Le cœur en lambeau

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"Tu étais l'insouciance et moi j'étais la réflexion et l'inquiétude. Tu étais le jour et moi j'étais la nuit"
Un homme marche sous la pluie sans se soucier de l'averse qui a lieu.
"Tu respirais la joie de vivre et moi je respirais surtout la folie. Nous étions tout deux différent mais nous nous assemblions."
Il marche jusqu'à un lieu à jamais sacrée. Sous cette pluie, sur cette île seule 2 personnes sont présentes. Un homme bravant la tempête en t-shirt pour rejoindre un lieu et une jeune fille sous un parapluie déjà au lieu en question.
"Tu avais moins importance sur le bateau que moi. Mais au font nous étions tous important."
Il arrive au lieu et ne porte même pas attention à la jeune fille qui regarde fixement plusieurs rochers.
"Tu étais des nôtres et tout le monde t'avais accepté. Oh ! Comme je suis navré de ce qui c'est passée. Si j'avais sut et si j'avais pût."
La jeune fille penche la tête vers l'homme sans un sourire. Elle a les yeux d'un bleu nuit profond et se remet à fixer les 2 pierres :
« -Le temps n'ait pas au meilleur. Introduit la jeune fille.
-Ouais. Répond vaguement l'homme.
-J'ai toujours aimé la pluie. C'est un temps parfait pour s'enfermer quelque part et regarder des films ou lire et puis c'est un temps d'adieu, de tristesse et de tellement de chose. Poursuivit la fille aux yeux sapphire.
-Ouais. »
Il ne prit même pas le temps de la détailler. À quoi bon elle n'était juste de passage comme tout passant dans une rue et elle disparaîtrais comme une étoile filante qui s'éteint dans le ciel.
"Le monde est cruel et je dois l'affronté seule maintenant. Tu m'aimais et je t'aimais. Tout était parfait et pourtant..."
Il pleure mais il s'en fiche éperdument seule c'est deux pierres comptent. Et elle, elle le regarde. Un soupir s'échappe des fines lèvres de la fille. Comment ne pas être désolé par les malheurs de ce monde.
«-On dit que qu'en des personnes importantes aux yeux de certaine personne meurt alors un déluge s'abat sur la terre. Conta la fille au cheveux bicolore.
-Et alors qu'est-ce que cela peut me faire! S'énerva le garçons blond.»
Elle regarda tristement les 2 pierres, les deux stèles où sous terre reposer maintenant 2 personnes importantes, soupira puis encra son regard dans le blond.
"On dit que la chance sourit aux audacieux mais ne l'étais tu pas ? Alors pourquoi elle t'a pris et t'a emmené si loin de moi ? Hein ! Pourquoi ?"
Elle a se regard énigmatique d'une personne ayant tout vus et tout vécus. Son regard d'un bleu venant des abysses faisait froid dans le dos. Et pourtant il l'a regardé avec une rage incommensurable. Elle avait alors poser une simple question.
«-Vous teniez beaucoup à eux ?
- N'est-ce pas normal, après tout c'était mon père et mon frère ! Lui avais craché ce dernier.
- Moi en tout cas j'aurais bien aimée faire parti de votre équipage, mais bon l'anonymat me sied mieux et je préfère la solitude. Plutôt qu'un jour souffrir. Elle lui avait dit ça calmement.
- Souffrir voilà ce que mon vocabulaire ne connaissais pas maintenant même mes entrailles connaissent ce verbe.
- La solitude a sa propre souffrance et est son propre fardeau.
- Oh fermez la ! C'est bon vous ne connaissez rien à la souffrance. Votre solitude je n'en ai rien à faire !
- Le monde je les vus sur tout ses coutures et je sais que l'amour est le sentiment le plus frustrant et destructeur au monde. Alors ne m'engueulez pas juste parce que vous allez souffrir tout votre vie car votre âme-sœur et mort !!! Vous Marco le phœnix vous aimiez Portgas D. Ace et ne me contredisez pas ! »
L'homme qui répond au nom de Marco est surpris et pourtant la jeune fille dit vrai, il aimait et il aimera toujours Ace au poing ardent.
"La mort c'est elle la fautive, elle est arrivée avec sa faux et t'a prise pour que je ne te vois plus jamais de mon vivant. Maintenant tu n'est plus de ce monde et moi je suis encore en vie"
« - Comment le savez-vous ? Questionne-t-il.
- Je suis pas qu'une simple voyageuse. Et pas non plus une idiote. Sur ceux bonne journée et sachez que dans ce monde il n'y a pas que vous qui souffrez. Les malheurs en ce bas monde sont nombreux et parfois s'égalent.»
Elle part en soupirant et l'homme éclate en sanglot. Il aime un homme mort et ne le reverra plus jamais tant que la grande faucheuse ne viendra pas le chercher.
"J'ai le cœur en lambeau comme un pauvre à ses habits en lambeau. Oui maintenant je suis pauvre de bonheur. Tatch mon ami est d'abord mort, et puis père y est passé et toi tu m'as laissé et tout cela en si peu de temps."
L'homme fait une dernière prière et s'en va. À partir de maintenant il sera toujours maussade. Il a perdu sa joie de vivre et son cœur n'est que de lambeau.
Il rejoint ses hommes et repart en mer.
Quelques temps plus tard on parlera du Moby Dick qui n'es plus que l'ombre de lui-même, et d'un homme blond du nom de Marco qui n'est plus celui qu'il était.
Le monde est cruel et l'amour peut amplifier ou réduire cette cruauté.
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Gomen pour le retard et désolé pour ce qui n'aime pas les yaoi mais j'arrivais pas à écrire un LuNa et à ce propos je poste dans la semaine le LuNa et dedans il y aura 10 mots soulignés qui sont des mots que je doit placer dans une os. C'est un défi de : Mademoiselle_muke
Je vais y arriver j'en suis sûre. Bon allée à plus et bonne vacance.

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