Nouvelle Calédonie [Pause Correction]

Point de vue Thomas

Point de vue Thomas :
Ce qui venait de se produire ne m'étais jamais arriver auparavant.

Aucune, je dis bien aucune fille n'avait osé lever la main sur moi jusqu'à aujourd'hui. Je me sentais étrangement dominé et l'adrénaline paralysait en partie mon corps. Mais je sais me défendre. Elle m'a mis une droite avec une impressionnante force que j'avais sous-estimé. Malgré cela, cette fille me plaisait de plus en plus, elle a ce coté de femme fatale mais innocente à la fois.

Cette personne m'intrigue et me donne envie d'en connaître plus sur elle, sachant que je ne cours jamais derrière une fille elle me donne cette envie d'essayer.

Je deviens s'en doute fou ou alors hypnotisé par elle.

Le trajet se déroule en silence, je décide de contacter un ancien ami pour avoir des renseignements sur cette fameuse Déborah.

-Bonjour, Roberto comment ça-va ?

-Thomas, je vais bien moi et toi ? Que me vaut l'honneur de ton coup de fil ?

-Oui je t'appelle pour te demandé une faveur ! C'est un peu urgent, tu peux chercher des informations personnelle sur une femme qui se prénomme Déborah Smith

-Tu sais que je n'ai pas droit de faire ce genre de recherche. C'est pas du tout professionnel, je peux me faire viré ! Et puis qui est cette femme ?

-Je n'ai pas le temps de répondre à tes questions, tu peux me faire cette faveur ou pas ?

-Bien-sur, tu sais que je ne te refuse rien mon pote. Mais tu devras répondre à mes questions plus tard.

-Oui, oui envoie moi les informations sur mon mail dés que tu as le temps.

-Pas de soucis.

Je raccroche soulagé qu'il est accepté et continue de faire mon emploi du temps pour mon long séjour en Nouvelle-Calédonie.

Lors de mon appel, j'ai pu apercevoir Déborah essayer tant bien que mal d'écouter la conversation. J'espère qu'elle n'a rien entendu, elle pourrait pensé que je suis un psychopathe même si c'est un peu le cas. Je replonge mes yeux dans mes documents pour faire passer les quelques minutes qui restent.

Point de vue Déborah:

Depuis l'altercations que j'ai eu avec monsieur Diliski, un énorme silence régnait dans l'avion. Il est actuellement au téléphone pour demander des informations à je ne sais qui et peu importe, cela m'est égale.

Quelques minutes plus tard, l'hôtesse vient nous informé que nous allons bientôt atterrie. Parfait, je n'aurais plus a supporté sa présence qui m'est insupportable. Je ranges les documents de déménagement dans mon sac et attache ma ceinture pour l'atterrissage..

Quelques seconde plus tard, nous atterrissons sur le sol Calédoniens. Alléluia ! Je vais pouvoir soufflé car voyager avec cet homme a été un vrai défis.

Je remercie rapidement les hôtesses et descend en vitesse du jet afin de quitté les lieux au plus vites. Je prends mes valises dans la soute et me dirige vers la voiture qui m'attendais à l'entrée de l'aéroport. Quand d'un coup, j'entend quelqu'un crier mon prénom, je me retourne pour voir qui venait de crier de cette façons.

Et bien évidemment, je vois Diliski hurler à nouveaux. Sur un coup de tête je lui fis un énorme doigt d'honneur venant du fond du coeur et repris mon chemin.

Un bon vent soufflais sur l'ile, tous cela m'avait manqué.

L'île est absolument magnifique, ses paysages sont variés et il y a des grandes plages de sable, des falaises, des terrasses aquatiques uniques.

J'aurai peut-être du m'installer ici bien avant, fin bon ce n'est pas l'heure des regrets.

Je pose mes valises dans le coffre, entre dans le véhicule et indique l'adresse de l'hôtel au conducteur :

-Halo, bisakah kamu membawa saya ke alamat ini?

(Bonjour, pouvez-vous m'emmener à cette adresse ?)

-Ya tentu saja !
Berikan saya alamat.( Oui bien-sur ! Donnez moi l'adresse)

-
(merci).

Il me fit un clin d'il sans doute sa manière de me remercier.

Heureusement, pour moi j'ai appris a parler Indonésien.

Le trajet se deroule rapidement et les hommes de la réception s'occupent de mes valises quant à moi je monte dans ma suite.

J'arrive à mon étage puis insère ma carte pour pouvoir entrée dans le luxueux appartement.

Une fois à l'interieur je pose mon sac à l'entrée et observe l'immensité de la pièce.

-Waouh ! Dis-je époustouflé par la grandeur