes affaires sur l'évier, puis coiffe lentement ma chevelure brune.
Je me déshabille et me glisse sous la douche.

6h53.

Je coupe l'eau et sors de la douche tout en enroulant une serviette autour de mon corps, puis une autre autour de mes cheveux.

Je fixe mon reflet dans le miroir.
Ma mère me manque..

Je secoue ma tête pour chasser ces pensées négatives de mon esprit, puis retire la serviette qui retenait mes cheveux.

Je coiffe à nouveau ma chevelure puis, m'habille d'un Jean et de mon pull nike.
Je maquille légèrement mes yeux.

Une fois finis, je sèche mes cheveux que j'attache en chignon.

En sortant de la salle de bain, je percute mon frère.

«- Tu mets toujours autant de temps le matin, sœurette.

-C'est la flemme et la fatigue réunis frangin, tu bosses de matin cette semaine?

-Yep! Je t'ai préparé un chocolat chaud et des tartines de nutella pendant que tu occupais la salle de bain!»

Je lui fit un bisou sur la joue.

«- Tu es le meilleur des grands frère! Bosse bien!»

Il me sourit puis entre à son tour dans la salle de bain.
Je retourne dans ma chambre et prépare mes affaires pour ce matin, puis descend pour déjeuner.

7h35.

J'enfile mes Stan Smith puis prend mes clefs.

«- J'y vais, y'a le bus ! Bisous!»

Je referme la porte derrière moi, puis monte dans le bus.

7h53.

Le bus s'arrête devant le lycée.
Tout le monde sortit.

Cela fait deux semaines que les cours ont reprit.
C'est ma dernière année au lycée.

Je m'avançeais vers l'établissement lorsque quelqu'un me fit un croche pied.
Bien évidemment, je m'écrase contre le sol.

Des rires ce firent entendre.

«- Hé bas alors Alone, on sait plus marcher ? »

Je me relève et fixe l'auteur de ma chute.

Damon.

«- Damon! Toujours un plaisir de te voir!

-Tout le plaisir est pour moi!»

Je souris ironiquement puis m'avance dans les couloirs du lycée.
Je me dirige vers mon casier et l'ouvre.

Aucune blague? Super!
Je dépose quelques cahier à l'intérieur.

En refermant mon casier, j'aperçus quelqu'un me fixer, juste là, devant moi.
Je sursaute en poussant un petit cri bien marrant.

«- Damon!

-Alone.

-Dégage!

-C'est comme ça qu'on parle au capitaine de l'équipe de foot?

"And save my life."Où les histoires vivent. Découvrez maintenant