"J'ai peur de l'inconnu."
Tout est noir...
Sûrement parce que mes paupières sont encore fermés.
J'avais un mal de tête horrible et j'hésitai à ouvrir les yeux.
Néanmoins je les ouvris tous doucement.La lumière des néons m'ebloui.
Je plissai tout doucement les yeux.
Tout etait flou.Je les refermai rapidement et portai une main à mon front.
J'avais pas de fièvre mais j'avais super mal.
Je tentai de me souvenir mais les informations ne revenaient pas.
J'inspirai fortement et rouvris doucement les yeux.
Je me levai et m'assis sur le lit. Je portai la main à ma nuque et je sentis une bosse. Comme si j'étais ...
Vous savez quand le cerveau comme par magie commence à vous recensez les actions passé lorsqu'on se réveille. Je me rappelais qu'une voiture m'avais percuter et qu'après ce fut le noir. Mais je me retrouvais je ne sais où en me demandant le pourquoi du
comment avec un mal de tête de chien.
J'observai alors, puisque c'était ma seule option, autour de moi.
Le lit sur lequel j'étais assise était confortable mais petit et blanc. C'était une petite pièce sans porte sans fenêtre et sans.... mur. C'était des baies vitrées mais choses curieuse j'arrivais pas à voir l'extérieur. La pièce était éclairé d'une lumière blanche, il y avait un tas de vêtements bien plié a un angle. Je me levai du lit tout doucement et je me dirigeai vers les vêtements. Je les dépliai et vis qu'ils étaient à ma taille comme ci le temps que j'allais passer ici etait long." Il peut se foutre le doigt dans l'oeil celui qui est derrière tout ça"
Je m'assis à même le sol près des vêtements. Je voulais me lever et voir si il y avait une sortie mais quelque chose me disais que si je trouvais une sortie les problèmes allaient commencer. Je pouvais rester assise et fuir la réalité en pensant à un monde sans tord et et sans injustice...
Waaaa... Rien qu'à penser à cette idiotie, j'avais plus de force pour chercher une issue. Je me levai et me dirigeai vers la baie juste en face du lit. Je posai mes mains dessus et les glissai tout doucement. Elle était froide, lisse et un frisson parcouru mon échine. J'avancai tout en glissant mes mains,je ne poussais pa. Alors je sentis comme un trait dans la vitre. Comme ci à cet endroit la vitre était fissuré. Je regardai avec attention cette fissure et je vis qu'elle contiuais le long de la vitre. Elle avait une forme curviligne à quelques endroits et ensuite elle était droite. J'avancai un peu et je poussai faiblement.La vitre s'ouvrit automatiquement en se divisant en deux au niveau de la fissure. Du coup à chaque côté j'avais une partie de la vitre et en face de moi...
Des ordinateurs.
Un tas d'écrans d'ordinateurs, "accroché" à un une de ces vitres de malade, formant une ligne droite.
Mes bébés préférés.
Je compte douze ordinateurs avec onze personnes qui travaillais dessus. Comme ci le douzième m'attendais.
Mais qui reconnus-je ?
De dos je reconnu Alex, Angelique, et.... ce connard de Saïd." Fallait vraiment qu'il soit là même quand j'étais perdu je ne sais où ? "
Alex se retourna à ce moment. Il se leva et me sourit en venant à ma rencontre.
-Alex : Ma"ĕlle"...
-Maĕlle : oui...
-Alex : ça vas ??
-Maělle : si ça vas ?? Je suis je ne sais où avec toi Angélique et des personnes étrangères parce que l'autre je le compte pas et tu me demandes si ça vas ? Oui mon chou ça vas à merveille !Je terminai en haussant élevant un peu la voix avec un ton sacarstique et tout le monde se retourna vers moi.
-Alex : ok...
Notre "chaleureuse" discussion fut coupé par une voix plutôt grave résonnant dans les quatre coins de la pièce.
<< BIENVENUE DANS LA "PIECE" !! MAINTENANT QUE TOUT LE MONDE EST PRÉSENT ON PEUT COMMENCER. LA DURÉE DE VOTRE SÉJOUR ICI NE SERA DÉTERMINER QUE PAR VOTRE COMPORTEMENT. JE SAIS
VOUS VOUS POSEZ CERTAINEMENT DES QUESTIONS MAIS VOUS COMPRENDREZ BIEN VITE. FAITES CONNAISSANCE OU SI VOUS VOULEZ NE FAITES RIEN MAIS DEMAIN TOUT COMMENCERA.>>
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Un coeur à Hacker
Ciencia FicciónElle est belle, prétentieuse, vaniteuse et hautaine. Mais c'est la plus intelligente de son lycée. Enfin. ... jusqu'à ce qu'un nouveau vienne lui ravir la "couronne". Leur point commun : Les ordinateurs. Ils s'engagent alors dans une concurence hor...