Chapitre 11

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Je dormis à la tour stark.

Le soleil lumineux me réveilla. Le son léger d'une musique se répercutait plus loin dans le salon de la tour. On m'avait raconté le soir d'avant, que Stark avait fini par vivre dans sa tour après l'explosion de sa maison à Malibu dû au missiles envoyés par le bras droit de Killian.

Je m'habillai face au miroir qui se tenait devant mon lit, avec une chemise noir qui faisait un décolleté parfait et un pantalon noir. C'était très sombre tous ça mais c'est un style qui m'attire. J'y décorai le tout avec un bracelet doré et un collier doré qui s'y mariait correctement avec le reste de mes habilles. Sans oublier ma bague, en titane, qui est une bague que j'aie reçue toute petite. C'est comme un porte-bohneur pour moi, et il ne se passe pas un seul jour sans que je la porte.

Je me dirigeai dans la cuisine. Les autres n'étaient pas là. Je pris un croissant et un chocolat chaud. Je retournai dans le salon où j'aperçus le grand piano. J'adore la musique, c'est en tout cas ce que je sais faire de mieux pour l'instant. Je m'assis face au grand clavier et commencai à jouer toutes les musiques qui me passaient par la tête.

Je terminai ma plus longue mélodie. Un applaudissement se fit derrière moi :
- C'est très beau, fit une voix .

Je me retournai. Tony se trouvait installé confortablement sur le canapé :

- Ça fait longtemps que t'es là ?, lui demandai-je toujours assise sur le tabouret, face au piano.
- Assez longtemps pour entendre ton talent s'exprimer.

Il me sourit et je fis de même. Pepper arriva quelques secondes plus tard. Elle était stressée. Elle marchait à toute vitesse. Elle me salua rapidement d'un geste de la main et se mit face à Stark pour lui annoncer quelque chose :
- Monsieur, vous devriez peut-être allumer la télévision, fit-elle.

Je me redressai et m'assit sur le canapé. La télé était juste en face de nous. Tony alluma la télé avec la télécommande. Nous vimes le téléjournal et ensuite la chaine fut coupée. Apparu soudainement, un homme. Son regard sévère et ses traits en colère montraient qu'il n'était pas là pour la bonne cause. Il était assis sur une chaise et regardait droit la caméra s'adressant au public, nous. Tony se releva étonné :
- Le mandarin, dit il à voix basse.

Qui était le mandarin ? Tony continua de regarder la télé. Pepper était de plus en plus tendue, elle ne savait pas quoi faire et tournait en rond. Elle faisait les cents pas allés-retours. Elle réfléchissait, mais à quoi ? Est-ce que le mandarin était dangereux ?

Nous vimes, effectivement le danger, le mandarin venait de tuer un homme qui était appeuré, à ses pieds. Sa dernière phrase résonna comme une morale. Je ne l'avais pas écouté, choquée par ce qu'il venait de se passer en direct. Pepper éteignit la télé :
- Jarvis, où se trouve le mandarin maintenant ?, demanda Tony.
- À Malibu , monsieur, répondit Jarvis de manière normale, comme si c'était logique que celui ci soit à Malibu.

Tony se releva. Il prit une oreillette. Pepper comprit le signal et partit à son bureau. L'armure arriva et Tony l'enfila :
- Tony où penses-tu aller ?, demandai-je
- Sauver le monde !
Il prit son envole. Je rejoignis Pepper à son bureau. Celle-ci connecta son oreillette à celle de Tony et parla directement avec lui. Elle m'en donna une aussi pour suivre l'aventure. Tony était partie "chasser" le mandarin :

- Tony, tu devrais peut-être avoir du renfort , fit Pepper.
Elle appella directement James Rhodes.

Je le connaissais très peu. Je ne l'avais vu que rarement à la télévision :

- Compris Potts !, fit la voix au téléphone répondant à cette dernière.

Elle racrocha.

- En quoi James Rhodes va t-il aider ? interrogeai-je.
- C'est le bras droit de Tony ! C'est la war machine ! fit Pepper.
- Non, maintenant c'est Iron Patriot, réctifia la voix de Tony à l'appareil, mais c'est vrai que War Machine sonne mieux.

- Quelle est votre position Tony ?, demanda Mademoiselle Potts.

- Virginia Pepper Potts, tutoyez moi, s'exclama Tony presque essouflé, au bout de l'oreillette.

Un petit rire m'échappa et Potts me regarda d'un air agacé. Elle ne trouvait pas ça drôle du tout.

Nous nous dirigeames sur la terrasse en vue sur New York. C'était beau. En regardant en bas, le vertige me monta à la tête. Il n'y avait rien pour protéger le vide qui entourait la terrasse.

War machine, je préfère l'appeller comme ceci, passa en plein vol devant nous. Il nous salua pour nous dire qu'il allait rejoindre Tony. Nous vimes plus loin, au-dessus de la mer, Tony qui attendait son coequipier. Ils se rejoignirent et partirent pour Malibu.

Nous étions toujours en contact avec eux à travers les oreillettes.

Quelques temps après, nous entendimes l'expression choquée d'une des deux armures :
- Qui a t-il ?, demanda Pepper
- Il y a... Il..., bégaya James.
- Il y a des explosions un peu partout, commenta Tony en finissant la phrase de son ami.

Tony nous envoya la vidéo de ce qu'il venait de voir. Ils étaient restés en flottant au-dessus de la ville, regardant le mal que le mandarin avait fait.

Nous reçumes, de notre côté, la vidéo et la regardames. La ville n'était pas complètement en feu, mais presque. Les habitants couraient dans tous les sens.

Nous allumames la télé et vimes les deux armures intervenirent en direct. La journaliste qui parlait se trouvait sur les lieux, derrière, filmant le mandarin en direct sur les écrans de la ville.

Tony passa au-dessus de la mer , près de la montagne où son ancienne maison avait été, autrefois, construite :

- Tony ! Il faut trouver Aldrich Killian ! , cria Rhodes à l'appareil.

Je regardai Potts en signe d'incompréhension. Elle m'expliqua que le mandarin était une distraction de Killian.

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Hey ! J'espère que cette partie vous plaira. J'ai eu beaucoup de plaisir à l'écrire.

N'hésitez pas à votez si vous l'aimez comme moi ;)

La suite arrive très bientôt !

Mon prof est Tony Stark (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant