La ville lumière

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1 heure... 1 heure dans un putain de bouchon, il y avait déjà plein de monde et pour en rajouter une couche, il y avait un accident. Moi je me sentais bien, j'étais derrière, tranquillement, la tête sur l'épaule de mon homme. Je me sentais tellement bien et apaisé pendant que Kévin lui s'endormait paisiblement.

*Dans le centre-ville de Paris*

Il y avait un monde fou et à droite de moi, une foule avec pleins de panneaux où il y était inscrit #PRAYFORPARIS avec des roses de toutes les couleurs dans les mains de la foule. Sur certaines pancartes se dessinaient des visages de personnes, probablement décédées suite aux drames, des larmes coulaient sur les joues d'une petite fille, j'avais beaucoup de peines, de la peine et de la colère.

Nous voilà arrivait, cette endroit était encore plus couvert de fleurs à en rouler dessus. Nous étions au 11 ème arrondissement. Les bougies arpentez les rues et des pétales de roses recouvraient l'entrée des portes.

4 ème étage, le père de Kévin toqua et une vieille dame nous ouvra, elle avait les cheveux blancs, des yeux marron avec une bouche petite mais pas souriante vue les circonstances, elle avait des rides dessinés sur son visage de peau blanche. Je n'étais pas très à l'aise mais Kévin restait prêt de moi pour m'aider à me sentir mieux bien que sa grand mère n'était pas au courant pour Kévin et il ne préférait pas le dévoiler, il fallait rester discret.

Andréa (la mère de Kévin) se jeta dans les bras de sa mère, elle fondit en larmes avant que Kévin et Thomas la rejoignis pour l'apaiser, c'est à se moment là que tu te demande pourquoi la vie et aussi cruelle.

*Ellipse*

Nous voilà, rassemblés autour d'une table, une grosse bougie au milieu entourée de petites pétales de roses et de coeurs coupés dans du papier. La grand mère prit la parole.

-Bonjour Éloïse. Nous sommes tous ici pour toi mon amie. Tu me manques terriblement.

Puis vînt le tour d'Andréa.

-Bonjour Éloïse, nous nous sommes quelquefois parlées et tu étais la plus gentil du monde avec moi. Repose en paix.

Puis Kévin me prit la main pour me rassurer mais je sentais qu'il était tendu alors je lui caressa la main le plus doucement possible. Il respirait fortement comme si il avait parcourut le 100 mètres en courant de toutes ses forces.

Je lui chuchota le mot le plus doux possible pour le rassurer.

-Je serais toujours là pour toi.

Puis, de toute vitesse, Kévin se précipita dans mes bras et se relâcha toutes les larmes de son corps, je lui caressais lentement le dos pour le calmer et le rassurer.

-Chuuut... Ça va aller...

-Mer... Merci pour tous Félix.

Je décida d'emmener Kévin dans une pièce à part pour le calmer.

Je ferma la porte, je me retourna et Kévin se jeta de plus belles dans mes bras et m'embrassa, mais ce baiser n'était pas comme les autres avant, non, celui si était si intense, le genre de baiser que tu reçois que très peu dans ta vie, je sentais Kévin se remettre petit à petit de ses émotions.

-Je ne sais pas ce que je ferais sans toi Félix, tu es ma raison de vivre.

-Et toi la mienne, je t'aime Kévin.

-Moi aussi je t'aime, plus que tout.

*22h, dans un chambre d'invitées*

Kévin était sur sa tablette en train de chercher quelque chose et moi je lisais des nouvelles histoires que je trouvais sur wattpad, trois nouvelles fictions que je lisais me plaisait énormément, "Tu es mienne" "Alpha et moi" et "Alpha par erreur", mais je ne vais pas commencer à vous raconter l'histoire, déjà j'ai pas que ça à faire et je spoylerais tous, donc allez voir vous même héhé ;-) .

-Mon coeur, tu voudrais venir voir le dernier Hunger Games ? Une petite sortie entre amoureux. Me demanda t'il d'une manière coquine.

-Beh bien sûr qu'on va allez le voir, t'as crus quoi? Dis-je d'un ton narcissique.

-Et bien prépare toi. Ça commence dans 1 heure mais avec la futur foule que j'imagine, on va se préparer à l'avance.

-Tu as raison.

*30 minutes plus tard*

Déjà un monde fou, je suis pas patient moi et je serais prêt à faire le rugbyman pour passer. Je me plaignais souvent.

-Roh, t'as pas finis, on dirait un taureau enragé ! Me dit-il d'un ton moqueur.

-Tu va voir ce qu'il va te faire le taureau !

Kévin me prit la main et me la caressa lentement comme pour m'apaiser.

-Chauffe pas la bête Kévin... Tu risques d'en subir les conséquences !

Il me regarda d'une manière très sensuelle avant d'enfin arriver devant la caisse.

- 2 places s'il vous plaît.

La salle était déjà bien remplie, Kévin me tenait la main comme s'il voulait pas me perdre, ça me faisait penser à Lucy ! Elle faisait toujours ça, d'ailleurs ça fait longtemps que je ne l'ai plus vu. Kévin prit une place au fond, un peu isolée du reste, je me demandais ce qu'il avait derrière la tête même si j'avais déjà une petite idée.

Le film commença, Kévin et moi étions main dans la main et il me la caressait lentement. Je mis ma tête sur son épaule. 20 minutes écoulées et je sentais déjà Kévin qui voulait un peu d'action. Il commença à me caresser la jambe pour m'exciter.

-Le faire dans un cinéma petit coquin ?

-Oui c'est un de mes fantasmes chéri.

-J'avoue que c'est assez excitant.

Je m'approchai de lui et lui embrassa le coup, des petits gémissements se faisaient retentir puis il me stoppa.

-Regarde bébé, on fait pareil ?

Actuellement dans le film, la fille était sur les genoux du garçon et l'embrassait férocement.

Alors je prit place sur les genoux de Kévin et l'embrassa très sauvagement, il faut dire que j'étais très excité et par conséquences mon homme allait subir lourd.

-J'aime ton côté sauvage Félix.

-Oui bébé je suis un vrai buffle, accroche toi !

Kévin serra fortement mes fesses et m'approcha de lui, nos corps furent collés et la fameuse bosse dans le pantalon de Kévin se fit ressentir.

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Voilà voilà mon chapitre, pour vous 1040 mots pour compenser mon retard de publication.
Bisoux doux :-*

Joyeux Cauchemars Où les histoires vivent. Découvrez maintenant