~Chapitre 7~

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Je n'avais jamais eu de béquille de toute ma vie avant ce jour là mais j' ai déjà eu un bras cassée, le tendon du poignet déchiré, les cotes félées, il m'est même arrivé une fois, pour une cause bien débile, de m'être cassée les deux jambes et d'avoir eu une grosse fissure au niveau du crâne. Je vous vois venir : "Alors, si elle s'est cassée les deux jambes, elle a dû forcément êtres dans un fauteuil roulant pendant quelques mois puis après avoir eu des béquilles "
Bah...En fait, les médecins ont étudiés mon cas à plusieurs reprise en essayant sans cesse de détecter une raison à ce " miracle "disaient-ils.Mais pour mieux comprendre, je préfère vous narrer cette histoire :

À mon arrivée à l'hôpital, j'étais enduise de sang des pied jusqu'au cuisse, mon visage était recouvert de panache de poussières, mon crâne était rouge comme la brèze, sous mes yeux remplis d'eau coulaient des larmes en abondance, j'avais beau les retenir tant bien que mal, pour ne pas montrer mon chagrin, elles parvenez à se faufilées jusqu'à mon cou. Mes vêtement étaient imbibés d'eau et recouvert de terre. Mes cheveux tombaient en horizontale sur le buste de la personne qui me portaient. Deux médecins arrivèrent en courant, à bras ouvert, me prirent et me mirent dans un lit couvert de draps bancs que j'aurai plus tard imbibé de rouge.
Arrivée à la salle d'opération, on me mis sur une table où on m'injectai directement de la morphine . Je commençai à voir trouble puis tombais-je littéralement dans les pommes sous l'effet de cet entibiotique ravageure .

Chaque jour, à la même heure,  allongée sur le lit couvert de draps qu'on lavait toute les deux semaines, à attendre que les infirmière m'amène les antibiotique qui m'étaient administrée matin, midi et soir qui était sous plusieurs formes, des fois on m'injectais les médocs à l'aide d'une seringue, je n'aimez pas trop quand ils l'utilisé car, après, ça me laissait une trace rouge qui me démangeait abondamment, des fois en poudre, mais la plus part du temps on me les servait en temps que cachets ou gélules à avaler ( et je ne vous parle même pas du prix [très élevé] que comportaient ces soins médicaux ).

La nuit, il m'arrivait souvent de faire des crises de paniques et de me mettre à crier jusqu'à ce que ma gorge lâche et que poumons sois vidés d'oxygène .Les infirmières arrivaient vers moi, sans pression, calmement, comme si ma vie n'en dépendait pas, pour me donner toutes sortes de drogues médicamenteuses : de l'hypnotica, de la coquaïne ( qui est légale pour des utilisations médicales )  des artopiases , de l'inébiantia, de la morphine, des dolipranes 5000 mélangé avec une petite dose d'insuline. 

Tout ces antibiotique, me fesais planer . Chaque drogue avait sa propriété . La plus part me faisait voir la vie en rose ( au sens propre comme au figuré ) . 

Au début, quand vous arrivez à l'hôpital, tout le monde s'inquiète pour vous, même des gens que vous connaissez à peine, vous devenez tout d'un coup important à leur yeux. Tous les jours on vient vous rendres visite, ou on vous envois des cartes de voeux du style : " Bon rétablissement " ou encore " J'espère que tu n'as pas trop mal au jambes et que la laision de ton crâne s'est affiné " même si le dernier voeu est peu souvent envoyé . On ne vous oublies pas, sauf que au fur et à mesure que les jours passent, vous vous rendez compte des personnes qui s'en foutent totalement de vous et de ceux qui ne vous laisserez jamais tomber quelque soit la situation . Eh bien, dans mon cas, à la fin je me suis rendus compte que même ma propre famille oubliait de me rendre visite, alors quand vous les avez au téléphone, c'est toujours le même discours : " Oh zut, j'ai oubliais de te dire, aujourd'hui j'avais cours de danse ! " puis ça divague, défois c'est le cours de danse, d'autre fois le basket, la piscine, le badminton...Donc à la fin, vous vous ennuyez royalement et commencez à déprimer dans votre pauvre lit .

501Où les histoires vivent. Découvrez maintenant