Introduction

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  Il était une fois, deux êtres protecteurs de la forêt. Ils n'avaient ni sexe ni forme, mais pouvait parler et discuter. Comme deux dieux, ces deux êtres était destiner a restée sur cette terre toute l'éternité. Personne ne les voyait, et personne ne pouvait leur parler ou priée pour eux. Leur existence était cachée de tous. En dessous d'eux, il y avait les humains, nous, être inferieur et maléfiques d'après leur dire.
Un jour, c'est deux êtres qui étaient devenues amis après des millénaires, commencèrent à tombés amoureux l'un de l'autre, mais c'est deux êtres étaient séparés par une chose très grande, trop grande pour leurs amours si fragile, et ce n'était qu'un commencement. Ils savaient qu'il ne pourrait jamais ce toucher, jamais se donner l'un à l'autre. Ils n'étaient que de forme, des êtres sans corps, divagant et se promenant sur terre, regardant les méfaits que faisait les humains sur cette planète, jadis, plus belle que n'importe quel paradis. Leur états de sans forme, les obligeais à ne pas se toucher, jusqu'à ce qu'un jour, un des deux être, supplia un des dieux de leurs donner une forme.

-S'il vous plait, Zeus, Athéna, Aphrodite, Hades... Faites que je puisse voir et toucher mon bien-aimé...

Après avoir demandé cette requête plutôt égoïste, un dieu apparu devant lui, grand, aux cheveux courts et à la peau métissé. Plusieurs bague orné ses doigt qui se terminé par de longs ongles. Certaine bague faisait toute la longueur du doigt jusqu'à même remplacer ses ongles déjà longue. Ses yeux était noir ébène ainsi que ses cheveux. Avant qu'il n'apparaisse, une flamme d'un rouge sang était apparue devant le protecteur, laissant apparaître ce dieu à la carrure d'apollon mais au physique si sombre. Sa tenue n'était qu'un châle noir recouvrant la moitié de son corse et toutes ses jambes. Se châle était attacher sur l'une de ses épaule, grâce à une épingle en forme de coquillage rouge.

-Ton souhait est de voir celui que tu aime? Celui qui est restée avec toi depuis des années?
-Oui....
-Ferais-tu tout pour ça?
-Oui...
-Même conclure un contrat?
-Oui...

Le dieu regarde le protecteur et sourit d'un air sournois tout en faisant apparaître un manuscrit au-dessus de sa main droit. Il prit le papier, avança vers l'une pierre qui orné la forêt et fit apparaître dans une fumée noir, une plume pour signée le contrat. Cette plume, d'une couleur noir ébène était terminer par une racine tailler en pointe et recouverte d'un liquide rouge semblable a du sang.

-Voici les règles, tu signe, je te donne une forme à toi et ton ami. Tu n'as le droit que d'avoir UN vœux, si tu en demande un autre, je me donne le droit de récupérer votre forêt et d'en faire ce que je souhaite.
-Très bien...

Le dieux regarda le protecteur et lui donna la forme d'un homme, un jeune homme blond aux yeux bleus, au corps mince et fragile. Ne sachant pas marcher, il tomba à terre et regarda le dieu qui lui tendit la plume.

- Alors? Tu signe?

Tout en espérant qu'il ne faisait pas de bêtise, il prit la plume et regarda une dernière fois sa forêt. Après cela, il serait à tout jamais réunis avec son amant, et cela pour l'éternité. Le jeune blond ne savait pas encore que le corps d'un homme, aussi robuste soit-il, peut mourir d'une simple piqure d'insecte.

- Oui...

Il regarda le contrat et commença à signer le papier. Une pensée vint subitement le heurtée "Peut-être que ma bêtise va nous tuer..." Et comme un ange et un démon, une autres pensée apparu "Je dois le faire! Je l'aime! Je ferais tout pour lui!... Et il ferait pareille pour moi." Enfin, lorsque le contrat fût signé, une lueur rouge vint entourer la signature, la rendant noir et indélébile pour l'éternité.Ainsi le dieu disparu tout en rigolant d'une manière suspect mais le jeune homme était déjà au sol, les yeux fermé. Celui-ci c'était évanoui au moment même où la signature fut finie.
Ainsi il se réveilla nue dans un Hama de foin à la lisière d'une forêt, sa forêt! Il reconnaissait tous les trait de sa forêt, combien de fois avait-il fait le tour de celle-ci tout en observant les humains labourée les champs? D'ailleurs, à chaque fois qu'il revenait, l'homme qui labourait n'était jamais le même. Les trais pouvait changer, les cheveux aussi, il ne comprenait pas pourquoi et comment un homme pouvait changer autant en quelques siècle. Il leva son torse, maintenant assis sur le foin, et regarda autours de lui. Il regarda ses pied et savait bien qu'il ne tiendrait pas longtemps, ses jambes, il ne les avait jamais utilisé. Jamais il n'aurait pu savoir qu'il aurait des jambes. Ainsi le jeune homme, essaya de se lever et de se tenir debout, sans grand sucée, il tomba a terre quelques minute après. Après mainte reprise, celui-ci n'arriva toujours pas à se lever et appela de haute voie son amant pendant plusieurs jours et plusieurs nuits. Ne sachant pas marcher, il était resté sur l'Hama de foin. Depuis qu'il était apparu, personne n'était venue chercher le foin et lorsque la faim était apparu, il avait commençait à manger le foin. Même si cela n'était pas bien, pour lui, juste avoir quelques choses dans l'estomac était déjà bien. Ce protecteur n'avait jamais connue la faim, et à présent lorsque celle-ci c'était réveiller, il n'avait compris tout de suite ce que cela était, sauf lorsque le foin, si laid et si puant, l'avait attiré comme un moustique. Après avoir appelé son amant pendant plusieurs jours, celui-ci essaya tant bien que mal de marcher, sans grand succès, pour faire plus simple, celui-ci essaya de marcher à quatre pattes. Après plusieurs essai mais moins que ceux pour marcher sur ses deux jambe, celui-ci commença a entrée dans la forêt et s'aventura à l'intérieur pour rejoindre le ruisseau tout près de lui. Lorsqu'il arriva à atteindre le ruisseau, celui-ci, qui n'avait pas bue depuis des jours, ce pencha au-dessus de l'eau et bu jusqu'à en être gaver.
Plusieurs jour passèrent mais toujours aucune nouvel de son amants. Il ne savait plus quoi faire, autour de lui, plusieurs animaux se promenaient dont un qui était resté près de lui, un lapin noir. Il ne comprenait pas sa réaction de rester près de lui, même lorsque le jeune blond essayait de se séparer de lui, le lapin revenait et restait près de son corps. Aux furs et à mesure, il finit par s'y habitué, et de la, le temps passa.
Il ne savait plus combien de jours il avait cherché son amants mais son corps, déjà frêle avait encore maigris, à présent, ses os jadis recouvert par un peu de graisse ou de muscle, ressortait. Sa peau se collait à ses os et son visage était creusé par la peur et l'insomnie. Combien de fois, celui-ci c'était fait attaquer en pleine nuit ? Il ne savait plus combien de fois il était resté éveiller, ne respirant plus pendant plusieurs secondes en espérant qu'aucun des animaux ne l'attaque.
Le blond regarda le ciel et commença à pleurer, en sachant que le dieu l'avait piégé. Il ne pouvait plus faire autrement, il devait l'appeler. Il commença à parler dans le vide, en s'adressant, au fond de son cœur, au dieu auquel il avait parlé:

-Pourquoi m'as-tu mit dans un corps, si je ne peux ni voir, ni toucher celui que j'aime...

Le jeune homme était assis aux sols, recroquevillés sur lui-même avec le lapin sur ses jambes, serrées entre son ventre et ses cuisses trop fines, la tête levé vers le ciel et les larmes coulant sur ses joues, se déposant sur le pelage ébène du lapin. Le dieu entendit ses mot et apparu devant lui, le contrat en main avec le sourire. Cette fois celui-ci était apparu aux centres d'une tornade où tournaient des âmes en peine. Lorsque les âmes retournèrent au fin fond de l'enfer, le dieu ouvrit le contrat, le tenant des deux côté, et regarda le jeune homme.

-Tu peux le voir et le toucher ! C'est juste que tu ne le sais pas.
-Que veux-tu dire?
-Ton amant peut être un papillon, ou un ver de terre, tu peux le toucher et le voir. Le contrat à bien était fait selon les règles.

Le jeune homme regarda le dieu, surpris par sa réponse, et regarda le lapin. Ce lapin était le seule animal qu'il ne connaissait pas mais qui était resté près de lui, quoi qu'il arrive. Mais même se lapin était son amant, aurait-il pu le reconnaitre ?

-Non... Je vous en prie... Ne me dites pas... Ne me dites pas que c'est lui!?
-Et si c'était le cas? Tu sais, je lui ai dit qui tu étais à présent, il n'avait qu'à chercher.

Le blond regarda le lapin, ses larmes qui c'était arrêter de couler après l'annonce brutal du dieu, c'était remise à couler. Ses larme tombèrent sur le lapin pendant plusieurs minute avant que celui-ci, qui c'était endormie quelques minute avant, ne se réveille. Il regarda son amants avec ses yeux rond et se mit debout, sur ses deux patte, pour lécher le visage de son amant encore humide par les larmes. Le blond caressa le lapin noir pendant que la nuit apparaissait, et la pleine lune montait. Le jeune homme regarda le ciel et la lune et demanda aux dieux, une dernière faveur. Il pris le lapin entre ses bras, celui-ci c'était arrêter de lécher son visage, et regardait le dieu.

- S'il vous plait... Je voudrais rejoindre éternellement mon amant là-haut. Dans cette lune ronde et parfaite... je voudrais que nous soyons de la même race et de la même espèce... il me manque tellement...

Le dieu souri à sa requête et les fit disparaître tous les deux en citant une phrase qui restera graver dans les mémoires d'un homme, cet homme à qui appartenait le foin où jadis c'était coucher l'être.

"Vous, les deux fils d'Adam, vous serez condamnés, à vous rejoindre que lorsque la lune sera pleine. Lorsque vous serez à nouveau réunie, cette forêt qui disparaitra le jour venue, réapparaitra et à l'intérieur plusieurs créatures jadis oublier, feront la loi."


Cette légende, perpétrée de père en fils, depuis des millénaires dans la ville de Saunder, était devenu une histoire pour les plus naïfs. Certain parent prenait cette légende, comme pour dire à leur fils de ne jamais suivre d'inconnu. Malheureusement, il y a un siècle, un homme, trop ambitieux et arrogant pour écouter les ancêtres, s'aventura dans la ville, une nuit de pleine lune, lorsque tous les paysans dormaient ou rêvait. Personne n'avait fait cela depuis que la légendes était apparue, et personnes ne savait à présent, comment elle était apparue au départ. Toute les personne du village avait pris pour habitude de dormir tôt le soir après qu'un ancien président, datant de quelques siècle auparavant, avait instauré un couvre-feu pour tous les villageois après que quelques enfant ai disparus.

Ce grand aventurier trop buter pour ne serait-ce dire son nom à une personne de cette ville, se promenait dans celle-ci avec, ne serait-ce que pour se protéger, un couteau. Devant lui, une route a ligne droite avec plusieurs rues partant dans tous les sens sur ses côtés. Au bout de cette rue, la forêt dont tout le monde avait peur la nuit venue. Il s'approcha de cette immense forêt dont l'entré était plusieurs arbres faisant un tunnel, ayant déjà réfléchie a cette pénombre totale, l'homme s'aventura dedans, torche à la main. La pleine lune recouvrait de sa lueur d'argent tout le village mais à l'intérieur de la forêt, aucune lumière ne paraissait, rien ne passait, tout était noir et sombre. Lorsque celui-ci fut au centre de celle-ci, un cri ce fit entendre dans toute la ville, ce cri était constituée de plusieurs mot mais personnes ne put dire ce que cette phrase voulu dire. Chacun avait pris ce cri comme un cri de détresse ou de panique. Personne ne pouvait bouger, trop de peur et de colère contre ces monstres. A ce moment, il faisait encore noir dans le village, ou du moins, la pleine lune était encore présente.
Lorsque le jour revint, tous les paysan, s'approchèrent du champ, où la nuit passée, était installé la forêt des maudit. Lorsque la forêt n'est pas présente, celle-ci est remplacer par un terrain fertile où avait était mis plusieurs arbre ainsi que du blé et des légumes. Ce champ servait pour nourrir tous le village. Au centre du champ, là où était réunie tous le blé, au centre du carrée de blé, l'aventurier était couché au sol, nu comme un verre, personne ne savait ce qui c'était passer, mais cet homme si courageux, était devenu un homme dépressif, il ne parla jamais de ce qui c'était passé et lorsqu'il s'obligeait à parler, les larmes coulait, une main sur son cœur.  

La nuit des cent tordWhere stories live. Discover now