chapitre 6

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POINT DE VUE TIM

Nous arrivâmes devant l'école qui se trouvait dans une ruelle peu éclairée et je commençai à inspecter les lieux.

Il y avait des caméras de surveillance partout, et je crois même qu'un gardien se trouvait la dedans car les fenêtres étaient toutes sois ouverte ou entrouverte, les pièces étaient éclairées...bizarre.

Étrangement, je le sentais pas cet endroit.

Je me tournai vers Live et voyais que son expression de visage n'était pas la même il y a quelques secondes.

Je m'en doutais il y avait quelque chose qui n'était pas normale. Et vu que Live le sentait aussi, cela confirma mes doutes.

- Il y a un truc pas normal. Lâcha-t-elle sans lâcher les lieux du regard.

- On doit couper avant les caméras de surveillance! lui Dis-je .

- Laisse je m'en charge! Attend moi ici je reviens.

Je l'attends donc devant sa moto, je savais qu'elle n'allait pas tarder à revenir, elle s'en chargeait à tout les coups de couper la surveillance électronique, ça l'amusait et je la laisse faire.

Dans même pas deux minutes elle revient le sourire aux lèvres jouant avec la pince qu'elle tenait entre ses mains.

- Un jeu d'enfant.

- Ouais, ça ne me surprend pas.

Elle me prend la main et m'entraîne avec elle.

Nous montons les escaliers et entrons par la porte principale tout simplement.

- J'avais prévu escalader les murs pour rentrer par une fenêtre mais c'est mieux. Me lança-t-elle.

C'était simple en fait..

Une fois à l'intérieur nous nous figeâmes face à la magnificence des lieux.

Les couloirs étaient immenses, de vieux lustres de couleur dorée étaient accrochés , un très joli papier peint de couleur caramel couvrait les murs, le design des meubles est aussi raffiné que le sol de marbre. On devine facilement l'importance de l'investissement de l'architecture.

Les casiers étaient immenses, Live pourrait même mettre sa garde robe dedans....non je plaisante sa garde robe égal la surface d'un carrefour. Mais en tout cas on rentrerai à trois dans ce placard à l'aise.

C'était magnifique j'ai jamais vu une école pareil, dans tous les nombreux déplacements que j'ai fais, ça, reste exeptionnel.

- Ils ont du nous payer une fortune pour ça! S'exclama-t-elle.

- Ouais , sûrement, c'est magnifique! J'adore.

- J'ai fais une petite recherche sur internet, j'ai eu pas mal d'informations concernant cette école.
Tout d'abord, avant que ce soit une université c'était le château du roi Éric 2, ils y avaient vécu plus de 8 siècles en suite il a été transformé et rénové, le nom a été changé de : château du grand roi Éric à Julbert University. Aparament Julbert était un des descendants du roi.

Je l'examinai pendent son explication.

C'est ce qu'il me plaisait chez elle, elle donnait importance à tous ces petits détails sans importance..

On avança prudemment.

Il y avait un ascenseur en verre avec un joli miroir dedans et plein de pots de roses de toutes les couleurs éparpillés un peu partout dans les coins.

Nous prîmes donc les escaliers de secours et nous arrivâmes au premier étage.

L'administration..

- Nous n'allons pas tarder, je vais jeter un coup d'oeil aux dossiers et le site de l'établissement. et toi vas vérifier si cette personne est bien le gardien. Fais toi discrète.

Avant que je puisse terminer ma phrase elle était déjà partie..

Quel caractère merdique, c'est bien elle et elle ne changera pas.

Je comprends toujours pas comment j'arrive à la supporter. Alors que toujours le dernier mot me revient à moi. C'est pour ça que j'ai toujours été populaire à la fac et personne n'ose me contredire ou me couper la parole à chaque fois que je parle. Mais "elle » c'était une exeption.

Cela ne veut pas dire que je suis méchant ou je joue le rôle de supériorité sur les autres, bien au contraire. Sauf que dans ma nature avoir le contrôle de la chose ça m'éclate, et sur elle je n'ai jamais eu le contrôle de quoi que se soit.

Donc, j'avançai prudemment dans les corridors de cet immense établissement.

Je bifurquai à droite puis à gauche, marchai tout droit vérifiai toutes les pièces mais personne ne se trouvait ni même un seul bruit ne se faisait entendre.

C'était un vrai labyrinthe je crois même que je me suis perdu merde!

Je commençai à me demander comment j'allai retrouver Live, si elle allait bien.. quand je sentis quelque chose de froid et de dur se planter dans mon dos.

Je voulu me retourner mais trop tard.

Zap!

Je reçu une décharge d'électricité.
Je tombai à genoux.
Mon cerveau ordonnait à mon bras de bouger mais rien ne se produisait. C'est comme si j'étais paralysé.

J'aperçu un homme qui sortait de l'ombre et se dirigeait vers moi, il portait une sorte de combinaison noire et un masque qui lui couvrait bien le visage.

Bats toi!

Avec le peu de force que j'avais j'essaie de me lever et lui enfoncer mon poing dans la figure.

Ce dernier esseya de me tordre le bras mais je le colle au mur et l'étrangle jusqu'à ce qu'il perde son souffle.

Je le laisse tomber par terre et vérifie si il respire toujours.
Son coeur bat très fort.

Je lui enlève son masque mais il interrompa l'action en me tordant le poignet.

Et courra comme si sa vie en depondait... en fait si elle en depondait.

Cet homme était carrément doué je ne sais quelle force il avait en lui mais c'était impressionnant.

Ce fils de pute ma cassé le poignet je crois.

Mais qui est-ce ? Et Quesque'il fait ici au milieu de la nuit je me demande..

LIVE!!

Dangerous WomenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant