Chapitre 7 ou soirée avec Dylan

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Chapitre 6 ou soirée avec Dylan

Holland Roden est une fille super géniale. Elle est restée près de 2 heures avant de partir en faisant plein de photos.

Dylan viens me chercher dans ma chambre d'hôtel. Je m'étais habillée avec un jeans dévalé, un top noir et une chemise blanche. Je fais entrer Dylan et enfile mes converses.

-Bon, on va où ? Dis-je.

-Je te propose d'aller sur la place, dit Dylan en m'ouvrant la porte.

-La place ? Demandais-je en sortant.

-Eh oui, dit-il.

Nous descendons les escaliers puis sortons de l'hôtel en discutant. Dylan me prend la main et me fais tourner sur moi-même. Je rigole. Dylan commence à courir jusqu'à la place en me tenant la main. Je le suis en riant. Arrivés sur la place, Dylan me conduis jusqu'à un banc où on s'assied. Il me tend une petite boite rectangulaire blanche. Je la prends et l'ouvre. Dedans, une chaine avec un pendentif en forme de loup. Je regarde Dylan et lui souris.

-C'est Eden qui l'avait acheté pour toi avant l'accident et ...il m'a écris une lettre pour que je te le donne quand je serais sur que tu vas bien et que tu seras heureuse. Il voulait te l'offrir pour fêter ton rétablissement.

-Il avait tout prévu, pas vrai ? Demandais-je les larmes aux yeux. Il savait que je le publierai, il savait que je te reverrais. Il savait, pas vrai.

-Il savait parce qu'il t'aimait et te connaissait mieux que personne.

Je le regarde et il m'ouvre ses bras. Je me refugie dedans et laisse quelques larmes couler.

-S'il te plait, ne m'abandonne jamais, dis-je.

-Je te le promets, dit Dylan.

Je relâche Dylan et le vois effacé discrètement une larme ce qui me fait rire. Dylan sourit puis me tire vers une limousine garée plus loin. Nous entrons en discutant comme lorsque nous étions jeune. Nous allons au restaurant, au cinéma, nous nous amusons. Plus tard, Dylan me reconduis. Devant la porte de ma chambre, il hésite.

-Je suis complètement dépaysagée, dis-je avec un sourire.

Il explosa de rire et me suivit. Il sauta sur mon lit et je partis me changer. J'enfile un des t-shirt d'Eden et retourne dans la chambre ou Dylan a envoyer un peu partout ses vêtement. Son jeans est contre la fenêtre et son t-shirt est suspendus au mur sur un cadre. Il est complètement enroulé dans ma couette et fais semblant de dormir. Je rigole et me jette sur la couette.

-Dylouchou, dis-je, je vois du chocolat...

-Où ? demande-t-il en sortant la tête de sa couette.

-Dans mes rêves, dis-je avec un grand sourire.

-J'adore tes rêves ma chouquette, dit-il en m'ouvrant la couette. Je saute dedans et me colle a lui pour me réchauffé tandis qu'il referme la couette sur nos deux corps. Je glisse mes pieds glacés contre lui et mes doigts, eux aussi glacés, dans son dos. Je pose mon nez dans son cou et il me serre.

-Il t'a dit quoi ? Chuchotais-je.

-Des tas de trucs mais rien que sur toi, que tu n'aimais pas le fromage, que tu avais peur des crevettes, la recette complète d'un Cacao selon toi, ton film préféré du moment, ton livre préféré, ta musique, les trucs sur lesquelles tu travaillais pour le prouver au monde... Plein de trucs, répète-t-il.

Je laisse couler une larme.

-Il me manque tellement, murmurais-je.

-Il serait fier de toi, dit Dylan en me serrant un peu plus, si il serait là, il aurait jeté des confettis en chantant « J'suis la carte, j'suis la carte ».

-Il l'aurait sûrement fait, confirmais-je.

-Tu sais ce qui m'a fait rire dans la lettre, c'est que la fin disait : « Si tu ne prends pas soin de notre trésor, je descendrais du Paradis pour te casser ta petite tête de starlette. Ton cousin qui t'aime. P.S : Adieu mon coco ! ». C'est la seule chose qui me concernait vraiment.

-Eden était ... particulier, dis-je.

-Faut bien qu'il y ait un déséquilibré par famille, dit Dylan, sauf dans la notre, tout le monde l'est !

-Sans blague, dis-je en riant un peu. Tu sais pourquoi tu es mon cousin préféré ? Demandais-je après un moment.

-Je suis ton seul cousin ? Propose-t-il.

Un petit silence s'établis durant lequel je le maudis d'avoir cassé mon ambiance.

-Cela joue un peu mais c'est surtout parce que chaque fois que l'ambiance commence à être triste, larmoyante ou gênante, tu arrives a tourner la situation en dérision. A me faire rire et à me mettre à l'aise. C'est ton Superpouvoir, dis-je.

-Je t'aime, dit-il, la voix chargée d'émotion.

-Je t'aime, lui soufflais-je.

Il me serra plus fort et je fermis les yeux.


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Voilà voilà

Je me suis rendus compte que finalement les PC de mon école ne peuvent pas aller sur Wattpad !!!

Et comme j'étais chez ma mère bah.... elle pas d'ordi et entre elle et moi c'est ... la guerre!

Comme je suis malade, je vais pouvoir blindé écrire.

Bisous!


Le film de son HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant