Poème XXVIII

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Le vide l'emplit et le froid plante ses griffes dans son visage.

Un rire l'essouffle et sa tête tourne, son corps est sa cage.

Elle n'est plus la même, elle coupe, découpe sa peau.

Sa bouche grimace un sourire, ses yeux deviennent eau.

L'ange de la mort apparaît, les cris lointains des vivants.

Elle l'embrasse, les autres démons l'attrapent par l'avant.

Les yeux noirs encre, le vide, les ténèbres, les sourires ensanglantés.

Ici le sang, la douleur, les troubles, les crimes sont fêtés.

Tout le monde se poignarde, mais les morts haha, ne meurent plus jamais.

La violence est reine la folie est union, ils rient de ce qu'ils font et ont fait.

Elle frappe, elle hurle, elle crache, déferle sa haine et eux, la comprennent.

Le royaume des morts monstrueux est meilleur lieu que la Terre, humaine.


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Heyo, ça fait longtemps.

Nouveau poème peu joyeux mais moi il me fait sourire.

Pour une fois j'en trouve un beau.

Désolé pour les âmes sensibles (bon après vu mes précédents poèmes elles sont déjà parties je pense haha).

Follement, Wed' y parait.

L'Inspirée.

KiwiBleudePapouasie


Dimanche16.10.16





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