Des Petits OS

Terraink : Le Viol Est Vivement déconseillé par Wikipédia

Avant toutes choses :
1) Cet OS est fichtrement bizarre. Dez dez.
2) C'est un peu nul. Désolée.
3) Oui, je ne respect pas leur caractère respectif :c
4) BONNE LECTURE

PDV Laink :
Il me l'avait dit. Directement. Sans détours. Sans aucunes formes de plaisanteries.
Il me l'avait dit. Après ces années d'amitié. Ces années où il me l'avait caché.
Je lui avait répondu :"Moi aussi". Il m'avait répondu :"La distance ne fera rien". Et nous avions repris tranquillement le cours de notre discussion.
Depuis ce jour et depuis trois jours, il ne m'avait plus répondu. Il était devenu inactif partout, même sur twitter. Rien n'indiquait sa présence quelque part. Je ne pouvais rien faire pour savoir ! Savoir ce qu'il c'était passé, savoir le pourquoi du comment.
J'avais peu a peu sombrer dans une dépression permanante. Rien ne pouvait remedier à ça, à part lui. Il me manquait. J'étais terriblement anxieux, il avait pu lui arriver quelque chose de grave ! Je priais que non.
C'est sur ces sombres idées et mon air mélancolique que je sorti de chez moi prendre l'air et me calmer.
Dès que je ferma la porte derrière moi, je sentis le vent frais glisser le long de mon corps meurtri. Les faibles rayons du soleil tentaient en vain de traverser la masse nuageuse qui recouvrait le ciel. La pluie ne tombait pas, mais au loin, on pouvait entendre le tonnerre gronder, se rapprochant au fil des minutes.
Ma marche serait brève.
Je me mis donc en route pour le petit parc fleuri qui s'était installé à quelques minutes à pieds de mon chez moi.
Mais dès que mes chaussures commencèrent à fouler le bitume gelé, je ressentis comme une présence me suivant discrètement.
J'accelera mes pas dans l'espoir de la semer, mais elle me filait toujours.
J'avoue que j'avais un peu peur à ce moment là.
Désormais, je courais presque, car je savais que je n'aurais rien à craindre une fois au parc.
Peut-être que je n'avais rien a craindre maintenant aussi, que j'avais des hallucinations, mais on ne sait jamais.
Ce à quoi je n'avais pas pensé avant de m'engager dans une ruelle, c'est que celle-ci était désertique, longue et sinistre.
La personne se rapprochait et j'étais terrifié.
Ma marche se transforma en course, de même pour mon poursuivant qui était bien plus rapide que moi.
Je les entendaient, ses pas saccadés se faisant de plus en plus proche.
Tout d'un coups je senti une main m'attraper le bras et une deuxième me pousser contre le mur.
- Laisse toi faire, tout ira bien. Je t'expliquerai ensuite. M'avait murmuré l'homme capuché.
Que me voulait-il !? Pourquoi me demandait-il de me tenir tranquille !? J'étais tétanisé, comme si mes jambes étaient encastrées dans le sol. Aucune de mes protestations ne sortaient de ma bouche.
La personne en face de moi, dont je ne voyait pas le visage, me souria et...et s'empara de mes lèvres. Mes yeux s'ecarquillèrent et de mon bras libre je repoussa l'obsédé. Recouvrant la parole je lui cria :
- Vous n'avez pas de raison de faire ça ! Dégagez !
- Oh que si, j'ai une raison de faire ça.
Et il réitera son baiser dont je me dégagea rapidement.
- Arrêtez ! Allez-vous en !
Les larmes commençaient à perler le long de mes joues. Il me dit, la voix un peu brisé :
- Non...Ne pleure pas...Je suis désolé.. Je..Oh..Je n'aurais pas du...C'était brutale, pardon..
Je le regardait, toujours collé au mur terne. Il violait mon intimité et ensuite s'excusait ? Il était affreux !
Je m'écria :
- Lachez-moi ! Je...Je suis déjà pris !
Il se mit à rire, d'un rire chaleureux et familier.
Je lui demanda finalement :
- Laissez-moi m'en aller, je ne vous connais pas !
- Si..Tu me connais mieux que personnes...
La surprise se peint (et se saucisson) alors sur mon visage mouillé.
- Qui...Qui es-tu ?
D'un coups de tête il retira sa capuche noir, devoilant son doux visage attristé.
- Je suis Damien, alias Terracid.
Et il repartit pour une pelle bien plus amoureuse et fougueuse que les precèdentes.

ET OUAIS
BIM
UN TERRAINK
Ok je suis d'accord il pue xD Mais bon xDD