Chapitre 1

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J'arriva enfin sur la scène de crime.
Je me rapprocha et vit Gabe.
J'alla vers lui et salua mes collègue en chemin.

Gabe: Bon matin Teresa. Ça fait longtemps. Comment allez vous?
Moi: Moi ça va, mais je pense que nos cadavres nous attendent.
Gabe: Oui, c'est vrai, pardon.
Moi: Bon, quel mode opératoire utilise notre tueur?
Gabe: Hm, et bien il choisis des couples entre 35 et 40 ans. Tous les hommes qu'il a tué ont des cheveux brun, de même pour les femmes. Il les choisis aussi en fonction de leur richesse, de comment ils s'habillent, dans quel genre de maison ils habitent.
Moi: Okay. Et comment il les tue? Il laisse des traces ou une signature?
Gabe: Non, pas vraiment. Il les a tous mutilés, torturés, mais il n'a jamais laissé une trace commune sur ses victimes. Par contre, on sait que chaque couple a été enlevé. Le tueur les saisis à n'importe quel moment du jour ou de la nuit. À ce moment, il a des complices. D'après des preuves relevées par le médecin légiste, jamais un seul homme aurais pu provoquer l'enlèvement. Après ça, les complices laissent les victimes seules avec le tueur.
Celui-ci les séquestres minimum 5 jours et maximum 2 mois et demi.
Plusieurs couple ont déjà été tués, même beaucoup. Son premier meurtre remonte il y a 2 ans et 3 mois.
Nous savons le nombre de jour minimal et maximal des séquestrations grâce au famille qui nous ont prévenu de la disparition de leur proche et quand on retrouvent les corps. Quand il a tué ses victimes, il les emmène directement sur une voie public et ne laisse aucune trace.
Moi: 2 ans et 3 mois? Il est doué... mais pourquoi avoir fait appel à nous?
Gabe: Voilà, le FBI a enfin accepté de faire une mission sous couverture. Ils m'on demandé de la faire vu que j'ai 39 ans et que mes cheveux son bruns. Mais j'ai besoin d'une partenaire, et au FBI, personne de notre rang correspond à la description, donc je voulais vous demander si...
Moi: Si j'étais d'accord de faire cette infiltration avec vous, c'est ça? Demandais-je en le coupant.
Gabe: Oui, c'est ça. Vous savez, vous êtes un très bon agent, et le FBI vous avait déjà proposé de diriger une équipe chez eux. Mais vous avez refusé car vous êtes mieux au CBI. Je comprends évidemment, mais ce que j'essaye de dire, c'est que vous êtes la seule personne avec un niveau fort élevé pour faire ce genre de mission, qui est toute fois dangereuse, et qui demande de la compétence et de la prudence et... qu'es ce que je raconte moi... Je m'égare là...mais et puis vous ressemblez au profile des victimes et vous avez 38 ans... et j'aimerais travailler avec vous aussi.
Moi: Vous n'êtes pas obligé de me faire un discours pareil pour que j'accepte.
Gabe: Vous acceptez? Demanda-t-il une lueur d'espoir dans les yeux.
Moi: Oui. Allons donc arrêter ce salopard. Dit je avec un sourire. On commence quand?
Gabe: Le plus tôt possible. Demain?
Moi: Ça me paraît bien.
Gabe: Aujourd'hui, il faudrait qu'on fasse un débriefing. Oh, et il faudrait que vous fassiez une valise avec des trucs que vous voulez prendre.
Moi: Ok. Et pour la maison?
Gabe: C'est une grande villa avec piscine et clôture qui protège le jardin.
Moi: Ok. On se voit plus tard?
Gabe: Ça vous va si je passe chez vous vers 15h00?
Moi: Oui, ça va.
Gabe: À plus tard Teresa.
Moi: Oui, à tantôt.

Je partit prévenir mes collègue que pour l'instant je ne serais pas là car j'était en infiltration et que donc Cho dirigerait l'équipe en attendant mon retour.

Je me dirigea ensuite vers le CBI pour prévenir mon patron.

Quand j'arriva, je lui expliqua la situation, et il me répondit qu'il savait déjà, qu'il était au courant de tout, et qu'il avait déjà dit oui au FBI. Ce qui signifie que même si j'avais refusé de travailler en collaboration avec Mancini et le FBI, je n'aurais pas eu le choix, j'aurais été obligée.

Je rentra ensuite chez moi et fit ma valise. J'y introduisit mes vêtements les plus beaux, robes, jeans, jupes, chemisiers, bustes, chemise de nuit, shorts, débardeurs, et sous vêtements, mes produits de soins et mes chaussures les plus élégantes.

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