J'ai l'goût de t'écrire se soir, juste pour te dire se que j'ai sur l'coeur. Tu sais, j'ai vieillis mais surtout j'ai compris. Ça ne me sert a rien de me mettre dans tout mes états pour toi, de me morfondre jour et nuit. M'empêcher d'être heureuse et de continuer a me convaincre que je ne le saura plus. Tu n'en vaux plus la peine, parce que je vais te dire que de la peine j'en ait mordu puis j'en ait arracher. Cette douleur-là, je te l'a laisse, je m'en détache. Je doit vivre, je doit laisser tout derrière moi et enlever tout se fardeau sur mes épaules. Il m'arrive de penser a toi mais se n'est plus vraiment positif se que je pense de toi. Il a eue un temps où nous étions fou l'un de l'autre mais écoute moi, maintenant on recent la haine jusqu'à la lune. Je doit t'avouer qu'on fait dure un petit peu. Il a eue se temps où j'aurais pris une balle pour toi alors qu'aujourd'hui se serais probablement toi derrière l'arme près a tirer. Tu m'a appris à t'aimer mais ses jours-ci, tu m'a appris à te détester. Tu peut me promettre une dernière chose? En fait, je te l'impose un peu. Ne revient plus jamais. On en a arraché gros, a en pleurer des rivières. Tu m'a carrément brûlé l'coeur. Je veux plus du tout entendre ton nom ou simplement penser à toi. Je te donne la permission de partir, part et ne revient plus. Tu ne fuis pas, tu part, c'est mieux pour toi, pour moi. Dans le fond, l'on ne s'aimais plus tant qu'sa. On restait par peur, non seulement la peur d'être seul mais de ne pas être aimé a nouveau. Penser à toi est rendu mon crève-coeur. J'me dit que cette douleur est temporaire, mais ce vide est insupportable. Part, je t'en pris part, ne revient plus. J'ai besoin que tu parte, tu me tue un petit peu chaque jour. J'ai voulu faire changement d'écrire des textes d'amour alors j'ai écrit sur toi. Fait moi plaisir, ne revient plus.