Kuroko no basket: Basket au féminin avec une touche de Tsundere...Nanodayo

Chapitre 7:

Chapitre 7:

"Merci"

Je sens la pluie battre contre mon corps, ainsi qu'une présence humuiaine à mes côtés.(Enfin, on ne sait jamais...).

-Q-qi est-ce? dis-je d'une voix faible.

-C'est moi, Kagami! Heureusement que je suis arrivé à temps! Encore un peu et tu te fracassais la tête!

-J-je suis désolée, mais j'ai vu quelque chose qui m'a énervé, soufflais-je tout bas, tenant ma rose entre ma main.

-Sinon tu peux te relever?

Je ne m'étais pas rendue compte que j'étais allongée par terre, ma tête dans ses bras.

-B-bien sûr, je ATCHOUM! Et merde!

C'est bon, je suis bonne pour un rhume et une angine! (Chez moi ces deux virus sont meilleurs amis!).

-Ça va?

Je me relevais et effectivement je pouvais sentir la fièvre qui commençait à me dévorer.

Je titubais pour m'affaler contre le torse (Pas trop mal soit-disant passant) de la seule personne qui pouvait me venir en aide.

-S-s'il...te...plaît, le suppliais-je.

Au fond de moi-même je lui adressais une prière silencieuse pour qu'il me vienne en aide.

Et je sombra dans l'inconscience.

*Elipse*

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Aiiiiie!

Fichu mal de tête à la noix!

Mais où suis-je?

Je sens la douceur d'un canapé contre ma peau ainsi que la chaleur d'une pièce me réchauffant agréablement.

Minute!

Un canapé?

Cela voudrait-il dire....que je peux transplaner?

Oui mais non, sûrement pas!

Mais alors...comment?

C'est alors que je me rendis compte d'un second problème!

Je ne portais pas mes vêtements!

J'en portais, heureusement, mais ce n'était pas les miens!

Arrrrrrrrgh!

J'ouvrais les yeux d'un coup pour apercevoir Kagami devant moi.

C'est alors que les souvenirs remontèrent lentement à la surface.

-Ça y est tu es réveillée?

-O-oui mais, je suis où là?

-Chez moi.

Oui évidemment.

C'est alors que Kagami prit un air gêné.

-J-je suis vraiment désolé, mais j'ai dû enlever tes vêtements, car ils étaient trempés, mais ne t'inquiète pas, rajoutat-il, devant mon regard horrifié! Je t'ai laissé tes sous-vêtements.

Quelle horreur! Tout ce que je déteste!

De honte, je ramenais ma couverture sur moi-même, de sorte à ce je fus comme enfermée dans une sorte de cabane dont j'étais la seule à pouvoir accéder.

-Emma, tu fais quoi là au juste?

-Chuuut! Je m'enferme jusqu'à ce que tu effaces ces images de ta tête!