Poème XVI

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Le souffle du vent assèche ses larmes

dans ce jour naissant,

Elle baisse les armes .

Elle quitte son masque, admirant.

Les milliers de couleurs du ciel,

Reflétées par une mer sereine.

Assise où les éléments se mêlent.

Le vide l'accueillant comme si elle était sienne.

Les sapins agités forment une mer.

Des vagues terrestres de tout les verts.

Elle respire le grand air.

Où elle se sent elle et moins amère.

*-*-*-*-*
Heyo, poème un peu nul.
Désolé.
Il y a t il des interprétations à faire ici?
Je ne sais.

Follement,
Kiwi,
L'inspirée aussi bien que l'étrange délurée.

02/02/2016 0h39
















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