Chapitre 3 : Une rencontre

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Je ne pus dormir, repensant à ce qui c'était passer. Mon réveille sonna.

Déjà debout je me préparer pour aller en cour. Je sortie, marchant dans la bonne direction. Je regardais dans mon sac j'avais oublié un de mes livre. Je fis demi-tour, c'est alors que je le vis. Mon sauveur c'était arrêter pas loin de moi. Je fis un pas dans sa direction.

-Bonjour dis-je un peu timide.

Il me sourit tout aussi gêner, nous fîmes le trajet ensemble.

Le soir venue je le regarder s'éloigner de moi. Je le rattraper lui proposant de rentrée avec moi. Il accepta. C'est ainsi que cela devint une habitude rassurante. Puis il me proposa d'aller voir un film, mon cœur battait la chamade. J'eus du mal à choisir ma tenue.

Les jours de Paris continuèrent ainsi. Je finis par lui avouer mon amour.

-Je t'aime aussi.

Mon bonheur était complet. Pendant les vacances nous sortîmes comme tous les couples. J'appris de plus en plus de chose sur lui.

Une après-midi, alors que je passais chez lui pour lui proposer de venir avec moi au parc d'attraction, son petit frère m'ouvrit. Il me proposa de monter dans la chambre de son grand-fère en me disant qu'il allait arriver. Je grimpais. La chambre de mon amoureux était recouvertes de photos de moi, je crois que j'aurais pu être flatté si certaines ne dataient pas d'avant notre rencontre car 2 mois avant je m'étais couper les cheveux. Je répartis vers l'entrée. Je le croisée dans le couloir.

-Tu as organisé tout cela n'est-ce pas ? Tu me suivais n'est-ce pas ?

Je sortie sans attendre sa réponse. J'étouffée. Je courais sans savoir où j'allais, la seule chose qui m'importais était de m'éloigner.

Je finis par me perdre parmi des rues, près d'un entrepôt. Je chercher mon chemin alors que des hommes m'accostèrent.

-Hé petite sa te dirais de venir avec nous ?

-Non.

Je dis un pas en arrière et tapait contre un torse qui m'emprisonna.Sans espoir de me délivrée, ils m'entrainèrent vers l'entrepôt. L'un d'eux s'assit à califourchon sur moi, m'empêchant de bouger. Je paniquer alors que sa main descendait sur ma poitrine. Je voyais dans leurs yeux une avidité écœurante, un désir qu'il comptait bien satisfèrent. Je n'avais pas encore abandonnée ma main recherchée quelque chose qui me permettrais de me libérée.Je sentis un métal froid sous ma main. Il déchirât mon chemisier. J'attrapais ce morceau de métal.e

Cette nuit-làWhere stories live. Discover now