Cent quarante huit jours avant.
-Debout bande de feignasse, on a un journée chargé donc pas le temps de roupiller ! Hurla le Colonel en entrant comme une furie dans la chambre.
Ces mots raisonnaient encore dans ma tête, en même temps j'étais encore sonné d'un réveil aussi brutal. 《 Tu vas t'y habitué à force 》 me fit Flyn avec un petit sourire moqueur. Bien que le réveil fut difficile, je sorti t'en bien que mal des griffes de mon nid douillet. La nuit fut agité à cause d'un rêve vraiment étrange... Mais après tous sa ne veux rien dire tous sa. Aujourd'hui le Colonel Bradley m'a annonçé que j'avais officiellement rejoint l'armée et je devais allé dans le secteur 5 pour avoir un entretien privé avec mes supérieurs pour faire une prise de sang pour savoir si je n'avais que sa comme capacité. Je stréssais un peu parce que tous de même c'était d'importante personnes haut placé que j'allais rencontré.
- Bien dormi le nouveau ? Me questionna Elizabeth.
- Ça pourrait être un peu mieux avec d'autre matelas, genre ses plus confortable. lui répondit-je.
- Ah ! Ah ! Ah ! Quand l'armée achèteront des choses meilleure pour leurs soldats c'est que ils pourront se torcher avec des billets de 500 $. Se mit à rire la jeune fille.
Cela me fit légèrement sourire. Après avoir pris un petit déjeuner rapide, j'enfila l'uniforme réglementaire que l'on m'avais donné et assigné avec de gros lettre. "HANS HALTER" qu'il y avait d'écrit sur ma veste avec un grand "D" pour différencié les Dissociés des gens normaux. Une combinaison verte sombre, celle un peu cliché que l'on voit souvent dans ces mauvais film de guerre où l'Amérique sort toujours victorieux quel que soit le danger. Après avoir boutonnée jusqu'en haut du col mon uniforme c'est avec une boule au ventre que je me dirigera à cet visite médicale dont je pouvais bien me passer. Puis je me préparais mentalement à allé là-bas et après une concentration intense, je pouvais voir dans ma tête la pièce où j'allais être reçu. Un sort de pièce froide blanche et effrayante sur les bords avec un siège en plein milieu avec des sorte de menottes en cuire pour les chevilles et les poignets. J'étais dans la pièce avec eux entouré de trois médecin, au cas où je bougerais trop je pense :
-Hans, me fit l'un d'entre eux, le nouveau Dissociés, tu est le bienvenue dans nos rang ! Entre je t'en prie.
-Merci monsieur, lui répondit-je toujours autant stressé.
-Tu sais pourquoi tu es là ? Me questionna-t-il
-Oui monsieur, c'est pour me prélevé du sang dis - je.
-Exactement voici pourquoi nos médecin les plus expérimentés vont travailler sur tes magnifique cellules de Dissociés, rétorqua-t-il d'un ton un peu bizarre et limite fou, installe toi sur cet chaise, nous allons t'attaché tu comprends pourquoi j'espère et après t'avoir pris le sang nécessaire tu pourras rejoindre tes amis dans la salle d'entraînement. Ça... ne durera pas... trop longtemps...
J'hocha la tête respectivement puis je m'installa dans ce fauteuil de torture, mais bon tous allé bien se passer pourquoi cela pouvait se passé très mal comme dans un de ces mauvais film où après m'être assis la lumière serait défaillante et tous ceci ne serait juste pour me tuer. Mais rien de tous sa n'était réel, les trois médecin se sont juste avancé vers moi et mon juste prélevé une petit poche de sang et je suis reparti comme j'étais venu.
La salle d'entraînement n'est plus très loin, un groupe de soldats passe devant moi, ils me dévissagent, me jugent, m'entourent, me submergent, je suis au milieu de mille hommes et femmes qui crient, me bousculent, me poussent, mais je me sens faible, j'ai les jambes en guimauve, elles tremblent et ne me porte presque plus, mes yeux se troublent, je bute sur se qui me semble être un caisse de ravitaillement et me retrouve sur les genoux au sol déboussolé. Je ferme les yeux un moment je reprends mes esprits. La foule en colère se transforme en peloton qui suivent une marche effrénée et rythmée sous les ordres de leurs chef de régiment. Tous sa n'était que pure illusion... La prise de sang à du perturbé mes sens. Je passe la porte de la salle d'entraînement et je vois le coton qui servait de pansement après le prélèvement de sang effectuer 10 minutes plus tôt imbibé de mon sang, quelques filés de cet matière rougeâtre le long de mon bras, les gouttes toutes fraîches perlant de mes doigts sur ce sol blanc cassé. Les tremblements reviennent, mes yeux se troublent de nouveau, mon corps tombent de plus belle mais je ne senti la douleur de ma chute, mon esprit était déjà parti je ne sais où mais loin de mon corps comme Séparé de mon âme, vous savez cet sensation de ne pas être dans son corps, endormi tous en aillant l'impression d'être réveiller, une sorte de sommeil paradoxal.
Je voyais toute sorte de chose, de forme et de couleurs, flou donc impossible de savoir quoi mais c'était sombre, j'avais froid et les lieux était humide, je ne savais pas si je pouvais bouger ou faire quoi que ce soit, j'avais tellement peur. J'avais peur de bouger et de provoquer encore cet chute incontrôlable de sang, peur que ces sensations affreuse et étouffante d'être submergé par je ne sais quoi. Ça rentre dans votre bouche, envahi vos poumons, encercle votre coeur et se ressert petit à petit jusqu'à provoquer la folie. Elle prend le contrôle de votre cerveau et vous laisse proie à la colère, la paranoïa, la partie la plus sombre de vous même en vous laissant avoir des instinct d'animal sauvage voulant dominé mais tous cela comme si votre vous possédé était en face de vous prêt a vous sauté à la gorge. Vous êtes empli de terreur par vous même et vos pulsions...
-Hans... me dis une voix très lointain. Hans...
Je me sentais revenir à moi, j'ouvrais mes yeux doucement, une lumière aveuglante plongea dans mes pupilles entant pas habitué à toute cet luminosité. Flyn et Iris Mcfly était la ainsi que Conrad Hoenfels et Emyli ming aussi.
-Que c'est-il passé ? Me demanda Flyn en me donnant un coup dans l'épaule.
-Arrête Flyn t'es con, il est déjà bien amoché le casse pas plus. Lui dit Emyli.
Mais ce fut les dernières paroles que j'ai entend avant de me rendormir...
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Salut ! ! Je suis de retour j'ai beaucoup d'idées pour les Dissociés et pour une prochaine histoire. J'ai pris beaucoup de vacances sur wattpad j'avoue 😅 mais je reviens et j'espère que ce chapitre vous plaira. Si vous avez aimé et que vous voulez me soutenir n'hésitez pas à aimer cette partie et à me laisser un petit commentaire. Merci beaucoup et à plus tard pour un nouveau chapitre. 😊
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Dissocié
Science FictionÉPILOGUE Je m'appelle Hans Halter, j'ai 17 ans mais par rapport aux autres personnes de mon âge je suis différents. Ils ont un mot bien à eux pour nous décrire, ils nous nomme les "Dissociés". Nous sommes en l'an 2128 et contrairement à se que vous...