CHAPTER 28

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Aron me fait sortir de mes pensées. Il me parlait pendant plusieurs minutes quand il me lâchait « Nina tu m'écoute ? » J'hochais machinalement ma tête et il se redressait lentement en roulant des yeux. Je le regardais intensément. Je me remémorais les souvenir que j'avais eus avec lui quand il était en apparence Adeline. C'était bien, on avait tout le temps des délires, on rigolait tout le temps même si de temps en temps on se prenait la tête.

Voilà 3 mois que je ne suis pas allée en cours. Le temps passe vite. Je restais là, confiné dans la demeure d'Aron, grande lumineuse très spacieuse, avec tout ce qu'il faut pour ne pas s'ennuyer même si je trouvais le moyen tout de même de m'ennuyer. Aron n'était pas là, il était partit chercher à manger. J'allais dans la bibliothèque quand j'entendais la porte s'ouvrir. C'était Aron. Il rangeait les courses qu'il avait fais et la nourriture qu'il avait pris quand il me racontait que la ville était placardé d'affiche avec une photo de moi. Un « avis de recherche » comme disent certains.

J'étais encore dans mes pensées quand Aron m'expliquait qu'on devait partir de la ville d'ici une semaine. Dans ma tête c'était impensable. J'allais quitter ma famille, tout ce que j'ai... Pour être en sécurité, en sécurité de C et de ce qu'il ou elle sait.

Étant donné qu'il n'y avait que lui, Luc et moi dans la maison personne d'autre n'était au courant mais quelques secondes passèrent avant que mon téléphone vibrait :

« Nina, pourquoi fuir si tu sais pertinemment que je vais pouvoir te rattraper ? Tu me fais une faveur en partant. Plus personne ne pourra se soucier de toi... Appart Aron et Luc. Ce serait bête que le secret d'Adeline ou devrais-je plutôt dire Aron soit dévoiler non ? Réfléchit bien à tes actes.
Pour la personne qui t'a fais du mal tu devrais aller voir dans la bibliothèque. Tu verras tes photos de classe de l'année dernière. Sache que c'est une des personnes présentes sur la photo. -C »

J'étais devenue blanche. Aron me regardais et lisait dans mes pensée. Il s'asseyait sur la chaise haute du bar. Il prenait sa tête entre ses mains. On était perdu. Luc se rapprochais de moi. Tout le monde était triste tétanisée à la quantité de connaissance que C à sur moi. On se dirigeait vers la bibliothèque et les photos était bien la. Présente. Sur le grand bureau au milieu de centaines d'étagères couvertes de livre.


Parler, oui mais avec qui ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant