"It's time to die."

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Peut-être aurais-je du arrêter mes cherches et m'arrêter avant de dépasser les limites mais ma curiosité était bien trop forte, et plus le temps passait, plus mes recherches avançait. Les enquêtes continuait à la pizzeria, celle-ci étant fermé, ils avaient enfermé les animatroniques dans une salle, fermé par un cadenas, je me retrouvais donc sans travail à présent, je parcourais mes recherches puis essayait de faire un lien, la pizzeria ré ouvrait après trois mois de fermeture, je reprenais donc mon boulot, les animatroniques n'avait pas été changé, ils avaient été nettoyé et quelques travaux avait été effectué afin de masquer toute trace du meurtre. Je passais ma journée à la pizzeria, surveillant les enfants puis minuit tombait et je me retrouvais dans mon petit bureau avec mon café, les animatroniques ne semblait pas vraiment s'animer, et je trouvais ça étrange, étant donné qu'ils s'animaient toujours vers 1h ou 2h du matin. Je décidais d'aller voir les animatroniques, les contournant, ils étaient désactivés. Je touchais Freddy puis soupirait avant de repartir dans mon bureau, je faisais des recherches alors l'ordinateur que j'avais à disposition, 3h sonnait et des bruits se faisait entendre, j'attrapais ma caméra et remarquait que la scène était vide, des sueurs coulait sur mon front, je ne comprenais pas... Ils étaient désactivés, putain, comment est-ce possible qu'ils s'animent ?! Je bloquais immédiatement les portes, jusqu'ici ils ne m'avaient pas fait de mal mais je restais tout de même méfiant, je n'avais pas envie de finir comme l'ancien garde de nuit qui m'avait remplacé. Je prenais mon portable et m'empressait d'envoyer un message à Cassiopée.

« Les animatroniques s'animent à nouveau seuls mais s'il te plaît, n'en parle pas aux flics, ils ont le droit à une nouvelle chance. »

Je rangeais mon portable et réfléchissait, ils avaient droit à une nouvelle chance, et je parie qu'ils n'ont pas attaqué l'autre garde pour rien, ils doivent avoir leurs raisons, je décidais d'ouvrir les portes et d'attendre afin de voir ce qu'il allait se passer, heureusement pour moi, ils restaient loin et ne s'approchait jamais de la porte. J'attrapais un bout de journaux qui traînait au sol, «  5 enfants assassinée, les corps n'ont pas été retrouvé » j'arquais un sourcil puis je secouais mon visage et je réfléchissais, Bonnie, Chica, Freddy, Foxy, Golden Freddy... 5 costumes, 5 corps. Non ça ne pouvait pas être possible, je refusais d'y croire, les fantômes n'existe que dans les films. Je secouais mon visage puis je déchirais le journal et le jetai dans la poubelle la plus proche puis je me levai et allait fumer une cigarette, m'adossant contre le mur tout en regardant le ciel. J'avais un mal de crâne terrible à force de penser, je décidais de finir ma nuit à 5h et de rentrer une heure plus tôt, je me couchais après avoir prit une aspirine, je réfléchissais et m'endormait quelques minutes après, la peur au ventre.

Le lendemain, je revenais, à la même heure et je croisais le patron, je décidais de ne pas lui dire ce que j'avais vu et reprenais mon travail, mon cœur battait rapidement et les animatroniques n'avait pas encore bougé, je changeais les caméras et lorsque je revenais sur la caméra où les animatroniques se trouvait, ils me regardaient, pas de manière méchante, non, ils me fixaient simplement... Je soupirais et fermait à moitié l'ordinateur, frottant mon visage, je savais que si je leur parlait, ils me répondraient mais tout cela pourrait paraître étrange, je ne veux pas croire aux fantômes, je refuse d'y croire putain. Les fantômes existent seulement dans les films, ils ne sont pas réels, ils ne peuvent pas l'être bordel. C'est impossible... Je me levai et faisait les cents pas, je repensais à l'ancien garde qui était l'un des meilleurs amis à mon père et si mon père n'était pas mort ? Je riais nerveusement, j'étais entrain de devenir fou, bien sûr que si il était mort, j'arrêtais immédiatement de faire les cents pas lorsque j'entendis une voix d'enfant prononcer mon prénom.

« Justin, aide nous... »


1987.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant