Chapitre 4 : Meurtrière ?

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J'ouvris les yeux. J'étais fatiguée mais étrangement bien, presque euphorique. Je n'avais plus peur. C'était anormal. Les fenêtres de l'entrepôt montraient le jour qui laisser sa place à la nuit. Elle me rappeler cette nuit ou je l'avais rencontré. La pièce s'assombrit ne me permettant plus de voir grand-chose. Mais autres sens prirent le dessus, une odeur nauséabond régnait. Je me relevais et glissé sur un liquide de moins en moins chaud. Je sentis sous ma main quelque chose d'à la fois mou et spongieux mais aussi d'humide.

J'avançais à quatre pattes jusqu'à sentir quelque chose de moi et dure à la fois. Plusieurs fois je glissais sur ce liquide, signe qu'il y en avait partout sur mon chemin. La porte s'ouvrit laissant apparaître un rayon de lune qui éclaira c'est cheveux. La lumière s'alluma. Éblouie, je ne vis tout d'abord rien puis ce fut des formes étranges puis les couleurs vinrent. Ma main gauche tenait quelque chose de violet. C'était le même truc mou et humide que tout à l'heure. Je m'assis pour observer ce qu'était devenu cet endroit. Mon cerveau beuga. Il ne voulait pas voir le reste qui était derrière moi, ni même accepter cette réalité. Un rire hystérique sorti de ma bouche. Je fis alors attention à mes habits. Ils étaient plein de sang comme si...NON, je ne pouvais l'avoir fait. Puis cette idée fit son chemin dans mon cerveau affolé. Je finis par l'accepter. J'avais souvent vue des films policiers sans jamais penser que cela m'arriverais un jour. Je comprenais mieux pourquoi les meurtriers souriaient lorsqu'il tuer. J'étais bourré d'adrénaline. Mon estomac me faisait mal mais cela n'avait plus d'importance. C'est alors que je le vis. Mon petit ami vomissait devant le spectacle que je lui offrais. Si je partais maintenant ils allaient le soupçonnaient et l'envoyer en prison. Il m'avait sauvé une fois je ne pouvais lui faire cela. Ma volonté prit le dessus.

Elle rit, d'un rire plein de folie. C'est yeux ce posèrent sur les corps démembrer pour la plus part. Ajouter aux morceaux et au sang tout cela former un cercle avec elle au centre. Elle leva les bras, lâchant ce qu'elle tenait et sourit. Comment ces bras si frêle avaient pu commettre ce crime ? Ces cheveux d'habitude si propre si bien coiffé étaient en bataille et tachés de la même couleur que son battons anciennement rose pâle et que son chemisier à présent déchirer. Il s'approcha prudemment. Elle tourna la tête vers lui. Quand elle le vit son regard changea, il s'excuser.

-Finalement dit-elle d'une voix rauque et écorchée complètement différent de son ton doux, je ne sais pas qu'elle est le pire.

Il ne sut que répondre. Elle avait l'esprit clair, libéré. Étrange. Elle ne se leva pas puis reprit.

-Tu à ton portable ?

-Heu...

Il chercha.

-Oui.

Il lui tendit. Elle appela les flics et le lui rendit.

-Rentre lui ordonnât elle.

Il refusa. Les flics arrivèrent.

Elle trônait aux milieux des membres, des morceaux de cervelles, des crânes, delà flaque de sang. Un jeune se trouver non loin d'elle mais plus sur le coter. Il était pâle alors qu'elle était rouge, toute rouge. Elle sourit.

-Entrer.

Il vomit pour la troisième fois à en croire le tas. Avait-il commis c'est meurtres sanglants. Elle me parla de lui, je la regarder. Elle était frêle.

-Il n'a rien fait. Nous nous sommes disputés et je suis partie.

Je mis un instant à comprendre qu'elle me donnait sa déposition, dans ce chaos.

-Attendais nous allons vous sortir de là.

-Non, n'approchait pas. Je suis bien ici.

-Pour...

Il s'arrêta. Pourquoi allait-il dire mais en voyant la scène il comprit. Le jeune homme et lui était séparer d'elle par la limite que formaient ces morceaux en décomposition.

J'eus envie de vomir, l'autre ne se fit pas prié, puis il s'approcha de moi. Elle continua.

-J'ai était kidnappée par ces hommes. Au début il était vivant s'empressa-t-elle d'ajouter.

Elle les regarda, un sourie aux lèvres. Je fis un pas en arrière que c'était-il donc passer.

-Ils m'ont emmené dans cet entrepôt et on...ont tenté de me violer.

Sa voix se brisa. Elle reprit en serrant une barre de cet.

-J'ai ouvert les yeux et c'était comme cela sauf que je ne voyais rien à cause de la nuit.

-Je suis entré, reprit le jeune homme, et j'ai...

Il ne put continuer car il recracher pour la énième fois de la bile.

-Il est entré à allumer la lumière et je lui ai demandé son portable et vous ai appelée. Vous êtes enduite arriver puis vous savez la suite.

-Oui mais si j'en crois ce que vous me dites, ce n'est pas vous qui les avez tué.

Mon âme de policier reprenait le dessus.

Elle leva les bras, le visage en adoration devant quelque chose qui nous étaient invisible pour le jeune et moi.

-Emmène-moi.

Son corps se souleva puis retomba.

Cette nuit-làWhere stories live. Discover now