Je me réveil, je suis dans un lit à deux place... J'ai toujours dormis dans un lit à une place... Je me met à rire.
-Qu'es-ce qu'il te fait rire? Dit un homme sur une chaise proche du lit.
Je cri alors avant de repérer les environs. Il y a une porte et une énorme fenêtre. Je cours en direction de la porte et c'est à son tour de rire. Elle est fermée à clé. Je me retourne pour l'observer, toujours sur mes gardes. Il est blond-vénitien, il a de magnifiques yeux verts, il est grand et m'a l'aire fort. Je baisse les yeux et vois que j'ai une robe blanche! Il m'a changé! Miséricorde! C'est la misère!
-Pourquoi suis-je là? Lui, demandais-je.
-Répond d'abord à mes questions, je répondrais ensuite aux tiennes. Dit-il.
-Je répondrais à vos question seulement quand vous répondrez aux miennes! M'exclamais-je. Et ne me tutoyez pas!
-Ça va être compliquer si aucun de nous ne veux céder. Chuchote-t-il. Mais je ne me plierais pas à tes volontés misérable humaine. Je pourrais te tuer en une fraction de seconde! Alors soit tu plie, soit tu sera torturée.
Je le regarde dans les yeux, m'approche de lui, lui fait un doit d'honneur monumental et lui crache dessus. Au revoir la gentillesse, bonjours la provocation. Personne ne doit me connaître comme je suis. Cela ne pourra que me détruire.
-Désoler, mais j'écoute pas les clebs. Finis-je par dire.
Son regard devin noir. Son visage lui régnais neutre. A partir du moment où il se leva lentement mon instinct de survis me dicta de fuir mais je ne le fis pas. Je le regarda droit dans les yeux au contraire, je veux continuer à le provoquer et mourir.
-Alors qu'es-ce que t'attend pour me tuer? Le défiais-je.
-Je n'ai pas dit te tuer mais te torturer, dit-il calmement de sa voix d'Alpha extrêmement flippante.
J'aurais pas du le réveiller.
-Qui a peur du grand méchant loup maintenant? Acheva-t-il.
Ok, je respire un grand cou avant de lui mettre un coup dans les parties. Il attrape ma jambe et la serre fortement.
-Pas touche aux futures bébés, dit-il avec un rire macabre.
Il renifle l'aire puis devient fou. C'est pas encore la fin de cette purée de période! Je le gifle avant de mettre son visage en face du mien.
-Arrêtez, dis-je hésitante. Si vous me faites du mal... Je me tuerais.
Il me prend par la gorge et me plaque sur le mur.
-Oli, viens ici! Cri-t-il.
Une femme d'environs trente ans apparais au cadrant de la porte. Elle le regarde, hoche la tête et me montre ses poignets... Ils sont plein de marques, de cicatrices, je suppose dut à des tentative de... suicides.
-Tu sais ce que j'ai fait pour qu'elle arrête d'essayer de mettre fin à sa vie? Demande-t-il.
Voyant que je le regarde perdue, il dirige son regard vers son ventre, il est rond! Je me met à respirer fortement. La femme part et referme la chambre. Il me regarde dans les yeux avant de m'embrasser!
-Non! Dis-je dans un cris étouffé. Mon premier baiser devais appartenir à l'homme que j'aime!
Il me regarde puis reprend avec fougue son baiser. Mon cœur bat bizarrement trop fort. J'essaye de stopper ce baiser, mais je n'y arrive pas. Saleté d'attirance! Ma mère m'a toujours dit que l'attirance d'un homme ou même l'amour qu'on peut lui porter peut nous nuire. Elle avait raison sur ce point. Je lui donne un gros coup dans les cotes, me met à courir, atteint la fenêtre, la casse et passe à travers. Enfin libre! J'atterris par terre. Je suis complètement folle et bête ma parole! J'aurais pus mourir et en plus je ne sais pas où je suis. Je me retourne, il est derrière moi.
-Jamais avant le mariage, dis-je comme pour me protéger.
-C'est ton dernier argument? Dit-il.
-Non, dis-je. Ais-je oublier de préciser que je ne suis pas zoophile?
Il me regarde comme si il était fière de moi et énervé à la fois, un sourire aux coins des lèvres. Je lui redonne un regard plein de haine avec mon si célèbre sourire charmeur d'après ma mère. Je ne sais pas pourquoi, mais je me met à rire et puis pleurer sans doute trop d'émotions emmagasinées en même temps. J'ai faim! Mon ventre se met à grogner puis il me regarde bizarrement. Ce bruit lui est sans doute étranger contrairement à moi où il est quotidien.
-C'est parce que je n'ai pas manger depuis un cinq jours. Dis-je.
Mon ventre gronde dès que je n'ai pas manger depuis cinq jour. J'ai appris mon endurance et mes limites. J'ai donc dormis une journée et une nuit entière. Je l'observe. Il s'approche de moi son visage se transforme et il mord dans son poignet pour ensuite me le tendre. Je le regarde étrangement.
-Je mange de la nourriture comme vous, pas du sang, je suis pas un vampire, lui expliquais-je.
-Moi, je bois du sang, et pourtant je suis loups-garous. On mange pas tous comme les humains. Finit-il par dire.
-Vous n'avez pas de vrais nourriture? Pour humains? Demandais-je.
-Si, dit-il avant de me prendre le poignet.
Il m'amène avec lui dans une autre chambre puis en ressort pour y revenir quelques secondes après avec de la nourriture. Je me jette dessus, littéralement. Je mange à ma faim. Il me regarde, je n'aime pas que l'on me regarde manger mais je ne lui fais aucune remarque. Une fois le plateau finis, il me regarde de la tête aux pied, reprend mon poignet et y accroche quelque chose!
-Oli, va te prêter des affaires, je t'attend dans la voiture dans vingt minutes et tu as intérêt à y être. Dit-il avant de disparaître mystérieusement.
Sur mon poignet, ce n'est pas un simple bracelet, c'est... un bracelet de traçage pour "femme" esclaves pour la plus part du temps. Je suis maintenant un oiseau enfermer dans une cage dorée et dangereuse, le moindre faut pas et je peut y laisser des plumes.
VOUS LISEZ
La dernière humaine
WerewolfSalut, moi, c'est Kirsten Mac Dugan. Nous sommes en 9018. Je suis la dernière humaine. J'ai réussi à échapper à ses monstres que sont les loups-garous. Depuis que toutes les humaines ont été tuées ou transformées, je me cache. Je suis connue sous le...