Biiiip...biiiip...biiiip... Vous êtes bien sur la messagerie de George Welton laissez un message après le bip sonore! Biiiiippp
<<-Papa? Papa...Pardonne moi, pardonne moi de n'avoir jamais pleuré son départ. De n'avoir jamais pleuré sa mort, de ne mettre jamais excusé de t'avoir laissé souffrir sans même avoir essayé de te soutenir, de ne pas avoir essayé de te consoler alors que tu te détruisais. J'étais petite, oui, si petite mais tellement grande! Je savais se que signifiais la mort. Seulement tu pensais que je croyais qu'il allait revenir, mais tu te trompes je savais que je ne le révérais. Mais avant de verser une larme j'ai réfléchis, j'ai analysé se qu'il venait de se passer et au moment où j'avais capté que c'était bien mieux pour lui de crever. Je n'ai jamais pleuré son départ vers l'au-delà, je ne pouvais pas montrer cette marque de faiblesse, et je ne le voulais pas, il ne méritait pas toute cette tristesse voilà pourquoi j'étais heureuse qu'il soit mort. Papa, tu te dis sans doute que je suis un monstre de la pire espèce qu'il soit, mais détrompes toi, je suis remplis de sentiments, les souvenirs sera toujours gravé dans ma mémoire avec parmi eux, mes rêves les plus fou. Tu te dis peu être que je suis immonde de ne pas pleurer, mais te connaissant une seule et unique question te trotte dans la tête. Pourquoi avoir réfléchis avant de savoir si je devais pleurer ou pas? Je te donne ma réponse dans ce cas.
Je m'étais souvenu, souvenu de tout ces bons moments, ces balades en vélo, ces promenades dans les plus hautes rocheuses, de tout les bricolages qu'on avait fait ensemble, de tout ce qu'il m'avait apprit, sa passion des motos, des voitures de sport, des plus belles mélodies qu'il m'enseignait au piano, ou encore la photographie. Tout cela il me l'a apprit pour un unique but, voir le bon coté des choses et de profiter de la vie tant qu'il est encore temps. Il m'avait offert le plus beau cadeau qu'il soit au monde, le cadeau de m'avoir ouvert les yeux sur ce monde. Puis je me suis aussi souvenu de tout cette souffrance, toute cette douleur insoutenable, la maladie, la pire mort qui soit. 7 jours avant que son cœur cesse de battre, il était la devant moi assis sur ce fauteuil roulant avec sa foutu perfusion qui était devenu la seule chose qui le maintiennait en vie. Il m'a regardé droit dans les yeux, sans dire un mot, j'ai su, su qu'il partirait pour toujours. Je voyais que de la détresse, de la peur, de la douleur, un appel à l'aide d'en finir avec sa misérable vie... Ce dimanche là, avant qu'il parte je lui glissait ces simples mots, mais d'une douloureuse vérité.
"Je t'aime tellement tonton, tu me manqueras, à dieu, repose en paix, lâche prise tu ne fais plus partie de se monde depuis bien longtemps, mais plus exactement 459 jours..."
Je lui avais laissé mon plus beau sourire avant qu'il me chuchote tendrement à l'oreille, les dernières paroles que j'avais gravé à vie dans ma mémoire avec sa voix douce et rauque
" Ne te laisse jamais faire Spectre, tu vas accomplir les plus merveilleuses des choses qu'il soit au monde, même si personne le saura, je t'aimerai et te protégerai toujours de l'à haut... A dieu Spectre, ne pleure plus jamais, rien ne méritera tes larmes. La pureté et la sagesse se lisent dans les yeux des gens mais pas dans n'importe quelle personne, la confiance se remarque dans les gestes et l'amour se dévoile par la loyauté. Ne l'oublie jamais, sache que tu détiens le secret du bonheur de la vie... Vie ta vie Spectre".
Ces paroles résonnaient dans ma tête sans même mettre rendu compte qu'il m'avait quitté en laissant seulement son sourire ravageur si réconfortant. Le 28 octobre un jour de grand soleil, les oiseaux gazouillaient, l'air était frai, les arbres coloraient d'orange,de jaune et de rouge. Je m'étais levé ce matin là avec le plus radieux de tout les sourires,et quand j'ouvris la porte fenêtre de ma chambre pour accéder au balcon, j'ai fermé les yeux, laissant mes cheveux virevolter dans les airs qui accompagné la légère brise de ce début d'automne.
"Merci de l'avoir accueillis dans les cieux"
Quand je rouvris les yeux face à ce magnifique ciel bleu j'ai su que à partir de ce jour ma vie changera. Papa, parfois il faut savoir faire des choix, moi j'ai fais le choix de le laisser partir dans un monde meilleur, et de n'avoir jamais pleuré une mort. S'il est partie, c'est qu'il y avait une raison, c'était son destin. Papa les gens les plus importantes de nos vies partent toujours avant nous sais-tu pourquoi? Tonton disait à chaque fois que c'étais une personne qui avait accomplie sa mission en apportant tout ce qu'il a apprit aux autres... J'ai à mon compteur 4 morts que je n'ai jamais pleuré, seulement parce que je sais, qu'il valait mieux partie au lieu de souffrir pour après s'autodétruire. J'ai vu un de mes oncles ce coller une balle dans la tête devant mes yeux tu m'avais fais croire que c'était un cauchemar mais je sais que je n'avais pas rêvé pourtant je n'ai jamais pleuré...
Tout sa pour te dire, que je partais, loin, très loin, là où tu ne pourras plus jamais me trouver, là où tu te seras enfin débarrassé de moi et de ma foutu maladie, à dieu George prends soin de toi je t'aime...>>
Ce jour là je me suis enfuis pour enfin vivre ma vie comme ma bonne étoile me l'avait dis... Le seul souvenir que je garda de mon père était le son de sa voix qui crier un mot qui était simplement...

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¤ Hunted ¤
БоевикLa mort. C'est un bien jolie mot, un mot qui me reste sans cesse à la bouche. J'aime le sang, j'aime la mort, j'aime tuer, j'aime torturer, je prends un plaisir fous à les déchiqueter de l'intérieur, à leur sortir les entrailles sans le tuer. La sou...