Chapitre IV

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Je m'étais glissée sur ce qui semblait être le dos de la bête. De plus en plus je m'imaginais ce que ça pouvait être et ça commence à ressembler un peu plus à une bête qu'une simple ombre. De toute façon, l'ombre n'était plus une ombre. Il faisait de nouveau complètement noir depuis qu'elle s'était approchée de moi et avait refermée la porte.

Elle se leva tranquillement, commença à marcher. Je me sentait en contrôle, même si j'avais l'impression d'être assez haute. Je me tenais à son cou. De longs poils y étaient "accroché". J'avais une très bonne idée maintenant qu'était-ce en réalité, l'ombre, ou la bête, si on voulait être plus précis.

Elle refusa de marcher plus vite. Lentement, elle avançait vers la sortie. La bête voulait sûrement faire le moins de bruit possible. En courant, ç'a allait me donner la certitude de ce qu'elle est pour vrai.

Étrangement, le sentiment de joie d'être à ses côtés venait d'éliminer mes douleurs du bas du corps. La fatigue ne m'emparait plus.

Je vivais le moment présent. Avec ce qui se trouvait à me transporter.

Au loin, mais plus proche qu'il y a un certain temps, j'aperçois une ligne pale de gris. L'accès au reste du monde devait être à nous bientôt.

Et oui!

L'ombre poussa avec son museau la lourde porte.

Un grand éclat de lumière traversa la pièce.

Et puis, nous étions libre!!!!!!!!

Elle se mît à courrir, mais courrir mais courrir dans le vent. C'était un sentiment plus qu' extraordinaire.

Le fait que je m'étais trouvé dans le noir un certain moment et que maintenant j'étais dans le contraire total faisait que je ne voyais pas grand chose. Je crispais les yeux. Comme lorsqu'on se réveille et que notre maman ouvre la lumière brusquement pour nous dire de sortir de on couvertures...je me trouvais dans le même état, mais beaucoup moins frustrée.

Après qu'elle minutes, mes yeux étaient correct pour voir tout ce qui s'offrait devant moi. En commençant par l'identité de ma monture.

Un cheval blanc.

***
Avouez qu'on pourrait revoir cette scène des centaines de fois dans un film. Le cheval et la jeune fille qui sort du
"trou" de noirceur. La bête est toute contente et gambade à n'en plus finir. J'aime trop ce moment! Et vous? N'oubliez pas de noter ou mettre un commentaire. Merci
Bisous

Cheval BlancOù les histoires vivent. Découvrez maintenant