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Je fus sortis de mon sommeil à cause de mon foutu réveil. Je peste contre celui-ci avant de me redresser de mon lit.

Je m'assois sur le côté de celui-ci et m'étire avant de passer une main sur mon visage. J'ouvre les yeux, baille et enfile mes pantoufles qui m'attendent sagement au pied du lit avant de partir en traînant les pieds à la salle de bain pour me prendre une bonne douche froide afin de me réveiller.

Une fois sortis de la douche, je me dirige dans ma chambre et fouille dans mon dressing avant d'en ressortir quelques choses de potable. Je m'habille rapidement et me chausse avant de descendre les escaliers.

Je sors tous les aliments nécessaire pour un bon petit déjeuné.

Après avoir jetée un petit coup d'oeil à l'horloge pour m'assurer que je n'arriverais pas en retard, je finis tranquillement de manger mon petit déjeuner avant de tout ranger et monter finir de me préparer.

Je monte les escaliers et pars dans la salle de bain dans laquelle j'arrange rapidement mes cheveux qui ont bientôt fini de sécher. Je me parfume et me brosse les dents avant de récupérer mon sac posé dans un coin de ma chambre.

J'enfile une montre à mon poignet pour toujours avoir l'heure sur moi et sors de la maison que je vérouille avant de prendre mon chemin direction la fac.

Une fois devant les grilles, j'entre et pars directement en classe de Français.

Les regards qu'on me lance me gêne, mais je ne laisse rien paraître, comme d'habitude.

Je pense qu'ils ne sont pas remis de la scène à laquelle ils ont assités hier.

Passant outre les regards, je m'installe à l'avant dernière table et sors mes affaires.

Le professeur de français entre sous notre silence et pose sa sacoche sur le bureau avant de nous faire face. Il remet ses lunettes sur ses yeux et prend la parole.

- Bonjour à tous. Suite à plusieurs incidents consécutif, un élève rejoindra notre classe aujourd'hui pour le reste de l'année scolaire.

Le toquement à la porte nous prouve qu'il ne s'agit pas d'une blague.

Mr.Lioner part ouvrir la porte sous nos regards attentifs et laisse place au directeur. Nous nous levons sous son regards e attendons le droit de nous rassoir qui ne mis pas longtemps à arriver.

- Bonjour. Je pense que votre professeur à dû vous expliquez ce qui se passe. Alors voici le nouveau élève de cette classe à partir de maintenant. Rayder Jones.

Et c'est seulement maintenant que je pose mon regard sur le garçon qui se tenait depuis le début à ses côtés.

Lorsque son regard croise le mien. Une lueur de malice passe dans ses yeux accompagné d'un sourire en coin qui prend place sur ses lèvres.

Nullement impressionné, je lève les sourcils, le sourire au lèvre avant de lui faire un clin d'oeil pour lui montrer que je n'ai pas peur de lui.

N'ayant pas écouter la suite, je remarque à peine que le directeur à quitté les lieux. Rayder s'avance dans l'allée sans me quitter des yeux et se place juste derrière moi.

- Bien. Reprenons désormais le cour.

Ellipse.

Je sors de la salle après deux heures de français. Jones n'a pas arrêté de me fixer et m'envoyer des boulettes, mais malheureusement pour lui, sa ne m'a pas perturbé et j'ai suivi le cour comme si de rien était.

Et apparemment, vu les nombreux grognement et injures qu'il lançait tout bas, cela avait l'air de lui faire chier.

Je traverse les longs couloirs et rejoins la cour. Le soleil brille ce matin et malgré la légère brise de vent, le temps est agréable. Rien de mieux pour commencer une journée.

Je tourne mon regard vers la gauche et croise celui de Rayder qui me fixait, n'écoutant nullement la conversation de de ses potes.

Je souris et lui fait un petit coucou de la main avant de partir vers l'arrière d'un des nombreux bâtiments. Je m'installe sur le petit mûret et me lance dans mes pensées qui sont toujours prêtes à m'envahir lorsque je ne fais rien.

Je sens malgré moi que cette année risque de m'amuser. Je n'ai pas peur du danger, de la violence, de la peur, de la douleur parce que ce sont toutes ses choses là qui me maintienne en vie. Qui me montre que j'existe vraiment, que j'existe toujours malgré mon passé.

Mais malgré tout, ma carapace que je me forge au fur et à mesure des années à une faille. Et il m'arrive de baisser la garde. La peur reprend le dessus mais quand je m'en rend compte, je fais tous pour me reprendre en main et ne rien laisser paraître.

OnDeads [ EN RÉÉCRITURE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant