Cheval Blanc

Chapitre II

Les tonnes de questions qui tourbillonnaient en moi faisaient disparaître mon mal de jambes. Que peut bien être cette ombre? Mais je sais que très bientôt je saurai de quoi il s'agit. Oh que si. Mais dans combien de temps. Je trépignait d'envie de le savoir à l'instant!!!! Mais c'en est impossible. L'espace qui nous sépare est immense. Peut-être prendra-t-il une heure encore pour qu'elle arrive à moi?

Durant ce moment d'attente, je me remémore ce qui c'était passée avant mon aventure jusqu'ici.

C'était une douce et fraîche journée d'été. Ma maman m'avait permis d'aller me promener dans les boisés prêt de chez mon Papi seule pour la première fois. Elle devait rester avec Lili, ma nouvelle petite sœur. Et je mourrais d'envie d'aller me balader. J'étais maintenant assez grande pour le faire seule. Enfin!

Plusieurs fois dans ma courte vie de 9 ans, j'y suis allée. Cette forêt est majestueuse. Lorsqu'on y rentre on se sent transportée par le vent par où entre les feuilles et épines des grands arbres. Et puis, cette fois, j'y étais seule. Personne pour me déranger. Pas de mère pour ne dire de faire attention par-ci, par là! Je pouvais sauter dans les trous d'eau qu'il restait de la grande pluie d'hier. Et personne pouvait me dire que j'allais toute me mouiller. Je le savais! Et c'est ce que je voulais.

Je gambadais tranquillement...Poussée par tout ce que je pouvais imaginer. J'ai même aperçue une biche pas très loin. Mais ces animaux sont peureux, elle est partie à la course.

Je ne craignais rien. Pourtant, personne ne m'accompagnait et tout pouvait m'arriver.

À un instant, je suis arrivée à la petite cabane construite dans me temps que ma mère et ses frères et sœurs avaient mon âge. Je rentrai. Quelques sofa étaient installés sur les votes avec de grandes couvertures. Un poile à bois était au fond et une table qui semblait bien vieille reposait au centre. Deux armoires sur le mur droit. J'y avait trouvé un jeu de cartes incomplet, des paquets de bougies, et même un trappe à souris.
"Ne restons pas là, pas si je suis seule".

J'ai continuée à me balader quelques temps. À un moment donné, je sentais que je ne me retrouvais plus dans la forêt de mon Papi. Jamais je n'avais l'environnent autour de moi. Mais, vraisemblablement, c'était encore plus extraordinaire. Les arbres étaient grands, mais grands, mais tellement grands! Des fleurs que je n'avaient jamais vu auparavant poussaient au sol. Et une autre biche y était, mais celle-ci ne partir pas tout de suite. Je lui avait lancé la pomme que j'avais dans ma poche. Elle la prit et l'apporta à son "bambi" plus loin.

Puis je continue mon chemin. Je n'avais aucunement peur de me retrouver ainsi. Toute seule dans une forêt inconnue.

Et c'est à ce moment que j'aurais aimé que ma mère me dise de faire attention à la racine devant moi.

***
Salut! Désolé pour ce chapitre un peu trop long. Il fallait que je décrive comme il faut le plaisir qu'elle avait seule dans les bois.
Je vais continuer au moment présent dans me chapitre III.