Chapitre 2

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J'ai fini de m'habiller et me camoufler. Je sort donc de ma maison. Je traverse comme a mon habitudes mon si long et à la fois si court périple qui est composer de la clairière, la mini forêt (je suis même pas sur que l'on puisse l'appeler comme ça), je descend la montagne pour retraverser d'une immense forêts et enfin, je suis au village. Je me cache dans l'arbre le plus proche. Je regarde attentivement les parages et vois à ce moment là des loups. Ils sont réveillés et transformés! En plein jour en plus! C'est pas comme si c'était la nuit, là, ils sont là! Ils hument l'air! Mince ils doivent savoir que je suis là. Qu'es-ce que je fais?! Qu'es-ce que je fais?! Je monte pour prendre plus de hauteur. Il y a de plus en plus de loups autour de l'arbre. Soudain, venant de nulle part, un gigantesque loups roux arrive et se place au milieux des autres. Je suis effrayée. Il s'assoit et me fixe. Je suis tétanisée. Je cherche un point d'appuis, aller Taylor, aller Cameron, aller Blackshadow, tu n'est pas une simple humaine, tu es la dernière. Tu doit t'échapper de ce loup, de ces loups. Je me place correctement prend de l'élan et saute pour atteindre l'autre arbre. Je réussi seulement à attraper une branche. Je sent une brulure saillante dans mon poignet. Je l'ai sans doute foulé, c'est à cause de ceci qu'un hurlement strident sort de mes lèvres, il est incontrôlé et horrible, j'espère qu'il l'est assez pour que tout ces loups-garous s'en aillent. Je me rattrape et m'accroche alors avec mes jambes à la branche. Je lâche celle-ci de mes main et me retrouve tête en bas. Je vérifie la mobilité de mon poignet, il y a quelque chose qui y est déplacer. Je serre les dents et ... crac ... j'ai remis mon poignet en place. Ça me fait souffrir et ma lèvre inférieur est en sang, sans doute car je ne me rend pas compte que je la mord, un très mauvais tic. Je me redresse, attrape la branche et me stabilise sur l'arbre avec ses autres congénères. Tout les loups me regarde comme si j'étais de la viande mais le plus gros... C'est autre chose. Il me regarde avec désirs, convoitise, comme si j'étais une pierre précieuse dont il va s'emparer. J'ai une larme qui coule sur ma joue car JE SAIS. Je vais devoir sauter du haut de l'arbre pour rejoindre éventuellement ma mère. C'est les larmes aux yeux que je m'avance. J'enlève ma capuche, ma casquette et mon bonnet. Je regarde l'assemblée qui est émerveillée. Je m'avance puis je saute. J'entends un "Non!" puis je sent de la fourrure. A partir de ce moment pour moi ce fus le trous noir.

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La dernière humaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant