Il me regardait le front plissé, les mains jointes. Il semblait anxieux, comme quelqu'un qui vient de commettre un acte irréparable et qui sait que l'on le découvrira, comme quelqu'un qui a quelques choses à cacher... il ouvrit la bouche pour parler mais aucun son n'en sortit. Il était comme bloqué, j'irai même jusqu'à dire PÉTRIFIÉ... puis un bruit de verre brisé attira mon attention je me retourna. Mais il était trop tard... Ils étaient déjà là...Je me réveilla en sueur, je passa ma main sur mon visage et attrapa mon téléphone poser sur la table de nuit. 2h30 du matin, je venait simplement de faire un cauchemar, ce cauchemar qui me hantait toute les nuit depuis ce soir là. Je souffla un bon coup et me leva. Si j'étais réveiller autant en profiter non?
Je retira la couverture se trouvant sur moi, m'assis au bord du lit mis mes chaussons et traversa ma chambre à pas feutré. Je descendit les escaliers sur la pointe des pieds pour éviter de réveiller mes parents. Je me dirigea lentement vers la cuisine et me servis un verre d'eau pour calmer les pulsations de mon coeur.
Une baie vitrée se trouvait dans la cuisine et donnait une vue sur le jardin un petit étang se trouvait derrière celui - ci.
Je m'assis donc sur un tabouret près du petit bar et regarda la lune argentée de ce mois de janvier qui éclairé par bribe le petit étang.Je rêvasser me souvenant de cette époque où j'allais m'assoir pendant des heures près de l'étang à regarder mon père pêcher et à sentir l'odeur de la fameuse tarte au pomme que préparait ma mère pour le goûter. Cette époque où mes parents et moi formions la parfaite petite famille modèle de notre village. J'étais encore trop petite pour me rendre compte que tout cela n'était qu'une façade. J'ai appris à mes dépend que ce sont toujours les familles les plus parfaite qui cachent les plus lourds secret.
Un mouvement derière les arbres qui entourant l'étang me sortie de ma rêverie. Je posa mon verre et m'approcha de la baie vitrée pour voir de plus près ce qui avait causer se brusque mouvement. Je ne vis rien, pas un bruit, rien. Se qui était pour moi le plus bizarre, fus s'en doute ce silence épais. Presque étouffant. J'avais pour habitude, la nuit, de toujours entendre le clocher de l'église qui carillone ou encore le chien de la voisine qui aboie sans arrêt, ou, pour les nuit les plus calme, le hiboux qui hulule. Mais là pas un bruit ne transpersait ce silence épais. J'alluma la lumière de la terrasse pour y voir plus clair. Toujours rien. Je me résigna à mettre cela sur le compte de mon imagination et retourna me coucher pensant pouvoir dormir enfin tranquillement.
3h45/ chambre de Lana.
Je dormais paisiblement, tout allait pour le mieux, mais un hurlement me réveilla en sursaut. D'un bond je sortit de mon lit et m'approcha de la porte de ma chambre collant mon oreille sur celle - ci. Plus rien. A part les craquement régulier du bois qui vieillit. Je souffla, cela faisait deux fois dans la même nuit que mon imagination me jouer des tours. Je retourna me coucher pour la énième fois. mais, quand je me retourna la fenêtre était ouverte et les rideaux voletait dans tout les sens créant un courant d'air glacial. Je frisonna, mes bras avait la chair de poule. Je me précipita pour fermer la fenêtre et quand ceci fus fait je me retourna et alluma la lumière de ma chambre.
Je ne pense pas qu'après tout cela je puisse encore me rendormir.4h05/Chambre de Lana.
La fatigue la emporté et je me suis finalement endormi sur la chaise de mon bureaux, la tête poser sur celui - ci.
7h00/Chambre de Lana.
La sonnerie de mon réveil me sortie de mon sommeil. Les yeux clos je cherchais celui - ci a tâton pour le faire ce taire. En vain. Ma main ne rencontrait que des piles de cahier. J'ouvris les yeux, maintenant bien réveiller. Si je me trouvait à mon bureau cela voulais dire que rien de tout ce qui c'était passer cette nuit n'avait été un rêve comme je l'avait imaginer. Non. Tout cela était la pure réalité ! Je me leva et me dirigea vers la salle de bain adjacente à ma chambre pour me préparer. Phénommènent étrange ou pas, une longue journée au lycée m'attendais.
12h05/ Lycée.
Une petite pose s'imposait. Je me dirigeait vers mon casier pour y déposait tout les cours que j'avais eu ce matin et ensuite aller au self. Seulement, arrivé à hauteur du casier je me rendit compte que j'avais oublié mon livre de math dans mon dernier cours. deux propositions s'offrait à moi, soit j'allais le chercher en prenant compte du faite que la salle de maths ce trouver à l'autre bout de l'établissement et que je n'aurais certainement pas le temps de manger, ou alors, j'allais manger mais je ne reverrais plus jamais le livre de maths sachant que le professeur l'emmenerais sûrement à la bibliothèque. Je choisis la première option. Je déposa mes affaires dans le casier et pris le chemin de la salle de maths, je longea d'inombrable couloirs, et tourna a d'interminable reprise avant d'arriver devant celle - ci. Je toqua à la porte priant pour que le prof ne soit pas déjà partie manger . La chance étant avec moi j'entendis un faible "entrer" venant de l'intérieur de la salle. J'abaissa la poignée et pénétra dans la pièce, le prof se tenait à son bureau les lunette au bout du nez, il était plongé dans une pile de paperasse. Il ne prena même pas la peine de relever les yeux à mon approche je du me racler la gorge pour qu'il daigne enfin m'adresser un regard.
- " eum... excusez moi de vous déranger mais je.."
Commençais-je
-" vous êtes ? "
Me coupa t-il se son air dédaigneux.
- "Lana Walker"
Il semblait me jauger du regard et un éclair sembla traverser son regard faisant étiré ses lèvres en une sorte de rictus.
-" oh ! Vous êtes une nouvelle sans doute ! Venez que je vous donne votre emploie du temps et..."
Comment ça t-il .
-" non, non vous vous tromper je ne suis pas nouvelle je..."
-"ne soyez pas timide voyons!"
Me coupa t-il une nouvelle fois.
Il continua :-"vous aviez dit que vous vous appeliez Lana Walker c'est cela ?"
-" c'est sans importance monsieur puisque je ne suis pas nouvelle. Je viens seulement récupérer mon manuel de mathématique. Alors si vous permettez..."
Et sans le laisser me répondre je pris mon livre de mathématiques que j'avais eu le temps d'apercevoir sur le bureau du professeur et je sortit sans un regard pour ce dernier.
D'un pas précipiter j'entrepris de retourner a mon casier, mais dans ma précepitation je ne vit pas la personne qui courrais en face de moi, je nus pas le temps de me pousser ni de voir qui était cette personne.
elle me bouscula me faisant tomber, ma tête claqua sur le sol et je sentis un trou noir m'engloutir, comme une eau profonde.Heure et lieu inconnue.
Je sentis un courant d'air glacé me traverser, puis quelque chose qui dégoulinais sur le côté droit de ma tête.
par reflexe j'y porta ma main, un liquide poisseux et chaud me recouvrais une grande partie du crâne, mes membres était tous engourdis et ma bouche était sèche, je voulu ouvrir les yeux mais une lumière blanche m'aveugla.
Je cligna plusieur fois des yeux et aperçu une forme noir se déplacer au loin avant de sortir en claquant une porte, je regarda autour de moi pour m'apercevoir que je me trouvais à même le sol dans une petite pièce exiguë et qu'une petite ampoule pendait du plafond.
Le sol était glacé, j'essaya alors de me lever mais ma tête commença a me lancer, je la pris dans mes deux mains et m'appuya contre un des mûrs, puis, le mal de tête se dissipa d'un seul coup, je leva la tête et regarda en face de moi, la porte c'était entrouverte.
Je voulu marcher pour sortir mais a peine fis-je un pas que mes jambes se dérobèrent me faisant tomber sur mes genoux. Impuissante, je me mis a pleurer.
Je ne serais vous dire combien de temps je suis rester là a pleurer mais quand je releva la tête, une silhouette portant un sweet avec capuche noir relevé sur sa tête de façon a ce que je ne voyent pas son visage, me tendait la main.

VOUS LISEZ
Just Save Me
Paranormalje m'appelle Lana, Lana Walker. j'ai toujours eu le sentiment d'être rejetée des autres, d'être mise "à part". je n'y est jamais fait attention, je me trouvais seulement différente. les gens ne me parlaient pas, ne faisaient pas attention à moi. ...