Chapitre 26.

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Je n'en crois pas mes yeux mon père ! Devant moi avec son âme sœur dites moi que c'est un cauchemar ! Aiden doit sûrement sentir qu'il y a un problème puisque je le serre très fort et que je tremble.

Aiden : Rosalia ques qu'il se passe ?
Moi : je.. Enfin.. C'est..mon..
Aiden : ton quoi ?!
Moi : c'était mon père.

Dès lors où j'eus fini ma phrase l'âme sœur de mon père est sur le choque tandis que mon père lui baisse la tête. Aiden lui se tendit directement en resserrant son emprise autour de mon corps frêle, je sentais qu'il bouillonnait de l'intérieur et qu'il serait capable de tuer mon père sur le champs mais il ne fallait pas. Je me retournai face à lui pour captiver son regard mais rien, il regardais mon père d'un regard plus que meurtrier, ses yeux étaient rouge sang tellement qu'il semblait énerver et je ne voulais pas qu'il ne puisse me faire du mal ni à qui que se soit même si mon père le méritait emplement. Je lui en voudrais beaucoup alors pour essayer de le calmer je mis délicatement mes mains sur son visage dès mon contact sur sa peau mes mains froide par l'hiver se réchauffèrent instantanément contre sa peau brûlante. Il daigna enfin à poser ses yeux sur moi puisqu'il dû ressentir dans mon regard de la peur, j'avais les larmes au yeux et mon cœur s'emballait de plus en plus, ma respiration se bloquait et je savais que j'étais en train de faire une crise. Trop d'émotions pour moi mes jambe ne me retenaient presque plus, Aiden me pris dans ses bras puissant et chaud je mis sentais en sécurité. Il marchait mais où je ne sais pas jusqu'au moment où je le sentis s'assoir et me coller à lui.

Aiden : non chut chut calme toi je suis là et je ne te ferai aucun mal mon amour... Je suis désolé je ne voulais pas te faire peur je te jure mais c'est ton père qui m'a foutu dans un colère noir je veux simplement que tu ne souffre plus à cause de ton passé..
Moi : c'est..pas de.ta faute Aiden.Lui dis-je en posant ma main sur sa joue.
Aiden : c'est bien au moins tu respectes l'alpha suprême. Rigola-t-il
Moi : eh mais espèce de crétin !
Aiden : ah oui mais je ne suis pas n'importe quel crétin je suis le tiens. Dit-il en m'embrassant tendrement.
Je me décollai de lui par manque de souffle ma respiration était revenue à la normale, bizarrement jamais personne n'avait réussi à me calmer aussi facilement.
Moi : merci..
Aiden : pourquoi ?
Moi : pour avoir réussi à me calmer...
Aiden : ne me remercie pas pour se genre de chose mon amour.
Moi : je vais aller voir mon père pour lui parler.
Aiden : hors de question. Dit-il fermement.
Moi : bien-sûr que si je vais y aller. Dis-je le plus calmement possible.
Aiden : et moi je t'interdis.
Moi : dans se cas j'irai quand même avec ou sans ton accord. Dis-je cette fois-ci énervée.
Aiden : Rosalia n'en fais pas qu'à ta tête et écoute moi, n'y va pas.
Moi : je m'en fou Aiden j'ai trop de chose à lui dire ou à lui demander, je ne suis pas à ta disposition je n'ai aucun ordre à recevoir de qui que se soit et encore moins de toi !
Aiden : je suis quand même ton Alpha tu as beau être mon âme sœur mais tu dois me respecter autant que les membre de ma meute et te plier règles.
Moi : nan mais tu t'entends ! Eh bien dès que j'aurai parler à celui qui me sert de père je te respecterai comme une de tes soumise Alpha. Dis-je en inclinant devant lui, avant de lui jeter un regard noir remplit de dégoût.

Dites-moi que c'est un rêve et que je vais me réveiller parce que se n'est pas possible, jamais Aiden ne m'a parler de la sorte. Je lui en veux il n'a pas à me parler sur se ton mais bon ce n'est qu'une dispute après tout cela fait parti d'un couple non ? C'est vrai qu'avec moi Aiden a toujours été très indulgent et ne m'a jamais parler comme avec les membres de sa meute...

Mon père se trouvait seul près d'une sorte de buvette, je me dirigeais donc vers lui à la fois anxieuse et énervée mais je savais que d'une certaine manière je ne lui en voulais plus.. Je m'assis donc à côté de lui et il dû sentir ma présence puisqu'il se retourna de sorte à être face à moi, quand il me reconnu il sembla triste mais aussi soulager.

Te necesito.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant