3.Traqué

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Mes pattes ce déposé délicatement sur le sol boueux. Ma fourrure blanche refléter  la lumière de la lune entouré de ces amies les étoiles dans le ciel bleu marine dégagé, sans aucun nuage à l'horizon. Mes yeux qui me permettaient de voir dans la nuit éclairée  seulement par la lune avaient repéré une lueur au loin près  du petit lac, mon odorat quand à lui renifler avec plaisir l'odeur d'humains completements ivres auprès d'un feu de camp ainsi le bruit infernal d'une musique électrique. Je gardais mes distances du camp de ces fétards tout en repérant ma prochaine victime et tournée autour de lui. Il avait la carrure d'un de ces footballeurs américains prétentieux qui avait toute les filles à ces pieds. J'attendais  passienment qu'il s'éloigne du lac et qu'il rejoigne le lisière de la forêt.
10 mètres. Je m'avance délicatement vers lui tout en me cachant  derrière les sapins et fougères.
8 mètres. Son odeur d'alcool et de canabisse peu à des kilomètres  tout en me donnant  une migraine atroce.
6 mètres. Ce crétin s'étalle de tout son long au sol a cause d'un simple racine sortant de sous terre.
4 mètres. Je me rapproche  de plus en plus de lui en restant discrète jusqu'à a apparaître devant ces yeux.
Et c'est à ce moment  que la partie la plus amusante commence. La panique l'emporte.

-Dé...dé...dégagé sale bête! Tu...me...

J'avanca dans sa direction toute avec grâce et délicatesse.

-... tu me fait pas... peur!

Je le contourne pour l'examiner. Quel dommage de devoir abîmer  un si beau corps. Je me lèche les babines pour les retrousser par la suite et un grognement lourd, puissant et impressionnant sortie de gorge.

-A L'AIDEEEE!!! AIDEZ-MOI!

Mes deux pattes avant ce posa sur son torse. Sa respiration saccadé me prouvé qu'il était terrifié. Des gouttes de sueur perlé le long de son front quand un craquement de branche me mis en alerte. Quand je relève la tête je crois a son regard. Un regard de haine tout comme de peur ainsi que d'hésitation. Il avait une arme pointé sur moi un Glock il me semble. Sa main tremblé, quand un son roque et effrayant me sortie de ces yeux.

-Dégage de là où j'hésitais pas à tirer.

Je regarda alors le corps fébrile du footballeur. Tout en reniflant son odeur pour le tracé par la suite quand je releva la tête le jeune homme avait toujours  l'arme pointé sur ma tête. Et quand je croisa de nouveaux son regard je vis une lueur, pas n'importe là quelle. Je vis de la pureté dans ces yeux. Je ne bouges pas comme si j'avais perdu tout contrôle  de mon corps. Le bruit sourd de la détente retentie comme un écho. Je me perdis dans ses yeux et m'écroula au sol et tout revenu noir...




¤ Hunted ¤Où les histoires vivent. Découvrez maintenant