Pub for my Friend

85 3 0
                                    

Petite pub pour un ami à moi qui a commencer à écrire ce grand extrait.

Il a encore rien poster mais j'aimerais que vous lisez son histoire et que vous donnez votre avis afin qu'il puisse développer son "roman" ainsi de suite.

Pour information il n'a pas Wattpad !

       Ce que je vais vous raconter nest écrit nulle part ailleurs que dans ce livre et vous ne pourrez connaître la vérité qua travers mes mots, car en ce jour du Lundi 1er Mai ma vie bascula

                   Le soleil se levait devant mes yeux et japercevais qui me réveillait de ma douce nuit. Je pris malgré tout la décision de profiter du peu de temps quil me restait  allongé pour me rendormir, mais comme chaque Lundi mon réveil sonna à huit heure vingt. Jentendis alors un bruit strident me tirer de mon sommeil. Ainsi mes réflexes quotidiens reprenait le dessus sur mon immense fatigue qui disparaît de geste en geste, et je sortis de mon appartement par la grande porte blanche pour traverser les rues souillé de la banlieue de Paris. Enfin mon périples de cinq minutes se terminait par la traversé dune petite ruelle, très vivante ou tout le monde passait comme un pont entre mon quartier et le reste de la ville. Une fois au bout il me suffisait de tourner à gauche et mon collège me tendait les bras, effectivement il est à deux pattés de maison de chez moi et durant toute lannée jai cherché à arriver le plus tard possible. Une fois à la grille je présenta mon carnet au surveillant chargé de tenir lentrée du collège, on lappelait tous « la bête ». Cest un homme haut de taille, imposant et dorigine suisse, il est connue pour son intransigeance donc on le surnomme « la bête ». Une fois la grille passée il reste encore à entrée dans létablissement par la porte qui mène tout droit au hall principale. Sans le savoir, mon destin était scellé dès que je traversa cette porte noire qui avait une jumelle juste à côté. Chacune dentre elle avait une petite vitre en haut, ou il marrivait de regarder les aventures des élèves en pensant à ma routine ennuyeuse.

Ah ! Je donnerais tout pour retrouver mon petit quotidien ennuyant

                  

                   Je me trouvais dans ce grand hall avec le plafond aussi haut que les trois étages de létablissement, les escaliers tournoyant et les couloirs de gauche et de droite à chaque niveau. A la droite de la porte dentrée se trouvait la cantine ainsi que laccueil tandis qua gauche on trouvait la bibliothèque, le centre des surveillants ou « la vie scolaire », la salle des profs et un couloir plus ou moins grand. Le couloir senfonçait  dans le collège et menait à la permanence, la salle de sport, linfirmerie et le bureau des  Conseillère déducation qui gérait les problèmes du collège. Au bout de ce couloir se trouvait une porte noire semblable à la porte dentrée qui menait au bout de la cour de récréation. Dailleurs pour atteindre la cour du collège, il suffit juste daller tout droit et on passe alors devant un tableau informative avant darriver devant une autre porte noire ressemblant également à la porte dentrée. Une fois cette porte passé on arrive dans la cours qui mange tout lespaces qui nest pas  pris par le bâtiments. En tournant directement à gauche on va vers un amphithéâtre ou « amphi » pour les intimes. Mais le mieux restes encore le grand plateau surélever par rapport au reste qui est au bout de la récréation, il est délimiter par un terrains en pente tapisser darbres. On peut atteindre les terrains de foot et de basket par les escaliers qui sont parfois bloqués par des surveillants. Enfin en sortant de ce fameux long couloir on entre dans la partie droite de la cour sujet à de nombreux mystère car cest la partie la moins visible par les adultes du lycée malgré quelque surveillant qui vérifie de temps à autre. Mais désormais, je connais cette établissement comme ma poche, quatre année dexpérience qui arrive à leur terme et me voici nostalgique

                   Comme à mon habitude mon regard recherchait désespérément mes amis, mais aucun détaille ne méchappais et je vis une lueur despoir dans ma solitude matinale. Je vis Alexandre sapprocher de moi avec sa lassitude permanente afficher sur son visage au cheveux blond, « Tes trop en avance aujourdhui, tes sûre que ça va.

- Je ne pourrais pas aller mieux. Jai juste envie de changer un peu mes habitudes, lui dis-je avec un sourire hypocrite.

- Sinon tas fait quoi hier soir ?

- Et bien pas grand chose à part manger et dormir...»

Ainsi se déroula la discussion la plus banal du monde si ce nest quil me parlait sans arrêt de ses réussites en matière de jeu vidéo, et moi je répondais par une petite démonstration orale des quelques prouesses quil marrive à faire dans ce domaine.

Et puis lassé de lécouter je décida de me soucier des épreuves du brevet qui allaient bientôt détruire mon petit quotidiens et me forcer à réviser pour un diplôme que jai déjà grâce à mes excellentes notes de cette année. Je me délectait de cette victoire précoce mais malheureusement je me fis interrompre  par la sonnerie qui retentissait à quatre reprise. Cette première sonnerie mindiquais que je devais me ranger devant un rectangle blanc dessiner pour chaque classe mais aucune des lignes nétait respecté tous les élèves parlait entre eux et se mélangeait grossièrement, y compris moi. Ma classe était celle des troisièmes trois, une bonne classe, un peu dissipé ayant pour délégués deux imbéciles finie. Mais au moins on samusait, on rigolait des caractères de chacun créant une ambiance presque optimale même si tendue quelque fois. Après que la seconde sonnerie indiquant le début des cours est sonné , le prof nétait toujours pas la, peut être était-il malade, lespoir de son absence me rendait joyeux. Et puis je vis arrivée les deux retardataire de la classe, Taïron et Ayoub.  Une fois les salutations faites, je pris à part Taïron pour lui parler de Tennis, et lui me raconte les exploits de son club tandis que moi je lui raconte les matchs que jai vue à la télé. Ses aventures en matières de Tennis finissent par me rendre jaloux et je me distrayait plus encore à entendre Ayoub et Taliya parler de leur fête de Samedi dernier. Je rêvais de ce genre de chose, de pouvoir braver les interdits fixé par ma mère, peut être que cela rendrait ma vie plus palpitante.

                  

                   Tout à coup, un grand bruit résonna dans tout le collège laissant place à un immense halo bleu se dessinant dans le ciel qui se propage autour de létablissement.

Un mouvement de panique débuta du côté des surveillant qui commençait leurs courses jusquà la grille. Mais à peine eussent-ils le temps de courir vers le grillage quils moururent sous nos yeux, effectivement il venait dêtre découpé en morceaux dune manière incompréhensible, car aucun homme ne les avaient attaqués, ils sont juste mort. Je restais immobile, choqué, et je ne réalisait pas ce quil venait de se produire, sétait irréel. Je sentis alors un petit bruit derrière moi qui fit frissonner tout mon corps, je ne pouvais pas me retourner mais il le fallait, et en regardant derrière moi je vis la tête de mon professeur principale écrabouille sur le béton. Ma première déduction fut que sa tête était tomber dune fenêtre et que le reste du cadavre était en haut, ma seconde réaction fut de tenter de calmer mon effroi, mais une fois calmer et revenue à la réalité, jentendis les cris des élèves horrifiés, apeurés et paniqués. Mais il fallait que je reprenne mes esprit, jétais un troisième et en tant que section la plus grande du collège nous devions gérer les plus petits, étant donné que les adultes semblaient tous morts. Nous allions être certainement livré à nous même piéger dans ce halo étrange, mon côté geek mindiquerait cette hypothèse si évidente. Je sondais alors mon esprit en imaginant toute lorganisation que nous devrions faire pour devenir une communauté, et je me mis pendant une seconde à aimer cette situation si palpitante et qui bouleverserais totalement mon quotidiens. Après cette pensée abjecte, je men voulais mais il fallait que je pense à autre chose maintenant, la première étape serait de retrouver le calme et de ne plus sinquiéter. Si quelquun voulait nous tuer il laurait déjà fait depuis longtemps. Animé par cette évidence, je repris contrôle de mon corps apeurés qui marchait parmi les cris et les pleurs, dans le but de retrouvé Alexandre, Ousara et Taïron qui sont incontestablement les personnes les plus proches de moi

Nouvelle Calédonie [Pause Correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant