Parler, oui mais avec qui ?

CHAPTER 18

Le voyage s'est passé dans le calme. On arriva à Sarlat à 22h. On se dirigea vers un hôtel. On s'installa et on s'endormit comme des masses.

Le lendemain matin on se réveille doucement. On avait pris une chambre avec un lit double du coup on à dormis ensemble. Il se lève en premiers et il va se préparer. Je prépare mes affaires. Je le vois sortir. Je prends sa place. Je prends soin de fermer la porte à clef. Je me douche et je me prépare ensuite. Il était là à m'attendre en trains de lire un livre très exactement

« Hunger Games 1 » le livre que j'avais emmené. Il est en pleine lecture. J'ai une robe noir avec des chaussures à tallons. Il me vit arriver. Il ferma le livre et il me rejoignit. Je pris mon sac à main et on part. on est dans le bus, il fait beau, je vais voir ma grand-mère, je suis heureuse. Je n'ai aucune nouvelle de « C » ni de Luc. Je vais passer un bon week-end.

On arrive devant l'hôpital, j'ai peur, ma respiration s'accélère, j'ai peur d'apprendre une mauvaise nouvelle. Johan me prend la main et on s'approche de l'hôpital.

On va vers l'accueil et je demande de voir mes grands parents. Il m'indique la chambre ils ne sont pas dans les mêmes chambres. Je commence par ma grand-mère. Johan ne veux pas venir avec moi. Je rentre et je la voie dans ce lit d'hôpital en train de dormir, je pleur, je n'aime pas la voir comme sa j'éclate en sanglot. Je ressors en silence et je décide de passer plus tard et de la laisser dormir.

Johan me voie il ne fait rien. Je vais ans la chambre de mon grand père et, avant d'ouvrir j'essuie mes larmes. J'ouvre la porte, je le voie regarder le rugby, ça me fait plaisir, il va bien je vais le voir et je discute avec lui. Je suis soulagé je lui dis au revoir et je pars.

Je retourne vers la chambre de ma grand-mère avec un grand sourire. Je vois la porte entre-ouverte. C'est l'infirmière qui fait les soins. J'attends à côté de la porte qu'elle sorte. Je rentre ensuite dans la chambre et ma grand-mère me voie, je distingue un sourire qui se dessine sur son visage, abîmé de la chimiothérapie mais toujours aussi sincère. Je l'aime beaucoup. On discute et les heures passent vite. Il est 13h je n'ai même pas remarqué qu'elle mangeait pendant que je lui parlais. Je lui fais un gros câlin et un gros bisou et je pars. Johan me voit arriver avec le sourire, il ne me parle pas.

Lors du déjeuner on s'assis sur une terrasse d'un resto assez bien réputer que mon père connait. Le repas se passait en silence.Au moment de partir il me prit la main. On est allé à l'hôtel main dans la main.

On rentre calmement à l'hôtel, il n'y a aucune parole, aucun discourt, aucun échange aucun dialogue. Je ne comprends pas, ais-je fais quelque chose de mal en voulant voir mes grands parents ?Je vais me doucher, Johan est sur l'ordinateur, je ferme la porte à clef. Pendant ce moment de solitude je réfléchis. Que dois-je faire avec lui ?Je sors. Je vais le voir, un dialogue se met en place :

- Pourquoi tu es comme ça avec moi ? Pourquoi tu ne m'a pas parler de la matinée ? c'est que j'ai vu mes grands parents qui te met dans cet état ?

- Oui, c'est toi qui ne me calcule pas, tes grands parents sont plus importants que moi à tes yeux à ce que je constate.

- Oui mes grands parents sont plus important que toi cela te pose un problème ? A ce que je sache, toi tu es puys proche de ta famille que moi je te rappelle, toi elle habite a proximité, moi elle habite à pus de 400km de moi et le jour où j'ai le malheur de profiter d'eux tu me fais une putain de crise de jalousie comme un gamin ? Tu sais quoi non ne réponds pas je ne voudrais pas que tu use ta salive pour une fille qui veuille profiter de ses proches.

- Nina tu es sérieuse ? tu te fous de ma gueule c'est qui la gamine de ous deux ??

- Ta gueule laisse moi.

Le lendemain on repartit, dans le silence, sans aucuns mots, sans aucun regard, je reçois un sms de mon ex Thibaud :

« Coucou, j'éspère que tu vas bien j'aimerais te revoir, à vrais dire tu me manque horriblement je ne peux pas me passer de toi »