Campement de la caravane d'Éliro le Fruitier

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La silence de la tente était briser par la respiration saccadée de la jeune femme en son centre. Plusieurs autre corps s'étaient rassemblés alors qu'elle dormait, ajoutant à l'air déjà peut clément du dessert une chaleur on ne peut plus humaine. Maïa se levat lentement, tâchant de ne pas réveiller les enfants qui gisait toujours immobiles.

Dehors, le soleil commençait à peine à se montré que déjà le campement fourmilliait d'activité.  Dans un coin, les femmes riaient, échangeant sur les rêves qu'elles avaient fait la nuit d'avant et planifiant les courses qu'il faudrait faire avant de reprendre la route. Certains homme s'était mêlé au groupe, gesticulant en tous sens dans l'espoir de faire rire les rares célibataire restantes. Bien vite, on poussait ceux qui étaient toujours libre les uns sur les autres, échangeant ses corvée avec les autre pour permettre au nouveaux «couple» de passer plus de temps ensemble.

Un autre groupes se ressemblait près de la tente d'Éliro, le chef de la troupe, se préparant à se rendrent en ville afin de s'assurer qu'aucun menbres de la caravane ne serait choisis pour se rendre à Paradis. Leur visage étaient tendu, leur gestes saccadés.

«C'est de ma faute. Ils ont peur que l'armée vienne me chercher et saccage le campement...»

Cette pensée s'insinuait comme un parasite dans l'esprit de Maïa, répéter encore et encore, telle une litanie lente et profonde, chuchotée par une voix enfoui au plus profond de son âme. Une voix ancienne, sombre, qui s'accrochait à ses peurs et ses doutes. Une voix que Maïa s'imaginait toujours enfoncer dans un coffres imaginaire en riant de ses pauvres protestation.

«Maïa!», lançat un voix dure derrière elle. Maïa plaquât un sourire sur son visage en se retournant

- Éliro, grand-père!
- Je faisait mes compte, hier soir, commençât t'il, lorsque j'ai entendu du bruits en directions des tentes nord...
- Ah, oui? Peut-être qu'un des gardes est tomber sur un des panier?
- Mmmm, bien sûr... Et par simple curiosité, à qu'elle heure est tu rentrée la nuit dernière?
- Eh bien, euh, tu sait, comme d'habitude.
- Comme d'habitude quand tu reviens après le couvre feu?
- ...Non?

L'homme soupirat et portât la main à ses cheveux grisonnants en secouant la tête. Du haut des ses quarente huit ans, Éliro, le maitre de caravane, était un second père pour la jeune femme. Le surnom de grand-père était reposait simplement sur le fait que, bien qu'affirmant être encore relativement jeune, Éliro était l'un des plus âgés du groupe. Les enfants les plus jeunes l'avait donc affublé de la position affective rester vacante du fait que presque tous ceux de plus de cinquante ans s'installaient en ville afin de finir les quelques années encore devant eux dans une paix relative.

Visiblement déçu du comportement de sa protégé, Éliro lui donna pourtant qu'un simple avertissement avant de retourner auprès du groupe se rendant en ville. Le regret de décevoir l'homme qui l'avait pris sous son aile entourat la jeune fille de ses bras brumeux, portant son hôte dans un état de tristesse passagé.

Maïa s'etirat, sortant ainsi de sa torpeur mélancolique. Elle se faufilat ensuite là où était entreposé les provisions, se saisit d'une mangue et retournât dans la tente où elle avait passé la nuit. Là, elle récuperat sa cape, une boussole et une gourde vide qu'elle alla remplir au puits, avant de se diriger d'un pas guilleret vers les étendut d'or du désert.

*~.~*~.oOo.~*~.~*

C'était dans les habitudes de Maïa de partir à l'exploration des dunes dès qu'elle en avait l'occasion. En effets, les gens ne fessaient pas toujours attention lors de leurs voyages à traves la mer de sable, et ainsi laisait souvent accès à des trésors improbables à qui savait chercher. Éliro l'avait d'ailleurs plusieurs fois félicité pour ses trouvaille ensablé. La meilleure avait été la fois où elle avait déniché une longue-vue stylisé, polis par le vents et abandonné près d'un oasis.

Plusieurs fois aussi, la jeune femme avait mis la mains sur des objets de nature trés... insolite. Heureusement, ces objets étrange ce vendait étonnamment bien. Comme la sculpture de verres d'un chameau qu'Hayden avait échanger contre deux caisses complète de viande sécher.

«Mais jamais je n'aurais put imaginer trouver ça» pensat-elle en s'agenouillant.

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