Fille d'une titan

Qui suis-je ?

Je suis dans ma grotte entrain de soigner mes nombreuses plaies seulement âgées de 15 ans je ne connais plus le confort d'une douche. Comme avant avec mes parents quand j'étais bébé avant qu'il me jettent pour que je meurent. Accroupi au sol mes genoux près du visage. Je nettoie comme je peux mes plaies sur mes jambes et mes coudes. Je ne parle pas à quoi sa sert ? Je n'ai pas parler depuis si longtemps....... Je connais mon identité et ma raison de vivre. Je vis avec les titans je les comprends et eux me comprenne en échanges. Je les sauves ils me sauvent. Mais là des anges de la mort me poursuive. Ils ont tuées 7 de mes compagnons. Mon refuge est ici les larmes dévales doucement mes joues. Je déteste les humains. Je garde le silence et m'allonge. En pleurant leurs morts. Ma vraie famille c'est eux. Je place mon corps en étoiles chaque partie écarté......
Tatatadoum tatatadoum tatatadoum...
Le bruits des chevaux à la poursuite des titans.
Boum paf boum paf....
Certains s'attaque à lui et il tombe au sol avant d'aclater en fumer à jamais......
Schgript........
Un autre. J'accroche mes doigts dans la boue, et fait le deuil de ces 8 autres victimes qui ce rajoute à la liste noir des morts. Je respire non je suffoque. Les larmes m'étrangle. Mon cerveau ce remémore mes longues course d'arbres en arbres avec mes amis silencieux, ils me protégeait, alors qu'ils aurait du me tué. Le nombre de fois ou j'ai toucher leurs peaux douces emplie d'une chaleur que je ne connaissait pas chez l'humain. Je regardais ma fourrure à base de peau de loup. Je l'avait faite pour pouvoir passé l'hiver sans mourir de froid. Ces souvenir me frappa l'esprit. Je déteste ces bêtes sans coeur qui me les ont volé. Je suffoque sentant les titans mourir même à plusieurs kilomètres j'ai l'impression d'être à côté ressentir les douleurs le vent qui ce forme lorsque les corps tombent sur le sol. Les craquèlement des os.... Les cris de joie quand ils les détruisent.... Leurs ailes blanches sur leurs bras. La colombe est il vraiment symbole de paix ? Alors que 2 races se disputes un territoire autrefois en pur harmonie. J'aimerais bien savoir... Je ne peux plus bougée mon corps vêtue de cette robe de fourrure. Mes pieds nues couvert de sang de ma course contre la mort sont incapable de bougées. Ma peau est devenue froide, mais à l'intérieur un poids gigantesque emprisonne mon coeur. Je les avait déjà vue autrefois et a cette époque je les vénérait mais maintenant je les turaient si j'ai la chance de les croiser encore. Je souffre, mon coeur bat de plus en plus. Arrachant des gémissements. Mes yeux s'ouvre en grand quand des pas résonnent dans ma grotte. Ce bruit mécalique qui s'entre choque.... Je n'arrive qu'à voir floue.
-Caporal regardez!!!
Crie une voix grave. Tout le monde s'arrêtes d'un coup les bruits ne résonne plus. Les souffles sont coupé. Jusqu'à entendre seulement 2 personnes bougeaient. Je sent leurs souffle s'accader l'un à peur je sent ces frissons, cet odeur acre de transpiration soudaine. L'autre je ne sent rien je désserre mes poings de la boue. Ils s'accroupisent près de mon corps. Et je vois 2 garçons l'un aux cheveux brun court sur les côtés mais long sur le reste. L'autre soupira de soulagement en me voyant. Pourquoi ? Il y'a quelques heures ils voulait nous tuaient et la il soupire en me voyant... Je ne compris pas. L'autre je remarqua directement ces yeux aussi vert que la pousse d'un chêne encore bébé en plein printemps. Je me sentit mal. Je quitta ces yeux pour voir ceux du ténébreux les siens étais d'un gris noir profond comme celui d'une nuit bohème. La ou lorsque le feu fit sortir sa fumée qui couvrait le ciel. Les larmes coulèrent plus je me haïssait de ne pas pouvoir bouger. Je ne sentis pas la main du brun clair essuyait mes joues. Je voulais lui cracha ma haine telle un serpent. Mais la seule chose que je pouvait faire est de fermait les yeux et de repensée aux bons moments avec mes anciens compagnons muets. Mais lorsque je ferma les yeux je me laissa engouffrait dans le vide qu'est mon esprit et me laissant violament piquée par les morceaux de mon coeur.

Elle n'est pas seul à haïr la race. Mais son compagnon de haine est dans un monde inverse.....