Prologue :
Des nuages sombres ténèbres recouvraient les cieux de Londres, une grande ville où la période industrielle avait fait des merveilles à tous point, pas tous positifs mais on pouvait faire abstraction de cela.
Au-dessus d'un des grands édifices à vocation résidentiel de la cité se tenait un individu de sexe indéfinissable, grand de taille vêtu d'un sweat-à-capuche couleur marron avec la capuche redressée. L'intérieur de la capuche était assombri d'un noir particulier ne semblant pas être très naturel... Sûrement un sort de camouflage de l'arbre de l'assassin.
« Une nouvelle cible à mon tableau. Génial... Faisons cela en vitesse. » Prononçais-je d'une voix exténuée.
D'un saut, je traversai la rue à grande vitesse pour rejoindre l'édifice situé à 2Km de ma position d'où je devais recevoir les instructions de missions par un familier. De bond en bond, je faisais escale souvent à deux trois fenêtres comme j'avais de l'avance par rapport à l'horaire de livraison de mes instructions. Soudain je vis sur un des rebords un spectacle affligeant, une fille était attachée à un lit et un mec tenait un fouet et la fouettait avec toute la force qu'il pouvait avant de... (Censure scène).
Cela me rappelait avec vigueur comment la vie de nos jours est merdique. Déjà, les romans d'amour d'aujourd'hui attirent les lecteurs quand l'on fait des références sexuelles à plusieurs reprises, alors que les romans d'amour s'est une tout autre chose. C'est une histoire qui fais chaud au cœur, te montrant le désir que deux personnes ont à être en couple, l'entrain rien qu'à la lecture et non te faire bander pendant toute la lecture comme un gros pervers. Ensuite, il y a la prostitution qui inspire beaucoup les générations présentes dans plusieurs catégories tel que le multimédia et le plus étonnant pour ma part est la « Littérature ». Quelle idée saugrenue que de rédiger les plans culs a plusieurs d'une pute, ses activités cachées, mais on s'en Bat Clairement Les Couilles. Allez plutôt essayer de faire quelque chose de vos dix doigts autres que rédiger cela quoi.
En plus de tout cela on arrive à l'homosexualité que je trouve des plus répugnantes... L'appareil à la base était juste là pour assurer la pérennité de chaque espèce par des méthodes différentes et variées, et là, l'homme à trouver moyen de merder, encore. Comment peut-on trouver simple attirance a saisir des fesses bien dures comme le rock, tenir souvent les abdos bien rigides d'un homme et enfoncer sa queue dans un trou où passe pratiquement toute la merde de son corps plutôt qu'à une belle paire de fesse bien moelleuses d'une meuf qui crie avec un son aigue, mignon au passage tandis qu'avec un mec c'est le calme total ou des hurlements comme si une bagarre sauvage à sens unique et intangible venait de se déclencher. Cela n'apporte en rien de se laissez trouer l'anus par un autre mec, rien c'est comme si tu disais à un mec de prendre sa bite et d'essayer de twerker avec juste sa queue, c'est genre pas possible quoi...
« Je n'en peux plus de ce monde corrompu, de trahison, d'injustice, d'absurdités, de violence et bien d'autres choses négatives. Je veux me battre et mourir au combat... » Me disais-je intérieurement avec tout le courage que le monde aurait pu m'octroyer. J'étais à deux pas du deuxième point de contrôle, je pris de l'élan en courant à pleine vitesse sur le toit d'une résidence dont les habitants roupillaient tous à défaut des parents qui copulaient sauvagement. Je sautai avec tout l'élan pris et atteint le toit de la bâtisse. Je me perchai sur une rambarde et attendit mes ordres de mission, l'air lunatique...
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Assasin In An Hardcore DworlD.
FantasiaLondres, Angleterre, 1859… Dans une ville londonienne chamboulée par la révolution industrielle et la découverte et la maitrise d’un pouvoir singulier et pratique nommé « Magie », plusieurs lots d’assassins opéraient dans la ville, tuant des riches...