The only reason...(M.C)

Chapitre 10 : Mine ?

Le jeune fantôme s'installa face à moi, regardant comme si il était obligé remetant bien son haut « Metallica » noir. Il se gratta nerveusement la nuque tout en se mordant la lèvre. Ses cheveux qui étaient maintenant d'une couleur blonde avec quelques mèches bleues, étaient coiffés par ébouriffement et tirés sur le côté comme à son habitude. Ses yeux verts/bleus se levèrent subitement rencontrant les miens.

Je ne sais pas pourquoi mais je ressentis le rouge me bruler les joues et ma gorge se nouer aux mêmes moments que son regard se posa délicatement sur moi. Puis, un autre signe d'anxiété envahit le coloré. Il jouait avec ses doigts cherchant les bons mots.

- Meredith ... hum ... on se connaissait avant, il y a un long moment.

- Comment-ça ? Dis-je surprise tout en fronçant les sourcils à sa révélation.

- Il y a quelques années, au collège. Tu devais avoir 14 ans.

- Oui et ... ?

- On partageait la même école et on habitait pas très loin.

- Je ... pourquoi je ne m'en rappelle plus ?

- Ton accident.

- Oui, mais les médecins ne m'ont pas prévenue d'amnésie.

- Non. C'est beaucoup plus compliqué que ça Meredith.

- Explique-moi alors.

- Cet accident était grave. A cause de cette voiture tu as failli mourir. Tu étais entre la vie et la mort. Tu ... c'est pour ça que tu me vois aujourd'hui, tu as frôlée la mort. Ta mémoire c'est effacée le jour où je suis mort Meredith. Tu étais destiné à devenir ma dirigeante.

- Michael ... je ... pourquoi ne pas me l'avoir dis plutôt ?

- J'avais peur.

- Pourquoi aurais-tu peur Mikey ? Je ne te ferais rien, tu le sais.

- Oui mais ce n'est pas pour ça que j'ai peur, c'est beaucoup plus puissant.

- Alors dis-le-moi. Les secrets ne restent jamais cachés. Ils finissent tôt ou tard à ressurgir et ça seras beaucoup plus douloureux, crois moi.

- Je sais, il marqua une pause. Tu vois, chaque jour que je te voyais, il y a quelques années précédemment, je sentais que je me rapprochais de toi d'une façon ... spécial. J'étais un garçon timide et qui n'aimais pas les ennuies, presque la solitude. Nos parents étaient amis, ils nous laissaient partir ensemble pour se rendre en cours. Je ne connaissais pas encore les gars, ils étaient plus au moins éloignés sans trop l'être. Chaque jour je te voyais, rire au porte des casiers avec tes amis, te concentrer sur les cours de science qui te passionnais tant comme tous les autres à vrai dire, très studieuse et je t'admirais pour ça, distribuer des tracts pour être la nouvelle représentante de l'école, même si j'étais sur que tu aurais fais une merveilleuse présidente de cette fichue école, je te voyais sourire chaque matin et me saluais, ta main agrippant ton sac à dos bleu qui était couvert de pins multicolores. Je me rappellerais toujours celui en forme de licorne arc-en-ciel, ria-t-il. De tes longs cheveux bruns lisses et brillants au soleil, de tes joues qui rougissait à chacun de mes compliments. J'adorais tout, ouais, parce que j'étais tombé amoureux de toi Meredith, et c'est toujours le cas.

J'étais restée silencieuse pendant tout le long de son monologue. Il me décrit comme-ci il me connaissait par cœur, il se rappelait de mon passée mieux que moi-même. Ses larmes étaient entrain de monter à ses yeux et les retenait du mieux qu'il le pouvait pour ne pas les laisser s'échapper et se montrer faible face à moi.

Je ne voulais qu'une seule chose, le prendre dans mes bras. Il paraissait si fragile, si émut, je n'aurais jamais pensée voir Michael un jour dans cet état, amoureux, fou de moi.

Mais un sentiment étrange me traversa en un éclair et une pensée également, suis-je amoureuse de lui ? Ai-je les papillons dans le ventre lorsqu'il se trouve à quelque centimètre de moi ? Ai-je la tête qui tourne à mille allure, n'arrivant plus à mettre les mots dans l'ordre et bafouillant quelque fois ? Suis-je toute rouge lorsque que son beau regard se pose sur moi ? Suis-je accro à sa voix, à son rire, à son sourire, à son odeur, à sa présence ? Ai-je se sentiment qu'il m'appartient et qu'il sera à moi pour toujours ?

Oui. La réponse est oui. Michael Gordon Clifford je crois bien que je suis tombé sous ton charme.

Sans même m'en rendre compte le jeune homme s'était approché de moi se trouvant à ma gauche, me fixant durement et ... possessivement ?

- Mikey je crois ...

Je n'eux pas le temps de répondre, des lèvres se posèrent sur les miens coupant ma phrase et ma respiration au passage.

Michael m'embrassais, il était réellement entrain de m'embrasser.

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Hey !!!!!!!!!!!!!!!

Me revoila enfin avec cette suite !!!!!!!!

dite-moi ce que vous en pensez même si je sais qu'elle est courte mais bon voila SURPRISE !!!MOUHAHAH

Je suis malade =( Moui ... mais ça va aller !!!

Pleins de bisous mes chouquettes et à très bientôt !!!!!!!!!!!!!