Prisonnière des Secrets

Chapitre 18

Lorsque j'ouvre enfin les yeux, je suis dans une foret ou plus précisément dans une clairière. J'entend le souffle saccadé d'une personne à mes cotés. Je me retourne vers ce bruit et en face de moi se trouve Yuma. Il a l'air d'agonisé. Il y a des pas qui viennent de derrière moi. Je regarde alors au dessus e mon épaules et découvre mon père qui m'appelle. Est-ce encore mon père ? Avec tout ces secrets, je ne sais plus quoi penser.

Il me fait signe d'approcher. Je me lève difficilement. On s'installe au bord de la clairière. Où il m'explique précisément les évènements à Nahima.

-Comme tu le sais depuis toujours, les Kiona et les Taïma se haïssaient car il y bien longtemps lorsque les premiers hybrides qui étaient tous frères se sont battus pour savoir le nom de la grande meute qu'ils allaient formés. Deux de ses frères, Taïma et Kiona, se sont rendu dans une forêt qu'ils ont nommé Nahima pour rendre hommage à leur mère. Après avoir trouvé leur territoire, ils devaient eux aussi choisir le nom de la tribu. Mais ils se sont battus jusqu'à mort mais leur sœur, Kishi, est venus pour leurs donné à chacun une part du territoire et depuis nous nous détestons mais le problème c'est que Taïma, Kishi et Kiona sont les Créateurs et ils nous apparaissent sous forme de fantômes et d'ombres et tu es l'une des seules à pourvoir les voir car tu es la Clé Gardienne de la Paix, une ancêtre de Kishi.

-D'accord, mais cela veut dire quoi ?

-Toi seule peut nous arrêter de nous affronter. Mais si tu meurs ou gravement blessée tu perd tes pouvoirs mais tu es la seule Gardienne de la Paix.

-Comment le sais-tu ?

-Je le sais depuis ta naissance...

-Qui était ma mère ?

-Durant un soir de juillet alors qu'Ama et moi on était dehors avec Yuma. Une femme apeurée nous t'a confier a nous. Elle disait que tu étais la Clé Gardienne d'Alya. Que tu serais tatouée, contrôlée les éléments, voir et entendre les Créateurs et les autres Créatures, que tu serais uniques chez les Hybrides. Nous ne l'avons pas cru mais on t'a pris avec nous. Yuma avait 2 ans tout comme toi. Avant de te mettre dans nos bras, ta mère nous a laisser une lettre et son collier.

Il me tend ses objets. Je ne les ouvre pas tout de suite je le ferrais quand je serais seule. Mon père s'en va et je m'assois sur le tronc. Je déplie la lettre et commence a la lire.

Des larmes s'échappèrent. La lettre disait :

"Je suis désolé ma fille. Mais je devais te mettre dans une autre famille que moi. Tu n'étais pas en sécurité avec moi. J'étais suivis mais j'ai réussit à te faire vivre deux ans avant de te donner à cette famille. Je veux que tu saches que je t'aime et t'aimerais à jamais. Te laisser m'a fait tellement de mal. Dans ta vie tu accompliras de grandes choses. Alya t'aime et te protège. Nous faisons partis de la famille royale, la famille des Créateurs. On doit protégés notre famille mais aussi les autres meutes. Nous sommes des Gardiennes de la Paix. Tu dois êtres tatouée au moment où tu lis cette lettre. Derrière j'ai mis le code d'un grimoire où il sera écrit la signification de tes pouvoirs et de tes tatouages. Il y a aussi mon collier protecteur. Je t'aime Kaliska, tu es ma plus belle réussite.

                                                                                                                                                Landra"

A la fin de la lettre, j'étais totalement en pleure. Dans mes mains, se trouve le pendentif. Je le met autour du cou et lorsqu'il touche ma peau un bonheur et un sentiment de sécurité se propage dans tout mon corps. Le collier me donne l'impression qu'il frissonne mais cela doit être mon esprit qui me joue des tours, mais celui-ci s'incrusta dans ma peau.

Je me lève du tronc sur lequel j'étais assis depuis un moments. Le soleil commence à percer les épais arbres.

Tout le monde au camps est réveillé. On décide tous de partir avant le levé total du jour. On se transforme tous et je partis en arrière pour protéger la meute. J'entends le bruit des cerfs dans la forêt. Un odeur que je ne connais que trop bien s'insinue dans mon museau, mais personne d'autre ne la sent.